FRBMAN-002 Lettres du front du soldat Jean-Marie dit JAN PRAUD
1 carte votive à la mémoire de Jean Praud.
1 croquis des positions française et allemande en mai 1915 à Four-de-Paris dans la forêt de l'Argonne.
1 croquis détaillant les tranchées françaises à Four-de-Paris en mai 1915.
15 lettres de Jan PRAUD à sa mère Annette, à sa soeur Jeannette et à ses beaux-frères.
Jean-Marie dit Jan PRAUD est né le 8/02/1885 à Blain en Loire-Atlantique. Il a 30 ans quand la guerre est déclarée. Voyageur et aventurier, un peu tête brulée dit-on dans la famille, il a séjourné en Abyssinie, avant de partir en Chine où il travaille dans la construction de chemins de fer (comme dessinateur). A l'annonce de la déclaration de guerre, Il demande immédiatement son rapatriement pour aller se battre et rentre en France avec un bataillon de volontaires réservistes en février 1915. Il appartient au 6ème régiment d'Infanterie coloniale. Il est caserné à Lyon où il reste jusqu'au début avril. De Lyon, il envoie des lettres à sa famille qui disent son impatience à rejoindre le front. Le 13 avril il est déjà à Chaumont et va rejoindre sa compagnie. Ses premières lettres des tranchées datent du 15 avril. Il est basé dans le village, aujourd'hui disparu de Four-de-Paris, d'où il écrit à sa famille. Il meurt le 14 juillet 1915 au Bois de Gruerie dans la forêt d'Argonne.
Il obtient une citation et la croix de guerre avec étoile de bronzeet la médaille militaire lui est délivrée à titre posthume en 1922.
CONTRIBUTOR
Mme Martine Gautier
DATE
1914-12 - 1915-07-14
LANGUAGE
fra
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
Discover Similar Stories
Jean Praud - Lettres du front
37 Items
Reproduction de 15 lettres envoyées par Jean Praud à sa famille. La plupart ont été envoyées depuis la position de Four-de-Paris où il était basé en 1915.
Livret militaire du soldat Ono-dit-Biot
1 Item
Premières pages du livret militaire de Aldéric Ono dit Biot
FRAD076_0086 | lettres du front
1 Item
lettres, photographies, cartes postales || Arthur Crescent est charretier quand il est incorporé en 1917 par manque d'effectif au front. Il entre dans les régiments du génie. Il sera blessé par le paludisme qui aura contracté pendant son voyage en Turquie. Il obtient la médaille interallié et la médaille commémorative de la Grande Guerre. Raymond Vincent est domestique de ferme et est incorporé le 01/09/1914 dans le 51ème régiment d'infanterie. Il est fait prisonnier le 1/12/1914 où il sera également blessé. Il sera prisonnier à Guellimburg. Il sera amputé d'une jambe et énuclée de l’œil gauche par des éclats d'obus. Il obtient la croix de guerre, la croix militaire et la légion d'honneur. Alfred Vincent est incorporé en 1911 et sera fait prisonnier le 21/01/1916 et sera interné à Munster. Lorsqu'il est rapatrié en 23/12/1918, il est nommé garde de prisonnier (Levasseur). Il obtient la médaille commémorative française de 1914/1916.