Transcribe

Caricature intitulée «Louis Durand | adjudant au 7e Génie»

9. Caricature intitulée «Louis Durand, adjudant au 7e Génie», signature à déchiffrer

Show More
 
 
 
 

CONTRIBUTOR

Archives départementales des Alpes-Maritimes
1

DATE

-

LANGUAGE

fra

ITEMS

1

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

PROGRESS

START DATE
TRANSCRIBERS
CHARACTERS
LOCATIONS
ENRICHMENTS

Generating story statistics and calculating story completion status!

METADATA

Source

Folio
UGC

Contributor

europeana19141918:agent/3afb701581f77758db1d49e4ee5270f5

Type

Drawing

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Language

mul

Agent

Archives départementales des Alpes-Maritimes | 1 | europeana19141918:agent/3afb701581f77758db1d49e4ee5270f5

Medium

Paper

Created

2019-09-11T08:23:28.195Z
2020-02-25T08:25:02.587Z
2020-02-25T08:25:02.588Z
2014-05-12 16:17:01 UTC

Provenance

INTERNET

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_15445_attachments_162521

Discover Similar Stories

 
 
 
 

FRAD_063_Jean Terrisse | adjudant au 101e RI territorial

1 Item

Photographies en tenue militaire de Jean Chastel (1915). Poudrière et une boucle de ceinturon. Demande d'allocation militaire || Jean Terrisse est né le 27 octobre 1874 à Chastel (Haute-Loire, France) dans une famille d'agriculteur. Il travaille sur l'exploitation familiale et se marie avant guerre avec Marguerite Bonnafoux. Il a un fils, Ferdinand, né en 1912. Il effectue son service militaire dans le 158e RI et obtient le grade de caporal et un certificat de bonne conduite. Du fait de son âge (il a presque 40 ans lors de la déclaration de guerre), il est mobilisé en août 1914 au 101e régiment d'infanterie territorial basé au Puy. Face aux nombreuses pertes humaines, sa classe est appelée pour partir au front. Il participe notamment aux combats de Verdun. Après 34 mois de présence au front, il est évacué à l'arrière pour maladie contractée en service commandé. Il passe dans le service auxiliaire et est détaché à la main d'oeuvre agricole jusqu'au 27 février 1919, date de sa libération. Il avait obtenu entre temps le grade d'adjudant. De retour à Chastel, il reprend l'exploitation agricole familiale.

Go to:
 
 
 
 

FRAD018_0060 Gustave Sauvage | adjudant au 50e bataillon de chasseurs à pied

5 Items

Gustave Sauvage est né le 16 mars 1882 à Saint-Amand-Montrond (Cher). Avant la guerre, il exerce diverses professions : roulier, vigneron, mouleur. En 1909, il se marie avec Blanche Grandjean. Leur fils André Sauvage naît le 3 juin 1912. Lors de la mobilisation générale, il est appelé au 50e bataillon de chasseurs à pied. Il devient adjudant en octobre 1915. En mai 1918, il est fait prisonnier dans l'Aisne. Retenu captif à Cassel en Allemagne, il rentre à Saint-Amand-Montrond en mars 1919. Gustave Sauvage est le grand-père paternel du contributeur. || Les cartes postales échangées entre Gustave Sauvage, son épouse Blanche et leur fils André, sont conservés dans deux épais albums. Elles sont mêlées à d'autres cartes, antérieures ou postérieures à la guerre, à vocation touristique ou humoristique, classées selon une logique de collection. Le contributeur détient également un coupe-papier dédicacé par Gustave à son fils ainsi qu'une douille d'obus montée en vase. Dans la correspondance, il est souvent fait mention de l'artisanat de tranchée, André Sauvage réclamant à son père, lors de sa prochaine permission, une bague ou d'autres souvenirs.

Go to:
 
 
 
 

FRAD071-096 François Joanny DURAND | prisonnier au camp de Giessen en Allemagne.

1 Item

Récit de Jacqueline Chevenet, née Durand sur son grand-père paternel, François Joanny Durand, né le 6 avril 1881 à Savigny-sur-Grosne (Saône-et-Loire), régisseur de domaines. Il a été à l’école d’agriculture de Fontaines (Saône-et-Loire). La famille a d’ailleurs gardé ses cahiers de l’époque. Il a ensuite voyagé, est allé dans l’ouest de la France, en Anjou pour régir des domaines viticoles, dans le Maine et Loire, à Magnas près de Florence. Il est recensé au bureau militaire de Chalon-sur-Saône, classe 1901, matricule 612. Lors de la mobilisation, il est sergent et incorpore le 44ème régiment d’infanterie puis passe au 60ème régiment d’infanterie le 30 janvier 1915. Il est vaguemestre de juillet 1915 à juillet 1917. Il est blessé et fait prisonnier le 9 septembre 1917 lors d’une attaque à la Cote 344 à Verdun et sera cité le 22 juillet 1919. Il est interné dans le camp de Giessen en Allemagne. Il tient un journal de juin 1917 à 1918 dans lequel il relate les combats précédents son arrestation, puis son arrivée et la vie dans le camp de prisonniers. Il écrit à sa femme, Marguerite et à son fils Wilfrid. Ils avaient choisi de donner un prénom anglais à leur fils en souvenir du pays où Marguerite avait été préceptrice avant son mariage. La contributrice a connu son grand-père. Il lui racontait beaucoup de choses quand elle venait en vacances chez eux à Ougy (Saône-et-Loire) mais il ne parlait pas de la guerre. Seule trace visible, la médaille encadrée sur le mur de la grande pièce de la maison d’Ougy. François Joanny Durand décède en 1955. Son fils Wilfrid (28 décembre 1909-2005) a conservé et annoté de nombreux documents et journaux puis les a transmis à sa fille, Jacqueline Chevenet. Wilfrid Marius Durand était instituteur notamment à Clermain. Les Archives départementales de Saône-et-Loire conservent son dossier de carrière ainsi qu’une revue scolaire « La Pie qui jase » qu’il confectionnait selon la méthode Freinet avec ses élèves (décembre 1938-mars1947). Un des petits-fils de la contributrice a emmené, lorsqu’il était en classe de 3ème, le journal écrit par son arrière grand-père pour le montrer à ses camarades et en lire quelques passages.

Go to: