FRAD063-210 Jean Joseph JAVION
Employé de bureau puis tourneur d'obus aux ateliers de Mécanique de Clermont-Ferrand (département du Puy-de-Dôme, France). Recruté à Riom (département du Puy-de-Dôme, France), classe 1916, matricule 2321. Incorporé à partir du 09/04/1915. Passé le 30/04/1916 au 47e régiment d'infanterie coloniale, puis aux 41e et 24e régiments d'infanterie coloniale. Caporal. Démobilisé le 24/09/1919 par le 105e régiment d'infanterie. Croix de guerre.
Un portrait de Jean Javion, quatre photographies de groupe sans identification, sa carte du combattant et son cahier de chansons.
CONTRIBUTOR
Michelle PIOT
DATE
1915 - 1919
LANGUAGE
fra
ITEMS
13
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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FRAD063-148 Jean Antoine JAVION
4 Items
Ni les renseignements fournis par les contributeurs, ni les recherches ultérieures effectuées par le service des Archives départementales n'ont permis d'établir le parcours de ce soldat pendant la Première Guerre mondiale. || Deux cartes postales écrites à des membres de sa famille.
FRAD063-239 Jean Joseph BERNARD
14 Items
Deux photographies (Jean BERNARD est à gauche sur la première), une plaque métallique (de cercueil ?), deux lettres envoyées à sa famille à la suite de son décès et une lettre de 1921 concernant sa sépulture. || Cultivateur, fils de Pierre BERNARD et Françoise SERVIERES. Grand-père de la déposante. Recruté à Clermont-Ferrand (département du Puy-de-Dôme, France), classe 1894, matricule 1839. Campagne contre l'Allemagne du 13/08/1914 au 15/11/1914 dans le 99e régiment territorial d'infanterie. Tué à l'ennemi le 15/11/1914 à Largitzen (département du Haut-Rhin, France).
FRAM-34200-033 Jean Joseph GUIBAL
1 Item
Il s'agit de l'histoire de Jean Joseph GUIBAL, né le 15/09/1897 à Cette, décédé le 29/02/1980 à Sète Grand-père maternel de Jean-Marc LAYROLLE Matricule 2217 Incorporé le 10 janvier 1916 au 11ème régiment d'infanterie lourde Parti aux armées le 10 janvier 1917 Incorporé en 1917 avec son père Passé au 222ème régiment d'artillerie de campagne le 7 février 1919 Affecté aux batteries hippomobiles de 75 Une équipe était affectée à la pièce de 75, l'autre aux caissons de munitions. Il reviendra de la guerre et exercera la profession de tonnelier à Sète. Le grand-père parlait peu de la guerre. Un souvenir le faisait particulièrement souffrir : Lors d'une attaque mal renseignée, il a été l'auteur avec d'autres soldats de tirs meurtriers sur des poilus de premières lignes. Sur leur passage, leurs camarades de combat les ont caillassés, insultés et leur ont craché dessus. Autres souvenirs : Le grand-père n'a jamais donné de détails sur ce sujet mais il disait qu'un jour il y avait eu un vent de révolte : Avec son collègue, il a refusé de mettre pied à terre pour désembourber la pièce du canon. Alors que le chef de pièce leur ordonnait de mettre pied à terre : « Guibal / Merluzo ! Pied à terre. Il lui a répondu : Vai tes faïre rasclat ! (vas te faire voir !) Le souvenir dont il parlait le plus, c'était les dégâts que faisaient les tirs de «La grosse Bertha» et surtout la portée de ses tirs. Il sera mobilisé pendant la guerre de 39/40 et affecté dans une caserne de Nîmes pour faire la cuisine jusqu'à l'armistice. || Portraits Jean Joseph Guibal