FRBMBX-074 Histoire des soldats Jean et Pierre Reytier
Document 1 Citation à l'ordre du jour du soldat Jean Reytier
Document 2 Photographie du soldat Jean Reytier
Document 3 Photographie du soldat Pierre Reytier
Le soldat Jean Reytier était cultivateur en Dordogne. Nous accueillons ici le témoignage de son arrière-petite-fille Mme Peytoureau Sabine.
Né le 11 septembre 1873 à Celles (Dordogne), il a été blessé au Chemin des Dames en 1917 en creusant une tranchée (comme l'indique le document N° 1). Il reçoit une citation à l'ordre du jour et en 1917,la Croix de Guerre. C'était un homme très courageux. Il décède en 1922 des suites de ses blessures. C'est son épouse Jeanne-Louise qui le remplace à la propriété durant toute la guerre.
Son frère Pierre Reytier, plus jeune de 5 années, est mort à la Poterie dans l'Aisne le 25 juillet 1918. Il laisse une veuve Mélanie et deux enfants.
La mère qui n'avait plus que ses deux garçons, meurt en 1925, endeuillée, en ayant payé un lourd tribut à la nation.
Trench Life
Guerre mondiale (1914-1918)
Official document
Citation à l'ordre du jour du soldat Jean Reytier blessé au Chemin des Dames
Guerre mondiale (1914-1918) -- Campagnes et batailles -- Front occidental
Guerre mondiale (1914-1918) -- Guerre de tranchées
Guerre mondiale (1914-1918) -- France
Jean Reytier
Le soldat Jean Reytier qui a reçu la Croix de Guerre en 1917 meurt en 1922 des suites de ses blessures.
Photograph
Pierre Reytier
Le soldat Pierre Reytier, frère de Jean, mort en 1918.
CONTRIBUTOR
Madame Peytoureau Sabine
DATE
1914 - 1918
LANGUAGE
fra
ITEMS
3
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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Pierre CRIBAILLET était agriculteur natif de Pollestres. Engagé volontaire à 17 ans pour venger un de ses amis tombé au front. Il a participé à plusieurs batailles : Champagne, Verdun, Somme, Chemin des Dames, Château Thierry, La Marne. Il était nettoyeur de tranchée. Il a épousé Marie Jean FABREGA. De leur union sont nés deux fils, Gérard (père du contributeur)et Henri. Après la guerre il est envoyé au Maroc pour terminer son service militaire. Il est démobilisé le 25 octobre 1920. Il racontait beaucoup d'anecdotes à ses petits enfants. Les soldats qui pleuraient avant de partir à l’assaut... mais jamais les atrocités de la guerre... Son petit fils dit : Il racontait le racontable... Anecdote de l'allemand à la baillonnette qui failli l'embrocher et son lieutenant derrière lui qu'il a descendu. De la frousse il en a perdu les cheveux à 17 ans et est resté muet pendant quelques jours. A la retraite, il réalise son album d'un poilu, où il colle des photos, des extraits de publications, articles de presse, de cartes postales... Il remet au propre les notes qu'il avait prises dans un carnet pendant le conflit. || Carnet de route remis au propre de la main de Pierre Cribaillet. Album de photos. Une photo de lui à 17 ans quand il s'est engagé. (1ere page).