Auguste Johanny | soldat au front
Auguste Johanny en tenue de campagne, debout, devant un front de tranchée. Non légendé, non daté, identifié par le témoin sa petite-fille et par comparaison avec d'autres clichés.
CONTRIBUTOR
Archives départementales de la Haute-Loire
3
DATE
1914 - 1916
LANGUAGE
und
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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4 soldats dont Auguste Johanny (assis au centre)
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Quatre soldats en uniforme pausant devant une muraille.
FRBNSA-042 | Ariste Auguste Jamin | soldat au 124e RI
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01 Carte postale écrite le 4 juillet 1915 du camp de prisonnier près de Cologne. 02 Extrait de décision ministérielle daté du 21 mars 1916 au sujet d'une demande de pension. 03 Congé de réforme définitive n°1 établi au Mans le 20 août 1917. || Le soldat Jamin Ariste (oncle du contributeur) incorporé le 3 août 1914 a reçu une blessure le 22 du même mois à Virton (Belgique). Ensuite, il est fait prisonnier dans un camp près de Cologne. Arrivé le 3 juillet 1915, il envoie un courrier à ses parents où il spécifie qu'il est en bonne santé et que sa blessure est bien guérie. On apprend que Mr Jamin a fait une demande de pension au ministère de la Guerre qui lui a été refusée le 21 mars 1916 . Il reçoit cependant une gratification d'une valeur de 200 francs en 1916. Finalement, le 20 août 1917, le ministère de la guerre décide de réformer définitivement Mr Jamin suite aux blessures reçues en service commandé contre l'Allemagne en août 1914.
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3 photographies d’Auguste Turgis, 1914-1916 Correspondance avec son épouse Modeste, 1914-1916 Correspondance avec son fils Auguste et sa fille Simonne, 1915-1917 || Né le 23 octobre 1874 à Chemillé (Maine-et-Loire), Auguste Turgis effectue son service militaire au 77ème régiment d'infanterie de Cholet entre novembre 1895 et septembre 1896. A presque 40 ans, il est mobilisé en août 1914 au 72ème régiment territorial d'infanterie qui participe à la défense du camp retranché de Paris. Début janvier 1915, il écrit à son épouse d’Élincourt près de Cambrai (Nord) : « je suis rendu dans les tranchées du 3 au soir . Nous sommes auprès de boches à environ 400 mètres mais nous sommes assez bien abrités. C’est sale tant pis il y a de la boue et de l’eau mais l’on fait comme on peut ». Fin avril 1917, il change d'arme pour une compagnie du 4ème régiment du génie qui stationne à Vic-sur-Aisne et à Ribécourt (Oise). Il travaille dans une scierie mécanique chargée de fournir du bois aux armées. Le 16 août 1918, il est affecté au 1er génie. Il est démobilisé le 8 janvier 1919.