- 2 cartes postales avec correspondance - une photographie de Léonard Tissot à cheval || Il a fait la guerre en intégralité. Il était brigadier dans la cavalerie. 5ème d'artillerie lourde, 2ème groupe, 4ème colonne légère. Il avait presque 40 ans quand il a été appelé. Il était au front à Verdun entres autre. Il a été arrêté en 1943 par les allemands et a évité d'être déporté en Allemagne. Son beau-frère a également fait la guerre. Il était engagé volontaire et avait demandé pour être tirailleur marocain. || || Carte postale representant des blessés || Guerre mondiale (1914-1918) -- Soins médicaux || Remembrance || Postcard || Medical || Blessés de guerre || Guerre mondiale (1914-1918) || || Carte postale Les mitrailleuses du 155ème de ligne || Front || Postcard || || Postcard || Guerre mondiale (1914-1918) -- Récits personnels || Verso de la carte avec corespondance || Guerre mondiale (1914-1918) || Artillery || Back || Carte postale les mitrailleuses du 155ème de ligne : correspondance à la femme de Léonard Tissot || Remembrance || || Photographie de Léonard Tissot, cavalier || Léonard Tissot || Remembrance || Photograph

- Une photographie représentant Léonard Pagnoux, officier mécanicien au 90ème régiment d'artillerie lourde (sans date, après le 29 mai 1917) ; - deux vases souvenirs gravés réalisés à partir de douilles d'obus, l'un portant la mention Mt Grappa 1917 et l'autre Souvenir de la Piave (nov. 1918) ; - une bouillotte souvenir gravée réalisée à partir d'une douille d'obus et portant la mention Buono notte sur le côté et Léonard 1918 sous le fond de l'objet. || Léonard Pagnoux est le grand-père paternel du contributeur. Né à Oradour-sur-Glane il est le fils de Léonard Pagnoux et de Marguerite Malamas, domiciliés à Limoges. Cocher puis chauffeur d'automobiles dans la vie civile, il est naturellement formé en 1904-1905 au 12ème escadron du Train des équipages. Rappelé en août 1914, il effectue d'abord un passage au 21ème régiment d'artillerie, puis il poursuit tout son parcours militaire dans l'artillerie lourde en tant qu'officier mécanicien et chauffeur, passant successivement au 112eme, 120ème, 85ème et 90ème régiment. C'est dans ce dernier régiment qu'il obtient une citation à l'ordre du régiment pour son courage, son zèle, ses qualités de chauffeur et pour avoir à maintes reprises conduit son officier sous de violents bombardements. Auparavant il a servi notamment en Italie de novembre 1917 à septembre 1918. Démobilisé en mars 1919, il se retire à la Fauvette, village situé à Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne). Il se marie ensuite à Madeleine Gensac (veuve du soldat Pierre Malamas en décembre 1915 à Guéret) le 16/04/1921.

Cadre en bois contenant le diplôme de la Croix du combattant. || Léonard Valade est né à Cieux (Haute-Vienne) dans une famille d'agriculteurs. Lui-même agriculteur, de la classe 1916, il est incorporé à compter du 10 avril 1915 au sein du 9e bataillon du 63e Régiment d'infanterie et part le 2 décembre 1915. Le 11 mai 1916, il passe au 68e R.I. et est évacué le 22 juin sur l'ambulance 5/9, à Saint-Hilaire-le-Grand (Marne), pour congestion pleuro-pulmonaire. Il est transféré le 29 juin 1916 à l'hôpital temporaire (Arts et Métiers) à Châlons-sur-Marne (Marne) puis est de nouveau transféré à l'hôpital auxiliaire n°12 de Mont-de-Marsan (Landes). Guéri, il passe le 20 décembre 1916 au 268e R.I.. Le 15 juin 1918, il est au 413e R.I, puis finira au sein du 155e R.I jusqu'à la démobilisation, le 21 septembre 1919. Léonard Valade a souffert tout le reste de sa vie des conséquences du gazage et a été réformé définitivement en 1929, suite à un emphysème pulmonaire. Il a fini comme cantonnier. Léonard Valade a reçu la Croix du combattant, la Médaille de Verdun, la Médaille des blessés, la Médaille interalliée de la Victoire et la Médaille Commémorative de la Grande Guerre.