FRBMLY-005 Histoire de François Pierre Eychenié
Extraits du journal tenu par François Pierre Eychenié lorsqu'il combattait dans les environs d'Hurlus, village anéanti par les bombardements.
Né le 07 avril 1881, François Pierre Eychenié a servi du 12 Août 1914 au 19 Janviers 1919.
Blessé 3 fois par balle alors qu'il combattait dans les tranchées, son témoignage nous est parvenu à travers le journal qu'il écrivait quotidiennement.
CONTRIBUTOR
Eychenié Michel
DATE
1914 - 1918
LANGUAGE
fra
ITEMS
3
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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Journal de François Pierre Eychenié
3 Items
Journal de tranchée de François Pierre Eychenié, qui raconte la destruction du village d'Hurlus ainsi que les soupçons de trahison vis à vis des habitants. En dernière page, les états de service de François Pierre Eychenié ont été indiqué par son fils.
FRAD087_132. Histoire de Pierre François Malamas
1 Item
- 2 photocartes et une cartes postale adressées par P. Malamas à sa fiancée (juin 1915 et sans date) et à une de cousine (avril 1915). || Né dans le village du Masferrat (commune d'Oradour-sur-Glane), Pierre François Malamas est le fils de Pierre Malamas et de Léonarde Villemonteil. Cultivateur dans le civil, Pierre François est fiancé à Madeleine Gensac (grand-mère paternel du contributeur). Après la mobilisation il est formé au 78ème régiment d'infanterie. Nommé sergent le 25/12/1914, il est ensuite blessé au combat au bras gauche, au bois de Mortmare près de Flirey sur l'actuelle commune de Thiaucourt-Regniéville (département de Meurthe-et-Moselle) le 13/04/1915. Les combats qui ont eu lieu dans cette zone en avril 1915 sont restés célèbres à double titre. D'une part, les troupes françaises (notamment des régiments limousins du 63ème RI) tentèrent à cet endroit de nombreux assauts meurtriers et infructueux contre la ligne de défense allemande qui y était installée. D'autre part, le refus d'un régiment de monter en ligne fut à l'origine d'un conseil de guerre qui aboutit à l'exécution de 5 soldats pour l'exemple. Il passe sa convalescence à Lodève à l'hôpital temporaire n° 31 d'où il écrit une partie de la correspondance qui a été conservé le concernant. Il écrit essentiellement à sa fiancée et à sa cousine. A la fin de l'année 1915 il est à Guéret. Lors d'un tour de garde, il est touché par une balle tirée en direction du chemin de ronde. Il meurt peu après de ses blessures le 29/12/1915 à Guéret, à l'hôpital temporaire n°46. Après le conflit, Madeleine Gensac se remariera en 1921 avec Léonard Pagnoux, probablement un cousin de Pierre François Malamas.