Raymond Camille GODON | Grand-père maternel de l' épouse du contributeur
Raymond Camille GODON, Grand-père maternel de Josette Magnier épouse du contributeur. Né le 31 avril 1896 à Maincy (Seine et Marne) et décédé le 30 juillet 1973 Maçon et livreur de bière. Le jour de ses 20 ans il se trouve dans les tranchées de l'eau jusqu'à la taille. • Livret militaire : Matricule 468 Soldat appelé au service armé de la classe de mobilisation de 1916 Incorporé à compter du 12 avril 1915 , arrivé au corps le 13 avril. Mis en congé illimité de démobilisation le 28 septembre 1919 Intoxications par gaz le 25 août 1918 à Lassigny (Oise) Cité à l'ordre du Régiment Fusilier mitrailleur le 18 août 1914 a déployé un courage remarquable au cours d'une progression très dure dans les boyaux sous un feu violent de mitrailleuses (JMO N°114 du 25-8-1914) • Briquets : l'un en forme de fer à cheval, l'autre de forme ronde avec deux lions se faisant face - Classe 1916
CONTRIBUTOR
Archives Municipales de Sète
DATE
1914
LANGUAGE
fra
ITEMS
7
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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A gauche Etienne CAZALS | Grand-père maternel du contributeur
1 Item
Front || Etienne Jacques CAZALS est le grand-père maternel du contributeur. Il est né le 24 décembre 1895 à Sète et décédé le 9 février 1983 à Sète. Il est le fils de Louis Clément Cazals (Prénom usuel Laurent), coiffeur et de Jeanne Françoise Marguerite CHICHET. En 1919, il était domicilié à Sète, rue Nord du Château d'eau. Il exercera le métier de douanier. Il fait partie de la classe 15 (247 sétois dans cette classe) et combattra dans le 3ème bataillon de chasseur à pied. Blessé à deux reprises il sera en campagne du 18 décembre 1914 au 5 septembre 1916, en captivité du 5 septembre au 12 décembre 1918 et démobilisé le 16 septembre 1919.
Correspondance de Louis LECHANOINE Grand-père du contributeur
10 Items
• CP du 10 septembre 1914 . Après son départ du Mans, il écrit de Sète où il passe en train pour se rendre à Béziers. «Je t'écris ces mots dans un wagon à bestiaux car nous sommes tous là dedans, le jour nous ne sommes pas trop mal mais la nuit on est mal. Nous avons vu la mer à quelques mètres de nous et de ce moment nous n'en sommes pas encore loin.» • CP du 3 janvier 1915 « Le jour du 1er de l'an les boches qui en ont assez aussi eux se sont levés dans leurs tranchées qui sont à cet endroit qu'à 100 mètres des notres, ils ont levé les bras, agité leur mouchoir ou leur gamelle, alors nous autres nous en avons fait autant et si le lieutenant n'avait pas tiré nous aurions été des copains, aussi le lieutenant a été mal vu de notre part. ». • Lettre du 18 mars 1915 Ecrit depuis le sanatorium par l'intermédiare d'un voisin de chambre car il est trop faible. Il souffre de la thiphoïde. • Lettre du 24 avril 1916 où il dit qu'il est « rongé par la vermine » ce qui l'empêche de dormir. • Lettre du 23 juin 1916. Raconte la vie dans les tranchées et à l'arrière.