FRBMBO-019 Histoire de Marcel Hébrard
Document 1 : Nomenclature des effets de Marcel Hébrard à restituer lors de sa démobilisation le 20 janvier 1919
Document 2 : Photographie des soldats appartenant au 63ème Régiment (Marcel Hébrard est la 2ème personne en partant de la droite)
Document 3 : Ordre du Régiment rédigé le 24 avril 1918 par le Colonel Arhtuis certifiant de la bonne conduite de Marcel Hébrard
Document 4 et 5 : Recto-verso d'une carte-lettre rédigée le 10 juin 1916 par Marcel Hébrard à sa femme
Document 6 : Casque de Marcel Hébrard
L'histoire est axée sur des documents concernant le soldat Marcel Hébrard, fusilier mitrailleur durant la guerre.
CONTRIBUTOR
Bibliothèque de Bordeaux
1
DATE
-
LANGUAGE
fra
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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FRBMBO-023 Histoire de Marcel Claudius Magnin
1 Item
Les documents présentés concernent le décès et les suites du décès de Marcel Claudius Magnin. Ils ont été conservés par le père du défunt, Marcel Magnin père. 1-Lettre manuscrite signée du Maire de Lyon, Edouard Herriot, datée du 21 juillet 1917, et destinée à Monsieur Marcel Magnin père, lui annonçant le décès de son fils sur le Chemin des Dames au lieu-dit Heurtebise le 27 mai 1917. 2-Titre officiel de médaille militaire délivré à Marcel Claudius Magnin par le Ministère de la guerre à titre posthume, le 18 novembre 1920. 3-Courrier manuscrit daté du 15 octobre 1917 adressé par Marcel Magnin père à l'officier trésorier du régiment, pour demander une signature et le paiement du solde de son fils. Sur le même feuillet, réponse tapuscrite du 18 décembre 1917. 4-Courrier du Bureau de renseignement aux familles des militaires de la Mairie de Lyon, daté du 4 août 1917, et adressé à la famille de Marcel Claudius Magnin (sa mère ?) pour lui préciser son lieu de sépulture : le Cimetière militaire d'Oeuilly (Marne). 2 photographies jointes avec vue de la tombe. || Les documents apportés par Monsieur Gérard Magnin, concernent son grand-père paternel : Marcel Claudius Magnin. Ce dernier, né en 1887 et mort au front en 1917, habitait à Lyon avant le début du conflit. Il a effectué son service militaire d'octobre 1909 à septembre 1911. Du fait de son insuffisance visuelle et de son développement musculaire tout aussi insuffisant, il a été affecté au Service auxiliaire. Pourtant, malgré ses problèmes physiques, il est rappelé le 1er août 1914 et envoyé au front au sein du 140ème régiment d'infanterie, le 17 juillet 1915. Il meurt au combat sur le Chemin des Dames dans le secteur d'Hurtebise (Aisne), tué par un éclat d'obus, le 27 mai 1917.
FRBMBO-06 Histoire de Benjamin Benois
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Il s'agit de deux documents (1 carte postale et 1 enveloppe), troués par une balle d'un allemand. Ce courrier était dans la poche de la capotte d'un soldat français, Benjamin BENOIS, avec d'autres documents, tous troués. Ces documents lui ont sauvé la vie. Benjamin Benois écrit sur la carte postale à sa femme et lui raconte cette anecdote : comment, le 7 septembre 1914, il a eu la vie sauve grâce à ces documents entassés sur lui. La carte est datée du 15 octobre 1914. Le contributaire Corinne Celdran, est l'arrière petite fille de Benjamin Benois (côté maternel). Elle n'a pas connu cet arrière-grand-père. En revanche, elle en a entendu parler par sa grand-mère Yvette Germain et par sa tante Gisèle Pommier, deux des filles de Benjamin Benois. C'était un homme bon, doux, très discret sur la guerre mais joyeux malgré tout. Deux documents photographiques joints à cette carte postale, permettent de reconnaitre sur l'une, Benjamin Benois (photo de groupe avec son régiment); sur l'autre la femme de Benjamin Benois à laquelle est adressée la carte postale. Il s'agit de Irma Antoinette Benois, née Thomazau, mariée le 11 juillet 1910 à Saintes à Benjamin Benois. Aux côtés de Mme Benois, se tient la gosse dont il est question dans le récit de Benjamin Benois. C'est la première fille du couple, Madeleine Benois, née le 4 août 1912. || 1 carte postale trouée par une balle allemande, le 7 septembre 1914 et écrite le 15 octobre 1914 par Benjamin Benois à l'attention de sa femme 1 enveloppe trouée par la même balle, à la même date le 7 septembre 1914 2 photographie : Benjamin Benois avec son régiment; Mme Benois et sa fille Madeleine.