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FRAD076-004 | Maurice Gaudin mort pour la France

Maurice Gaudin, sous-lieutenant du 149e RI, est mort pour la France le 9 mars 1916 pendant un bombardement à proximité de Verdun. Sa fille Mathilde est alors âgée de 10 ans.
Correspondance, documents administratifs, sac en toile comprenant les effets personnels de Maurice Gaudin trouvés sur lui à sa mort

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CONTRIBUTOR

Madame Mazingue-Desailly Anne-Chantal

DATE

-

LANGUAGE

fra

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1

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

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METADATA

Source

UGC

Contributor

europeana19141918:agent/348c524fe684a0a4b4de9e5c46e3f8a5

Type

Story

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Language

mul

Agent

Madame Mazingue-Desailly Anne-Chantal | europeana19141918:agent/348c524fe684a0a4b4de9e5c46e3f8a5
Maurice Gaudin | europeana19141918:agent/edda15f1ba74bee8ed50008b10787322

Created

2019-09-11T08:10:05.137Z
2020-02-25T08:08:19.265Z
2015-04-28 08:14:48 UTC
2015-04-28 08:21:12 UTC

Provenance

INTERNET

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_19839

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Maurice Gaudin mort pour la France

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Correspondance entre Maurice Cornier (oncle de Marie-Thérèse Berche, belle-mère du contributeur) avec ses parents et sa sœur Marie-Louise. Maurice Cornier est originaire de Besançon (Doubs). Le 12 novembre 1914 il est à Lons-le-Saunier dans le Jura, il appartient au 44e régiment d'infanterie, 29e compagnie. Dans sa correspondance du 12 novembre, il explique qu'il part d'ici 3 ou 4 jours pour Vic-sur-Aisne, près de Soissons. Le 25 décembre 1914, il est à Villemontoire, il appartient au 44e régiment, 1ere compagnie, secteur postal n°43. En mars 1915, il est à Dôle, il a été blessé puisque dans sa lettre il parle de sa plaie qui saigne. Le 23 mars il est rétabli. En juin 1915 il est proche de Montereau; il appartient au 7e escadron des Trains, 7e compagnie, 37e division, LVAD section 2, secteur postal 26. Le 26 septembre il est dans le secteur postal 49. Le 25 octobre il reçoit la croix de guerre ce qui lui permet de partir en permission. Le 20 octobre 1915 il est dans les tranchées. En 1917 il est canonnier au 9e régiment d'Artillerie à pieds. Il meurt le 11 juin 1917. || Lettres

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Mort pour la France

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Front || Plaque de verre

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