FRAD034-125 Le sergent ANDRON | mort pour la France en 1918
Le Sergent Léonce ou Léonard ANDRON naît le 31 janvier 1881 à Hourtin (Gironde). Avant guerre, il exerce la profession de cocher et charretier. Il appartient au 144ème régiment d'infanterie. Il meurt le 25 octobre 1918 dans l'Aisne à la Ferté-Chevrésis. L'attestation de la médaille militaire dont il sera honoré comprend le récit des circonstances de son décès. Il y est décrit comme un soldat d'un sang-froid extraordinaire. Il est reconnu mort pour la France. Sa fille Jeanne née le 17 avril 1915 sera pupille de la Nation.
01 - Portrait du sergent ANDRON, mort pour la France en 1918
Photograph
Léonce ANDRON
Remembrance
Front
02 - Photographie de groupe avec le Sergent ANDRON (identifiable par une croix bleue)
03 - Attestation de la médaille militaire du sergent ANDRON, mort pour la France
Official document
Medal
04 - Médaille militaire décernée au sergent ANDRON à titre posthume
05 - Livret militaire du sergent ANDRON, mort sur le front en 1918
Home Front
Recruitment and Conscription
06 - Attestation de pupille de la Nation pour la fille du sergent ANDRON, mort pour la France
Jeanne ANDRON
Women
CONTRIBUTOR
Cécile et Xavier TAURINES
DATE
1914 - 1918
LANGUAGE
fra
ITEMS
6
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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FRAD034-073 David SIMON | sergent | mort pour la France en septembre 1914
4 Items
Il s'agit d'un carnet journal écrit pendant le conflit entre le 1er août et le 24 septembre 1914 qui comprend 56 pages manuscrites. L'intégralité du carnet est consultable en ligne sur le site internet des Archives départementales de l'Hérault sous la cote 21 PRI. || Le sergent David Gaston SIMON est né à Tiaret en Algérie le 1er février 1891. Au moment de la mobilisation, il intègre la 10ème compagnie d'infanterie du 55ème régiment d'infanterie basé à Collioure. Il combat aux alentours de Nancy (Meurthe-et-Moselle, Lorraine), passe par Blainville-sur-l'Eau, Mont-sur-Meurthe, Lunéville (Meurthe-et-Moselle, Lorraine). Après un passage sur le Front de la Marne, il est cantonné à Bremencourt (Meurthe-et-Moselle, Lorraine), puis dans les tranchées à Xermaménil (Meurthe-et-Moselle, Lorraine). Avant de passer par Valhey, puis Nancy (Meurthe-et-Moselle, Lorraine). Dans les tranchées il a pour ami Paul, dont la soeur réside à Collioure, et dont il devient l'ami de coeur. David SIMON est tué le 24 septembre 1914 à Voisogne (Meurthe-et-Moselle). Il est reconnu mort pour la France. Son frère Adolphe était décédé 10 jours plus tôt le 14 septembre 1914. Son ami Paul sera également tué dans les tranchées. Le contributeur, dont David SIMON est l'oncle, retrouvera par hasard, à Collioure, la nièce de cette amie de coeur. Celle-ci montrera au contributeur des photographies des funérailles de Paul, dont le corps avait été rapatrié à Collioure. || || Home Front || Front || 04 - Carnet journal du sergent David SIMON, mort pour la France (récit de la journée du 18 août 1914)) || Diary || || 02 - Carnet journal du sergent David SIMON, mort pour la France (récit de la journée du 20 août 1914)) || Diary || Home Front || Front || || Front || Diary || Home Front || 03 - Carnet journal du sergent David SIMON, mort pour la France (récit de la journée du 20 août 1914 suite) || || 01 - Carnet journal du sergent David SIMON, mort pour la France (1ère page) || Front || Home Front || Diary
Jean RICHOU | mort pour la France à Verdun en 1918
1 Item
Carte votive de Jean Richou, mort pour la France le 23 janvier 1918. || Jean Richou est né le 8 juillet 1897 à Champtocé (Maine-et-Loire). Il est ouvrier forgeron lorsqu'il est incorporé au 66ème régiment d'infanterie le 9 janvier 1916. Le 4 juin 1917, il passe au 98ème RI et est cité à l'ordre du régiment le 17 septembre pour son attitude lors des combats du secteur d'Avaucourt pendant la bataille de Verdun : du 20 au 27 août 1917 au cours de durs combats, a assuré son service de liaison malgré la violence des feux de l'artillerie ennemie donnant à tous un bel exemple d'énergie et de bravoure. Jeune soldat plein d'entrain toujours prêt pour les missions périlleuses. Le 98ème RI est cité à l'ordre de l'Armée pour sa conduite lors de cette offensive, mais 106 soldats ont été tués. Le régiment part fin septembre en Argonne où la guerre des mines n'a pas cessé depuis 1915. Fin décembre 1917, le 98ème RI retourne pour la troisième fois à Verdun où la bataille a perdu de son intensité. A Bezonveaux, le 23 janvier 1918 par une journée calme, l'ennemi envoie quelques rafales de 105 et 150 sur nos lignes au cours desquelles le clairon Jean Richou de la 6ème compagnie fut tué. Il avait un peu plus de 20 ans.