FRAD018_0065 Aimé DEVAUX | caporal au 29e bataillon de chasseurs à pied. La tombe de Clovis MECHE
Né à Vernouillet (Yvelines) le 9 septembre 1896, Aimé Devaux est cité à l'ordre du bataillon en août 1918 pour son comportement sur le front dans l'Aisne. Après l'armistice, il se fixe dans l'Yonne comme meunier après avoir épousé sa marraine de guerre, puis réintègre l'armée. Une de ses affectations le conduit à Bourges où naît son fils, le donateur.
Les Archives départementales du Cher ont également reçu de M. Devaux un dessin anonyme représentant la tombe de Clovis Mèche, né à Vielmanay dans la Nièvre le 8 février 1895, décédé des suites d'une attaque au gaz en mai 1918 à Montigny dans l'Oise. Ce dessin se trouvait dans un lot de cartes postales achetées par M. Devaux.
Citation à l'ordre du 29e bataillon de chasseurs à pied pour Aimé Devaux, caporal. Dessin anonyme de la tombe temporaire de Clovis Mèche à Montigny.
CONTRIBUTOR
Henri Devaux
DATE
1918
LANGUAGE
fra
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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Dessin anonyme de la tombe temporaire de Clovis Mèche à Montigny (Oise).
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Clovis Mèche, sergent au 13e régiment d'infanterie, est décédé à l'hôpital des suites d'une intoxication au gaz le 24 mai 1918. Le 13e régiment d'infanterie a subi un violent bombardement d'obus à ypérite dans le secteur de Rubescourt (Oise) les 16 et 17 avril 1918. Ce dessin anonyme représente sa tombe temporaire près de l'ambulance de Montigny (Oise).
Photographie de Ferdinand Barlet dans son uniforme de caporal du 18e bataillon de chasseur à pied.
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Photographie de Ferdinand Barlet dans son uniforme de caporal du 18e bataillon de chasseur à pied || Front
FRAD018_0060 Gustave Sauvage | adjudant au 50e bataillon de chasseurs à pied
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Gustave Sauvage est né le 16 mars 1882 à Saint-Amand-Montrond (Cher). Avant la guerre, il exerce diverses professions : roulier, vigneron, mouleur. En 1909, il se marie avec Blanche Grandjean. Leur fils André Sauvage naît le 3 juin 1912. Lors de la mobilisation générale, il est appelé au 50e bataillon de chasseurs à pied. Il devient adjudant en octobre 1915. En mai 1918, il est fait prisonnier dans l'Aisne. Retenu captif à Cassel en Allemagne, il rentre à Saint-Amand-Montrond en mars 1919. Gustave Sauvage est le grand-père paternel du contributeur. || Les cartes postales échangées entre Gustave Sauvage, son épouse Blanche et leur fils André, sont conservés dans deux épais albums. Elles sont mêlées à d'autres cartes, antérieures ou postérieures à la guerre, à vocation touristique ou humoristique, classées selon une logique de collection. Le contributeur détient également un coupe-papier dédicacé par Gustave à son fils ainsi qu'une douille d'obus montée en vase. Dans la correspondance, il est souvent fait mention de l'artisanat de tranchée, André Sauvage réclamant à son père, lors de sa prochaine permission, une bague ou d'autres souvenirs.