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01 - carnet de tranchées d'Adrien-Germain Provaux

page 13 du carnet, Adrien-Germain Provaux consigne son argent, avec les sommes envoyées par sa famille pages 15-16, il note des leçons d'astronomies nécessaires pour se repérer, en décrivant comment repérer la petite ourse (avec un corquis) pages 30-31, récits de combats le 19 septembre 1918 pages 64-65, note les dates auxquelles il reçoit des courriers de son épouse Berthe.

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CONTRIBUTOR

Bibliothèque nationale de France François-Mitterrand 2

DATE

1914 - 1918

LANGUAGE

fra

ITEMS

5

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

PROGRESS

START DATE
TRANSCRIBERS
CHARACTERS
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METADATA

Creator

europeana19141918:agent/d5996ad1f12a555c694f1389d2d68f5f

Source

UGC
Notebook

Contributor

europeana19141918:agent/f7c1453dd4f117d8363ff74f88f14255

Date

1914
1918

Type

Diary

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

Year

1918
1914

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1914

End

1918

Language

mul

Agent

Adrien-Germain Provaux | europeana19141918:agent/d5996ad1f12a555c694f1389d2d68f5f
Bibliothèque nationale de France François-Mitterrand 2 | europeana19141918:agent/f7c1453dd4f117d8363ff74f88f14255

Medium

Text: memoir

Created

2019-09-11T08:16:35.967Z
2020-02-25T08:11:00.723Z
2020-02-25T08:11:00.724Z
2013-11-14 16:33:02 UTC

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_8769_attachments_84949

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FRAD066_007 Carnet d'instruction militaire d'Adrien Lambert

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Adrien Lambert appartenait au 106e régiment d'infanterie. Il fut blessé durant le conflit et décéda probablement dans les années 1960. Il était originaire de Paris mais a déménagé entre les deux guerres à Lembeye, dans les Pyrénées-Atlantiques. Son carnet d'instruction militaire était conservé dans le grenier de la maison familiale. Il est à présent conservé par son petit-fils. || Extrait du carnet d'instruction militaire.

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Carnet de tranchées de Pierre Bastier - 1

1 Item

Ce carnet d'une cinquantaine de pages est tenu au jour le jour par Pierre Bastier entre le 25 février et le 25 mai 1917. Les lieux mentionnés se situent majoritairement au nord de Reims (Loivre, Merfy, Berry-au-Bac, Courcy notamment). Pierre note évidemment dans ce carnet les combats auxquels il a pu participer, mais aussi les courriers qu'il a pu envoyer et recevoir ou les camarades (notamment haut-viennois) qu'il a pu croiser lors de ses déplacements, ce qui lui permet d'obtenir des nouvelles de sa famille ou de ses amis. Il nous livre également ses impressions personnelles quant au déroulement de la guerre, aux prises de positions de certains et aux ravages que les combats entraînent inévitablement (des morts par milliers, des paysages bouleversés par les trous d'obus, des champs de ruines). Il décrit aussi avec un certain talent les scènes auxquelles il assiste ou les déplacements qu'il effectue y décelant un esthétisme tragique (lueurs des bombardements intenses, marche sur le champ de bataille dévasté dans la brume matinale). Il s'interroge également sur la condition humaine et la capacité des hommes à se détruire mutuellement et à détruire leur monde. La première page reproduite de ce carnet (la page 3) correspond au retour au front après une permission (achevée le 25 février) où Pierre a appris qu'une de ses tantes était atteinte d'un mal incurable.

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Carnet de tranchées de Pierre Bastier - 2

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Ce carnet d'une cinquantaine de pages est tenu au jour le jour par Pierre Bastier entre le 25 février et le 25 mai 1917. Les lieux mentionnés se situent majoritairement au nord de Reims (Loivre, Merfy, Berry-au-Bac, Courcy notamment). Pierre note évidemment dans ce carnet les combats auxquels il a pu participer, mais aussi les courriers qu'il a pu envoyer et recevoir ou les camarades (notamment haut-viennois) qu'il a pu croiser lors de ses déplacements, ce qui lui permet d'obtenir des nouvelles de sa famille ou de ses amis. Il nous livre également ses impressions personnelles quant au déroulement de la guerre, aux prises de positions de certains et aux ravages que les combats entraînent inévitablement (des morts par milliers, des paysages bouleversés par les trous d'obus, des champs de ruines). Il décrit aussi avec un certain talent les scènes auxquelles il assiste ou les déplacements qu'il effectue y décelant un esthétisme tragique (lueurs des bombardements intenses, marche sur le champ de bataille dévasté dans la brume matinale). Il s'interroge également sur la condition humaine et la capacité des hommes à se détruire mutuellement et à détruire leur monde. Les pages reproduites ici (pages 14-15) correspondent au début d'une canonnade à proximité de Reims le 18 mars 1917. La nuit qui avait débuté avec les chants militaires de la section s'achève dans un déluge d'obus provoquant une vingtaine de foyers d'incendie. C'est également le jour de la fête d'un camarade de régiment, bref moment convivial avant de remonter en ligne.

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