Groupe de caporaux du 135ème RI d'Angers | 1911
Groupe de caporaux du 135ème régiment d'infanterie d'Angers. Joseph Papin, nommé caporal le 1er juillet 1911, est au centre.
CONTRIBUTOR
Archives départementales de Maine-et-Loire
DATE
1912
LANGUAGE
und
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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Louis TROVASLET | un soldat du 135ème RI
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Photographie de Louis Trovaslet en uniforme et de son épouse Marie, 1915. Photographie de Marie Trovaslet, ouvrière chez Bessonneau en tenue de travail, 1915. 4 carnets de guerre de Louis Trovaslet du 2 août 1914 au 15 mars 1919. Carte du combattant n° 1546 de Louis Trovaslet, 1934. Carte d’adhésion à la Fédération Nationale des Anciens Combattants, 1935. || Louis Trovaslet est né le 24 août 1884 à Vergonnes (Maine-et-Loire). De novembre 1904 à juillet 1907, il effectue son service militaire au 151ème régiment d’infanterie. Il exerce la profession de typographe à Angers. A la déclaration de guerre d’août 1914, il est rappelé et rejoint le 135ème RI au front le 27 août à Novion-Porcien (Ardennes). Il est blessé par éclat d’obus au visage le 9 septembre à la Fère-Champenoise, ferme Sainte-Sophie. Évacué à Tulle, il est finalement soigné à Angers et retrouve le 6 janvier 1915 le 135ème RI qui combat dans les tranchées des Flandres à Ypres. Louis Trovaslet est de tous les combats de son régiment. Il est nommé caporal-fourrier le 14 mai 1917. Il est blessé et cité pour la seconde fois le 21 juin 1918 « a toujours donné au cours de sa longue présence au régiment l’exemple du devoir. Pendant les combats du 11 juin 1918 à Méry (Oise), s’est crânement porté à l’attaque, a été blessé alors qu’il communiquait les ordres de son commandant de compagnie sous un violent tir de barrage ». Il est évacué sur l’ambulance 2/152 à Maignelay (Oise). Sa blessure à la main est soignée à Tours par mécanothérapie. Début novembre 1918, il rejoint sa compagnie à Hannapes (Aisne) près de Saint-Quentin alors que le régiment s’apprête à poursuivre les troupes allemandes en retraite. Le 11 novembre, il note dans son journal de guerre « Grand-Bois, cessation des hostilités, pipe de satisfaction dans le pré près du moulin ». Il est démobilisé le 17 mars 1919 et retrouve son épouse Marie, ouvrière d’usine chez Bessonneau qui durant toute la guerre a travaillé pour la Défense nationale.
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Photographie d'un groupe de soldats du 18ème RI, fin 1914. Auguste Moron est à droite.
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Photographie d'un groupe de soldats du 277ème RI, 1915. André Bénion est au 2ème rang, le premier à droite. A noter : 2 capotes modèles 1877 en bleu-horizon, les autres sont du modèle Poiret, une seule patte de collet à gauche sur les capotes.