FRBMTO1-023-001
Photographies de groupes de soldats, vie quotidienne du régiment. Tranchées, tanks, avion. Deux cartes postales de Foucaucourt-en-Santerre détruit.
CONTRIBUTOR
Bibliothèque municipale de Toulouse
1
DATE
1914 - 1918
LANGUAGE
fra
ITEMS
17
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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Carnet de 30 pages, couvre l'année 1914 depuis août. Premier de 3 carnets.
FRAD010-023 Famille Lorilleux
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Georges, Armand Lorilleux, valet de chambre né le 3 septembre 1892 à Etriché (Maine-et-Loire) est engagé volontaire pour 3 ans le 29 avril 1913 à Cherbourg. Le 6 novembre 1913 il monte à bord du torpilleur « Francisque », au grade d’appelé marin, apprenti maître d’hôtel. En 1914, il est matelot 3ème classe destiné, d’abord à la 1ère escadrille de sous-marin, puis au croiseur auxiliaire « Rouen », puis, à partir du 10 février 1916, aux torpilleurs de Dunkerque. Le 29 février 1916, il embarque à bord du croiseur « Chateaurenault » et arrive, un mois plus tard, à Dakar. En juin 1917 il est soigné pour une bronchite chronique contractée en service commandé, au cours d’opérations de guerre en Adriatique. Il est mis en congé de démobilisation le 23 août 1919. Louis, Armand Lorilleux, né le 16 avril 1893 à Daumeray (Maine-et-Loire), soldat 2ème classe au 39ème régiment d’infanterie et déclaré disparu le 30 mai 1918 à Villers-la-Fosse (Aisne) || Un livret pour officier marinier et marin attribué à Georges, Armand Lorilleux. 1 carte postale du 15 juillet 1916, écrite par Louis, Armand Lorilleux, provenant de Troyes, intitulée : Entrée de l’ancienne pension « Grand Saint-Bernard », nouvelle caserne.
FRBMTO-023 Joseph TIRAND
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Père du contributeur. Il s'agit de Joseph Tirand. Les documents ont été remis à Paul Tirand par sa mère avant son décès. Il s'agit de photos de groupes de militaires et des cabanes dans lesquelles ils vivaient, des photos de tranchée... des combattants partant à l'assaut. Joseph Tirand parlait peu de la guerre. Engagé le 3 mars 1916, il fut incorporé dans un régiment d'artillerie lourde, le 115e régiment, puis a changé de régiment. Il a combattu dans la Somme(Foucaucourt-en-Santerre), en Argonne, à Verdun. Joseph a terminé la guerre à Nazaré, au nord de Gand, où il a emmené son fils des années après. Il raconte qu'il dormait en marchant. Il cherchait à quitter le front pour être hospitalisé, par exemple en positionnant ses jambes de façon à recevoir des éclats d'obus ; il mettait les caleçons de malades de la gale pour attraper la maladie. Il parlait parfois des fusillés pour l'exemple. Il a été gazé à Ypres, mais n'a pas été blessé. Après la guerre, il a milité pour la paix. Démobilisé en 1919, il a subi un grave accident de chemin de fer à Saint-Jory, et a eu les 2 jambes écrasées (il a été soigné à la clinique St Michel à Toulouse). Dans les années 20, il habitait dans les Corbières (à Ferrals), et animait des réunions pour la paix dans les villages environnants. Il a modifié sa position antimilitariste au moment de l'arrivée d'Hitler au pouvoir, et a milité pour les républicains espagnols. C'était un résistant, citoyen engagé. Dans sa vie civile, il cultivait la vigne et élevait des moutons. Il fut fonctionnaire municipal à Perpignan où il s'est occupé des réfugiés espagnols, mais fut révoqué en 1941 en raison de ses opinions politiques. || Photos de groupe de militaires. Photos de tranchées. Cantonnement, vie sur le front. Photos de châteaux et maisons détruits dans la région de Reims (Thuisy, actuellement commune de Val-de Vesle).