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Lolla von Haas

Lolla von Haas se je priselila v Mozirje pred prvo svetovno vojno, po smrti njenega moža, avstrijskega diplomata Josefa von Haasa, v Šanghaju. Na fotografiji sedi na levi, na desni sedi Angela Goričar iz Mozirja. Zadaj so veterinarski oficirji, ki so bili v službi v pomožni bolnici za konje v Mozirju.
1. fotografija

Photograph
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CONTRIBUTOR

Aleksander Videčnik

DATE

1917

LANGUAGE

slv

ITEMS

2

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

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METADATA

Source

UGC
Photograph

Contributor

europeana19141918:agent/6733f60f73d2a0be68b5473ce4ca21e8

Date

1917

Type

Story

Language

slv
Slovenščina

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

Year

1917

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1917

End

1917

Language

mul

Agent

Lolla von Haas | europeana19141918:agent/38da9d9a148615ba4942a0ba2bc443f1
Aleksander Videčnik | europeana19141918:agent/6733f60f73d2a0be68b5473ce4ca21e8

Created

2019-09-11T08:43:32.673Z
2020-02-25T08:50:14.129Z
2020-02-25T08:50:14.130Z
2012-05-23 08:26:36 UTC
1917
2012-05-23 12:33:16 UTC
2012-05-23 12:36:08 UTC

Provenance

CE22

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_4051

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FRBNUS1-010 Emile Haas

1 Item

Le premier drapeau français sur la Cathédrale de STRASBOURG, le 22 novembre 1918. Ce 11 novembre 2013, nous sommes 10 petits enfants (âgés de 82 à 92 ans) , dont 6 survivants, qui sommes fiers et heureux, d’être les petits-enfants de EMILE HAAS (né le 12/03/1858 à Strasbourg et décédé le 13/07/1936 à Strasbourg ), maître-tapissier, lequel a confectionné,monté et fixé le premier drapeau français sur la pointe de la Cathédrale , le 22 novembre 1918. Malgré l’occupation-annexion allemande de l’Alsace de 1871 à 1918, c'est-à-dire pendant 47 ans, notre famille, et en particulier notre grand père, était resté francophile. Grand papa était maître tapissier. Il travaillait aves ses ouvriers, sa femme, sa fille et 2 de ses fils , dans son atelier artisanal, 12 rue du Temple Neuf, tout près de la Cathédrale De 1914 à 1918 deux de ses fils (dont notre père), avaient été enrôlés de force (des « malgré nous ») dans l’armée allemande, pendant toute la 1ère guerre mondiale. 4 années dans les tranchées ! Guerre doublement cruelle, car ils devaient se battre contre leurs frères, cousins, copains etc. qui s’étaient enfuis de l’Alsace et s’étaient engagés dans l’armée française, au risque de voir leurs familles punies. Pendant ces 4 années, notre grand père, la rage au cœur, avait caché dans son atelier, à 3 endroits différents, 3 morceaux de 3m X 6m de tissus : 1 bleu, 1 blanc, 1 rouge; en vue d’un drapeau de 9mX6m. Le 22 novembre 1918, Strasbourg a été libéré par l’armée française. Notre grand père s’est empressé de sortir les 3 morceaux de tissus de leurs cachettes respectives et les a cousus ensemble, de telle sorte qu’il a crée un grand drapeau français, de 6m X 9m . Puis il est allé à la cathédrale, a pied, poussant sa charrette de livraison avec son précieux chargement jusqu’à l’entrée de l’escalier de la cathédrale ( à droite dans la façade). Par cet escalier en colimaçon, il est monté à la plate-forme. Cet escalier est relativement large, donc notre grand père a pu le gravir, marche après marche, en portant son chargement lourd et encombrant. Arrivé à la plate-forme, il a repris son souffle, puis il l’a traversée, jusqu’au pied de la tour . Il est entré dans une des 4 tourelles et a grimpé dans l’escalier étroit jusqu’à la petite galerie- plate-forme des 4 tourelles , toujours en portant son drapeau précieux, lourd et encombrant. Enfin il s’est faufilé dans la partie pyramidale, elle aussi en dentelles de grès , (il n’avait pas le vertige), dans laquelle il est monté par l’un des escaliers très étroits , son drapeau, de plus en plus difficile à déplacer. Finalement il est arrivé à l’extérieur de la construction en pierre, c’est-à-dire qu’il a fallu qu’il escalade , avec son drapeau, les barreaux de l’échèle en fer, en plein air, jusqu’à l’ultime pointe de la cathédrale. C’est à cette pointe que notre grand père à fixé et hissé son drapeau tricolore. Pas facile, parce qu'à ce niveau, la pointe de la cathédrale oscille et qu’il y a toujours du vent, là-haut, à 142m au-dessus du sol ! Enfin notre grand père, EMILE HAAS, a pu admirer, tout ému de bonheur et de fierté, son drapeau bleu, blanc, rouge, flotter dans le vent de FRANCE. Les semaines suivantes, les décorations tricolores des tribunes et bâtiments publics, ont été faites, pour la plupart, par notre grand père, sa famille et ses ouvriers. Ce récit véridique a été rédigé par Denise PFRIMMER, née HAAS, cadette des petits enfants de Emile HAAS. || Photographie représentant Emile Haas dans son atelier.

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Emile Haas dans son atelier

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Photographie d'Emile Haas dans son atelier

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Fotos von Otto Weddigen und von Hellmuth von Mücke

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Otto Weddigen und Hellmuth von Mücke waren Marineoffiziere während des Ersten Weltkriegs, deren Popularität auch propagandistisch genutzt wurde. Weddigen wurde als Kommandant der U9 wegen seiner militärischen Erfolge im Seekrieg als Kriegsheld gefeiert. Nach Verletzung und Genesung übernahm Weddigen im Februar 1915 U29, mit der er und seine Mannschaft am 18. März vor Schottland versenkt wurde. Hellmuth von Mücke erlangte seine Popularität als Erster Offizier auf der SMS Emden, eines der bekanntesten Kriegsschiffe der Kaiserlichen Marine. Nachdem das Schiff beim Gefecht bei den Kokosinseln im November 1914 untauglich geschossen wurde, schlug sich von Mücke mit einer kleinen Gruppe Matrosen auf verschiedenen Schiffen vom Indischen Ozean bis nach Deutschland durch. Als er in Konstantinopel im verbündeten Osmanischen Reich ankam, soll er sich beim deutschen Marinebefehlshaber mit folgenden Worten gemeldet haben: „Euer Exzellenz, melde gehorsamst, Landungszug SMS Emden in Stärke von 5 Offizieren, 7 Unteroffizieren und 37 Mann zur Stelle!“ || Foto dreier unbekannter Soldaten mit Pickelhaube und Blumen am Koppel (aufgenommen von Hofphotograph E. Hoeffle, Bamberg), Foto mit drei unbekannten Soldaten (aufgenommen vom Photographischen Atelier Anton Stankewitz, Erlangen), Foto von Kapitänleutnant Otto Weddigen mit Gattin sowie des Korvettenkapitäns Hellmuth von Mücke.

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