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FRBMLY-34 Histoire de Paul Ricadat | fantassin pendant la Première Guerre mondiale

Appartenant à la classe 1913, Paul Ricadat commence son service militaire à Sedan au 147ème Régiment d'Infanterie (Caserne Mac Donald, détruite en 1940) le 27 novembre 1913. Il reste mobilisé à la déclaration de guerre en août 1914 alors qu'il avait terminé son service militaire. Il a laissé un récit de son expérience de guerre dans un livre publié en 1986: Petits Récits d'un grand drame (1914-1918), Histoire de mes vingt ans.
Cartes postales et photos

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CONTRIBUTOR

Jean Ricadat

DATE

1914 - 1918

LANGUAGE

fra

ITEMS

1

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

PROGRESS

START DATE
TRANSCRIBERS
CHARACTERS
LOCATIONS
ENRICHMENTS

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METADATA

Source

UGC

Contributor

europeana19141918:agent/91b6343951c5048a79a9eae46086c946

Date

1914
1918

Type

Story

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

Year

1918
1914

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1914

End

1918

Language

mul

Agent

Paul RICADAT | europeana19141918:agent/3fe3c9bfb1513778c6d28781e4ba3aa2
Jean Ricadat | europeana19141918:agent/91b6343951c5048a79a9eae46086c946

Created

2019-09-11T08:12:39.148Z
2020-02-25T08:07:25.546Z
2013-11-12 09:42:30 UTC
2013-11-12 09:44:51 UTC

Provenance

FRBMLY

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_7864

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Comme beaucoup de français j'ai voulu participer à La Grande Collecte pour numériser mes archives familiales de la Première Guerre mondiale. Je me suis rendu le Mercredi 13 Novembre 2013 aux archives départementales des Alpes-Maritimes avec deux photos de mon grand père Turland et une boite contenant des lettres échangées pendant la guerre entre un soldat Henri Sirvain et sa femme Albertine Roux, Après un entretien d'une demi-heure nous avons décidé de numériser les deux photos et une carte. Mais en ce qui concerne les lettres qui sont nombreuses et non classées, nous avons décidé que je devais les lire une par une et puis les classer. C'est ce que j'ai fait. Je voudrais maintenant vous faire partager ce que j'ai découvert en lisant ces lettres. Pour cela je vais créer ce blog dans lequel au fil des articles je publierai les lettres relatant l'évènement le plus tragique que fut la mort de Paul Sirvain. Ce qui me frappe d'abord c'est la qualité de l'orthographe et de la rédaction de la part de jeunes paysans ou travailleurs qui n'ont que leur certificat d'étude ou pas. Ensuite j'ai remarqué contrairement à ce que je pensais en commençant la lecture qu'il n'y avait pas que des lettres entre Henri et sa bien aimée Albertine mais aussi des lettres de toute leur famille, frères, oncles et tantes, cousins, beaux frères et belles sœurs. On voit que dans toutes les familles, leurs enfants sont partis à la guerre, alors on se demande des nouvelles des uns et des autres, on s'inquiète si on n'a pas de nouvelles, les parents et les oncles plus âgés essaient de leurs conseils d'aider les épouses restées seules à gérer leur commerce et à les soutenir dans cette terrible épreuve. Gabriel Rouquier

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Une boite contenant des lettres de soldats écrites entre 1914 et 1919. Cette boite a été retrouvé chez Albertine Roux qui fut l'épouse de Henri Sirvain. || Comme beaucoup de français j'ai voulu participer à La Grande Collecte pour numériser mes archives familiales de la Première Guerre mondiale. Je me suis rendu le Mercredi 13 Novembre 2013 aux archives départementales des Alpes-Maritimes avec deux photos de mon grand père Turland et une boite contenant des lettres échangées pendant la guerre entre un soldat Henri Sirvain et sa femme Albertine Roux, Après un entretien d'une demi-heure nous avons décidé de numériser les deux photos et une carte. Mais en ce qui concerne les lettres qui sont nombreuses et non classées, nous avons décidé que je devais les lire une par une et puis les classer. C'est ce que j'ai fait. Je voudrais maintenant vous faire partager ce que j'ai découvert en lisant ces lettres et relater l'évènement le plus tragique que fut la mort de Paul Sirvain. Ce qui me frappe d'abord c'est la qualité de l'orthographe et de la rédaction de la part de jeunes paysans ou travailleurs qui n'ont que leur certificat d'étude ou pas. Ensuite j'ai remarqué contrairement à ce que je pensais en commençant la lecture qu'il n'y avait pas que des lettres entre Henri et sa bien aimée Albertine mais aussi des lettres de toute leur famille, frères, oncles et tantes, cousins, beaux frères et belles sœurs. On voit que dans toutes les familles, leurs enfants sont partis à la guerre, alors on se demande des nouvelles des uns et des autres, on s'inquiète si on n'a pas de nouvelles, les parents et les oncles plus âgés essaient de leurs conseils d'aider les épouses restées seules à gérer leur commerce et à les soutenir dans cette terrible épreuve. Au début de cette année 1914 la vie s'écoule normalement quoique la vie n'est sans doute pas facile mais personne ne se doute qu'un cataclyme majeur se prépare. Henri Sirvain et Albertine sont à Paris ou ils tiennent un commerce de vins et charbons, 1 rue d’Athènes, Paris 9 (près de la gare Saint Lazare) . Comme beaucoup d'aveyronnais de l'Aubrac ils sont montés à Paris pour s'installer après leur mariage. Les parents Sirvain sont agriculteurs près de Sainte Geneviève sur Agence. Le Frère d'Henri, Paul plus jeune fait son service militaire à Béziers dans les Hussards. Marie sa sœur est mariée avec Marius Volpelier horloger à Sainte Geneviève. On a aussi les lettres de Louis Roux, le frère d'Albertine. Leur cousin germain Jean Auguste Turland (mon grand père) s'est marié le 17 janvier 1913 avec Germaine Brousse et viennent d'avoir un bébé (mon oncle Auguste) né le 9 décembre 1913. Ils tiennent un café-plat du jour au Rendez vous des Employés de l'état, 184 rue Cardinet Paris 17 (en face de la gare des Batignoles depuis gare Pont-Cardinet). L'oncle maternel Henri Mousse est à la retraite. Il passe l'hiver à Amélie dans les Pyrénées orientales. La tante Julia Mousse vit près de Montpellier, à Babeau. Veuillez lire le document PDF joint, merci.

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