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Histoire de famille

Madame Laurence Dépieds nous rapporte l'histoire de son arrière grand-père paternel Erment Maurice Dépieds que l'on appelait Pépé Armand. Prisonnier à Langberg il échappe à la tuerie de la guerre,il mourra en 1980 à Saint-Martin de Brômes. Il s'est marié en 1899 avec Ida Clémence Féjus qui a deux frères : Henri Vincent Fréjus a devancé l'appel. Engagé volontaire en 1913, il est 2e classe dans le 6e bataillon de chasseurs. Mort pour la France le 4 mars 1915 sur le champ de bataille, son frère Gaston Victor Célestin sera envoyé pour le venger. Lequel meurt à son tour le 3 octobre 1916.
Acte d'engagement et de décès d'Henri Fréjus, acte de décès de Gaston Fréjus. Plan de la caserne de Landberg.

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Laurence Dépieds

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fra

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1

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Europeana 1914-1918

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METADATA

Source

UGC

Contributor

europeana19141918:agent/295265603e47e83d23850a9210be0b39

Date

1980
1913

Type

Story

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

Year

1980
1913

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1913

End

1980

Language

mul

Agent

Laurence Dépieds | europeana19141918:agent/295265603e47e83d23850a9210be0b39
Henri Vincent Fréjus | europeana19141918:agent/a9121845e1bc279376f8c5f168024ac2
Gaston Victor Fréjus | europeana19141918:agent/df559859f92d795620ff58738ef98b5a

Created

2019-09-11T08:25:19.740Z
2020-02-25T08:24:19.409Z
2014-11-28 15:04:11 UTC
2014-11-28 15:05:31 UTC

Provenance

FRAD004

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_18585

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FRBNFM-169 Histoire de la famille Verdin

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4 frères Verdin (sur 5) ont été mobilisés. Maurice est décédé pendant la guerre ; Louis, Edmond et Ernest ont survécu. || 3 photographies avec mentions manuscrites.

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FRAD033-144 Histoire de la famille Bourel-Depecker

