François Trillot soldat du 71ème RIT | 1915
Photographie de François Trillot soldat du 71ème régiment d’infanterie territorial. Carte-photo expédiée à sa soeur le 15 août 1915.
CONTRIBUTOR
Archives départementales de Maine-et-Loire
DATE
1915-08-15
LANGUAGE
und
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
Discover Similar Stories
Trois soldats du 71ème RIT | 1915
1 Item
Photographie de trois soldats du 71ème RIT, 1915. Joseph Pineau est à droite.
Émile Poulain | soldat au 71ème RIT | 1915
1 Item
Photographie d'Émile Poulain soldat au 71ème RIT, 1915
Joseph Louis René PINEAU | caporal du 71ème RIT
1 Item
Photographie d’un groupe de trois soldats du 71ème RIT, 1915. Carnet de guerre. Correspondance de Joseph Louis René Pineau à l’économe de la communauté religieuse de la Retraite du 28 juin au 27 décembre 1914. Citation de Joseph Louis René Pineau à l’ordre du régiment, 1917. || Joseph Louis René Pineau est né le 4 octobre 1878 à Segré (Maine-et-Loire). Il effectue son service militaire au 95ème régiment d’infanterie de novembre 1899 à septembre 1900. En 1907, il doit quitter la maison paternelle pour venir travailler à Angers. Il est embauché comme jardinier par la communauté des religieuses de la Retraite située rue Saumuroise. En août 1914, la guerre est déclarée alors qu’il vient d’achever une période d’exercices militaires au camp du Ruchard (Indre-et-Loire). Mobilisé au 71ème RIT d’Angers, il est confiant et écrit le 12 août à sœur Marie-Thérèse l’économe de la communauté : « je me sens capable d’aller jusqu’à Berlin ». Le 71ème RIT assure en 1914 la défense du camp retranché de Paris. De 1915 à août 1918, date de dissolution du régiment, les territoriaux changent régulièrement de secteurs : ils subissent d’importantes pertes à Verdun en mars 1916. Joseph Pineau est nommé caporal le 15 septembre 1915. Il est cité à l’ordre du régiment le 26 avril 1917 : « Consciencieux et dévoué. A Verdun le 11 mars 1916, a fait preuve de sang-froid en soignant sous un bombardement violent un de ses camarades blessé à la tête. Vient de se distinguer à nouveau au moment d’une contre attaque ennemie sur les lignes conquises ». Le 31 janvier 1919, il retrouve le grand jardin de la communauté des sœurs de la Retraite.