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Jean joseph Guibal | grand-père maternel de jean-Marc Layrolle

Deux photographies de Jean Joseph Guibal de 1916 à 1918 au 115ème régiment d'infanterie lourde.

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CONTRIBUTOR

Archives Municipales de Sète

DATE

1916 - 1918

LANGUAGE

fra

ITEMS

1

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

PROGRESS

START DATE
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METADATA

Source

UGC

Contributor

europeana19141918:agent/1c11d7ee10c5e5d83da0e61fccd25135

Date

1918
1916

Type

Photograph

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

Year

1918
1916

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1916

End

1918

Language

mul

Agent

Archives Municipales de Sète | europeana19141918:agent/1c11d7ee10c5e5d83da0e61fccd25135

Created

2019-09-11T08:19:27.924Z
2020-02-25T08:11:25.003Z
2014-03-13 13:45:33 UTC

Provenance

INTERNET

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_14274_attachments_145824

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FRAM-34200-033 Jean Joseph GUIBAL

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Il s'agit de l'histoire de Jean Joseph GUIBAL, né le 15/09/1897 à Cette, décédé le 29/02/1980 à Sète Grand-père maternel de Jean-Marc LAYROLLE Matricule 2217 Incorporé le 10 janvier 1916 au 11ème régiment d'infanterie lourde Parti aux armées le 10 janvier 1917 Incorporé en 1917 avec son père Passé au 222ème régiment d'artillerie de campagne le 7 février 1919 Affecté aux batteries hippomobiles de 75 Une équipe était affectée à la pièce de 75, l'autre aux caissons de munitions. Il reviendra de la guerre et exercera la profession de tonnelier à Sète. Le grand-père parlait peu de la guerre. Un souvenir le faisait particulièrement souffrir : Lors d'une attaque mal renseignée, il a été l'auteur avec d'autres soldats de tirs meurtriers sur des poilus de premières lignes. Sur leur passage, leurs camarades de combat les ont caillassés, insultés et leur ont craché dessus. Autres souvenirs : Le grand-père n'a jamais donné de détails sur ce sujet mais il disait qu'un jour il y avait eu un vent de révolte : Avec son collègue, il a refusé de mettre pied à terre pour désembourber la pièce du canon. Alors que le chef de pièce leur ordonnait de mettre pied à terre : « Guibal / Merluzo ! Pied à terre. Il lui a répondu : Vai tes faïre rasclat ! (vas te faire voir !) Le souvenir dont il parlait le plus, c'était les dégâts que faisaient les tirs de «La grosse Bertha» et surtout la portée de ses tirs. Il sera mobilisé pendant la guerre de 39/40 et affecté dans une caserne de Nîmes pour faire la cuisine jusqu'à l'armistice. || Portraits Jean Joseph Guibal

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