Livrets militaires de Claude Marie Mathieu Chaintreuil.
Livrets militaires de Claude Marie Mathieu Chaintreuil du 18 avril 1918 avec son état-civil et celui de mars 1921 avec sa photo.
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Archives départementales de Saône-et-Loire 1
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-
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fra
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1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
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Article de presse | decouverte de livrets militaires
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Article de presse concernant la découverte de 430 livrets militaires, cachés par le curé de Massin et découvert en 1960, lors de la restauration du presbytère. Courrier adressé, par le rédacteur en chef du journal le OPuest-France, à la veuve de Louis Lucas afin de lui restituer le livret de son mari, 1961.
FRAD071-098 Claude Marie Mathieu CHAINTREUIL | soldat et Joseph MAGNY | tonnelier à l’usine de poudres | quand les enfants de l’école de Romanèche-Thorins transmettent.
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L’instituteur de l’école de Romanèche-Thorins (Saône-et-Loire), M. Julien Mottey, a relayé l’appel de la Grande Collecte. Il a donc demandé à ses élèves de chercher des documents dans leurs familles relatifs à la première guerre mondiale. Deux élèves ont apporté des documents. Elyna Cimetière, élève de CM2 a prêté le livret militaire de son arrière-arrière grand-père, Claude Marie Mathieu Chaintreuil. Ce dernier est né le 21 octobre 1899 à Saint-Bonnet-des-Bruyères (Rhône). Il était cultivateur. Matricule 1257 (Rhône-Nord). A été incorporé le 23 avril 1918 dans le 97e Régiment d’Infanterie pour la campagne contre l’Allemagne puis a participé à l’occupation des territoires Rhénans du 24 octobre 1919 au 23 mars 1921. Une photo et ses empreintes digitales figurent sur son livret militaire de 1921. Il est signalé comme bon tireur. Jolan Yapaudjian, élève de CM1 a apporté des lettres de son arrière-arrière grand-père Joseph Magny. On sait par ces documents qu'il était soldat auxiliaire et travaillait à l’usine de poudres Picard à Saint-Fons (Rhône), il y était tonnelier. Il écrit à sa femme Jeanne et à son fils Albert (4 ans en 1914) qui résident à Saint-Laurent d’Oingt (Rhône). Elle s’occupe seule du domaine viticole. Dans une lettre de septembre 1914, Joseph décrit ses conditions de travail : « Nous voici incorporés et pas dans un drôle de métier, au bout de quelques jours nous devenons tout jaune et tout vert car la mélinite et à base d’acide violent ». Des enregistrements audio des lettres de la famille Magny lues par les arrières petits enfants ont été réalisés.
Les deux livrets militaires de mon grand-père
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Un livret au nom de SCHLESSER et un au nom de MICHEL, pour un seul et même homme !