11 Items

Photographie d'Auguste Depecker (1917), photographie de Paul Depecker (1920), Le rait d'union (ouvrage relié regroupant les lettres que René et Émilie ont reçu pendant la Grande guerre). || Le Trait d’Union est un ouvrage qui regroupe un ensemble de copies de lettres écrites par les soldats d’une même famille, la fratrie Bourel-Depecker, durant la Grande guerre entre septembre 1914 et octobre 1917. Après la guerre, ces lettres ont été reliées par Auguste Depecker, artisan relieur. L’ouvrage est remis à son frère ainé René et à sa femme Émilie. Le registre porte au dos les initiales BC pour Bourel-Chantrier. Originaire d’Hazebrouck dans le Nord, la fratrie Bourel-Depecker compte neuf enfants. La mère, Cornélie Dupont (1843–1884) a eu trois enfants de son premier mariage avec Henri Bourel (1840–1873), cultivateur, puis six enfants de son second mariage avec Charles Depecker (1830–1912) également cultivateur. Elle est décédée à la naissance de son dernier enfant Raphaël. Les enfants ont ensuite été élevés par leurs oncles et tantes. Comme le montre les lettres, les neuf enfants sont restés très unis : Julia Bourel (1866–1950) est mariée à Louis Delbecq (1864-1950), commerçant en alimentation à Lille. Ils ont eu deux enfants : Bernadette (1895) et Christiane (1905). Louis Delbecq n'a pas été mobilisé. La famille reste à Lille sous l'occupation allemande. René Bourel (1870-1930)est marié à Emilie Chantrier (1877-?) de Mortefontaine (Oise). Ils Habitent Paris depuis 1894. René est conducteur puis sous-ingénieur des Ponts et Chaussées depuis le 1er juillet 1915. René n'a pas été mobilisé. René et Emilie sont les chevilles ouvrières de l'ouvrage Trait d’Union. Gabrielle Bourel(1872-1896)est mariée à Louis Robillard, instituteur (1869-?. Gabrielle a un fils : Marcel Robillard né en 1895. Louis Robillard est déclaré bon pour le service par le conseil de révision en 1915. Malade, il est rapidement démobilisé. Son fils, Marcel Robillard est mobilisé en 1915 au 46e régiment d'infanterie I, 25e compagnie. Il perd un œil le 14 avril 1917 entre Craonne et La-Ville-au-Bois. Il est par la suite réformé. Il se marie en mai 1918 à Hélène Benech. Marthe Depecker (1876–après 1964) est mariée à Charles Rivet (1874-?), employé de banque. Ce dernier intègre le 3e bataillon du 33e régiment d'infanterie, 11e Compagnie. Il débute comme planton avant de devenir secrétaire du commandant Driant (qui sera tué le 21 février 1916 au bois des Caures, près de Verdun, et deviendra une gloire nationale) puis secrétaire du général commandant en chef de l’armée de la région à partir de juillet 1915. Gaston Depecker (1878-1964). Michel Depecker (1879–1951) se marie le 20 mars 1905 à Adrienne Debaecker. Employé des chemins de fer, il habite Hazebrouck en 1914. Il est affecté à la 5e section de chemin de fer en campagne à Château-Chinon puis à Hazebrouck. Paul Depecker (1882-1972)est prêtre de la paroisse d’Esquermes à Lille. Il est incorporé à la 51e division première section comme infirmier brancardier. Il est nommé chevalier de l’ordre de Saint-Georges de Russie de 4e classe pour son action en Belgique et dans la Marne. Il reçoit la croix de guerre en juillet 1916. Il est affecté en août 1917 au 215e régiment d'infanterie, 21e batterie comme brancardier-aumônier. Auguste Depecker(1884–1944)est marié à Laetitia Liébaux (1885-1967). Artisan relieur, il a eu un enfant Henri (1911-1956). Il est mobilisé au 347e régiment d'infanterie dans la 22e compagnie. Il est nommé caporal en juin 1916. Il est blessé le 9 juin 1916 près de Verdun et hospitalisé à Neufchâteau dans les Vosges. Il reçoit une nouvelle affectation après guérison au sein du 348e régiment d'infanterie dans la 17e compagnie. Il est fait prisonnier le 24 septembre 1917 au Bois de chaumes dans la commune de Bezonvaux, près de Verdun, une des neuf communes restées sans habitant depuis 1916. Les lettres s’interrompent sans indiquer le lieu de sa captivité. Raphaël Depecker(1886–1974) se marie après la guerre avec Élise Tassin (1891-1964). Artisan serrurier, il est affecté au 273e régiment d'infanterie au sein de la 18e compagnie. Il est cité à l’ordre de son régiment le 18 mars 1915 et reçoit la croix de guerre deux étoiles. Il est blessé à la cuisse gauche et fait prisonnier le 6 octobre 1915 en Champagne, aux alentours des Buttes de Souain. Il est transféré au camp de Grafenwöhr en Bavière, puis à Berching, toujours en Bavière, chez un constructeur de machines agricoles. Les lettres mentionnent également les cousins : Paul Gaston Joseph Depecker(1887-1916), cousin germain des Bourel-Depecker, est caporal-fourrier au 365e régiment d'infanterie au sein de la 23e compagnie. Blessé aux jambes à Verdun le 24 février 1916, il est fait prisonnier et décède dans l’ambulance allemande. Paul Bouquet (1882-1915) intègre le 310e régiment d'infanterie. Son père Henri, conseiller municipal d’Hazebrouck, s’occupe de la ferme. Il décède accidentellement le 30 juillet 1915 à Doullens dans la Somme. René Gabriel Mortier(1887–1915) est élève-officier. Il fait parti du 327e régiment d'infanterie dans la 18e compagnie. Évacué en novembre 1914, il est de retour dans la Marne en février 1915 puis promu sous-lieutenant en septembre 1915. Cité à l’ordre du Régiment pour son action du 17 septembre 1914 à Reims, il est blessé par deux fois à la cuisse gauche. Il disparaît le 6 octobre 1915, comme Raphaël, près de la ferme de Navarin à Sainte-Marie à Py en Champagne. Il est reconnu ué à l’ennemi par jugement du tribunal de Lille du 24 septembre 1920. Joseph Vandamme(1883-1918) est caporal au 310e régiment d'infanterie. Il reçoit la croix de guerre et disparaît le 29 mai 1918 à Vaux-Castille dans l'Aisne. Il est reconnu ué à l’ennemi par le tribunal d’Hazebrouck le 17 septembre 1920. Jules Chantrier (1875- après 1954)est sergent au 13e régiment d'infanterie, 2e compagnie, puis au sein du 129e régiment d'infanterie première compagnie en février 1916. Jules est dans la fournaise du 3 au 11 septembre 1916. Nommé adjudant en mars 1917, il est de nouveau dans la fournaise en avril 1917 puis affecté au 83e régiment d'infanterie, troisième compagnie. Il est horticulteur après la guerre à Mortefontaine dans l'Oise. Albert David, cousin germain d’Emilie Chantrier est cantonné à Saint-Cloud, puis au front au sein du 156e régiment d'infanterie, 28e compagnie près de la ville « renommée pour ses haricots », sans doute Soissons. Blessé à la face et au bras, il est hospitalisé à Grenoble en avril 1916 puis à Uriage. Il espère en juillet 1917 devenir téléphoniste ou signaleur. Il est signalé à Buxeuil dans l'Aube en octobre 1917.

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FRAD033-130 Histoire de la famille Devaux

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Histoire anonyme. || Plaques de verre stéréoscopiques.

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