Livret militaire de Emmanuel Jean Saramito
Livret militaire de Emmanuel Jean Saramito, né à Sospel le 13 juillet 1871 (28 mars 1891 – 15 décembre 1916).
CONTRIBUTOR
Archives départementales des Alpes-Maritimes
1
DATE
1891
LANGUAGE
fra
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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Portrait de Emmanuel Jean Saramito
1 Item
Tirage photographique noir et blanc de Emmanuel Jean Saramito, né à Sospel le 13 juillet 1871, en tenue militaire (sans date).
FRAD006_001J_0987 Histoire de Jean Emmanuel Saramito
1 Item
Documents numérisés aux Archives départementales des Alpes-Maritimes (Archives privées, Grande Collecte, http://www.basesdocumentaires-cg06.fr/os-html/apri/home.html) : 1. Livret militaire de Emmanuel Jean Saramito, né à Sospel le 13 juillet 1871 (28 mars 1891 – 15 décembre 1916). 2. Tirage photographique noir et blanc de Emmanuel Jean Saramito, né à Sospel le 13 juillet 1871, en tenue militaire (sans date). 3. Documents relatifs au décès et aux obsèques de Emmanuel Jean Saramito, décédé au Maroc le 2 novembre 1916 : rapport du régiment, discours du capitaine Maurice Courmes, article de presse (8 - 28 novembre 1916). 4. Documents officiels relatifs aux décorations et honneurs rendus à l’adjudant Emmanuel Jean Saramito (23 janvier 1917 – 20 septembre 1922). || Jean François Emmanuel Alfred Saramito nait à Sospel (06) le 13 juillet 1871, fils de Jean-Baptiste et d’Amélie Imbert. Engagé volontaire le 28 mars 1891, il intègre le 23e bataillon de chasseurs à pieds ; il y est repéré comme très bon nageur et bon marcheur et en sort sergent en 1894. Après un séjour dans la région parisienne, il s’installe à Menton comme employé du casino municipal, puis à Nice, avenue Baquis . Il épouse une demoiselle Pencenat et a un fils, Roger. Sa feuille matricule (871, classe 1891) nous apprend qu’il est surnommé « Calelos » et qu’il se rend pour la saison d’été de 1913 à Sinaïa en Roumanie où le casino vient d’être construit. Il est rappelé à l’activité lors de la mobilisation générale le 2 août 1914 ; nommé adjudant, il passe à la territoriale le 27 août 1916. Envoyé au Maroc, il y est mortellement blessé le 2 novembre 1916 lors d’une attaque du camp des Khemis, Colonne des Ait Messat et décède à l’Ambulance de Marrakech. Il est décoré à titre posthume et son nom est donné à l’allée principale du camp du fort d’Ihler, près de Casablanca. C’est le grand-père du déposant.