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FRAN-PA-325 Les frères Robelet en guerre

Ce récit concerne la famille Robelet,originaire de Gy (Haute-Saône). Fils de Louis Robelet (1858-1935) et Marie Antoinette Olivier (1863-1924), Paul Albert (1887-1915), Adrien (1889-1965) et Charles-Henri (1883-1954), peintre, furent mobilisés dès le début de la guerre. Paul Albert, mobilisé par décret du 9 septembre 1914 au sein du 170e régiment d'infanterie, rejoignit les armées du Nord et du Nord-Est le 12 mai 1915. Une dizaine de jours plus tard, il fut porté disparu à Notre-Dame-de-Lorette (Pas-de-Calais) le 25 mai 1915, présumé tué et déclaré décédé par jugement du tribunal de Geay en date du 6 juillet 1921. Adrien fut mobilisé par décret du 1er août 1914 au sein du 21e régiment d'infanterie avec le grade de caporal. Il combattit lui aussi avec les armées du Nord et du Nord-Est et prit part aux mêmes combats que son frère sur le plateau de Lorette avant que celui-ci ne disparaisse. Blessé deux fois (en 1915 et 1917), il fut nommé par la suite sergent et intégra l'un des régiments d'infanterie coloniale puis l'armée d'Orient. Il fut décoré de nombreuses médailles : Croix de guerre avec palmes, médaille de la Victoire, de l'Orient ainsi que médaille militaire. Il obtint deux citations, dont l'une pour ravoure au feu dans les combats des 11, 12, 13 et 14 mai 1915 sur le plateau de Lorette.
- Deux cartes postales adressées à Louis Robelet. L'une des deux cartes postales, datée de 1914, vient du 60e régiment de ligne de Besançon.

Les frères Robelet et leur beau-frère
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Cette carte postale, réalisée à partir d'une photographie, constitue l'un des rares souvenirs des frères Robelet, mes arrières grands-oncles, et de leur beau-frère, mon arrière grand-père.
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Des nouvelles du front
Les frères Robelet
Adrien Robelet et un de ses frères
Photograph
Adrien Robelet

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CONTRIBUTOR

Archives nationales Paris 1

DATE

1914

LANGUAGE

fra

ITEMS

5

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

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METADATA

Creator

Inconnu Inconnu

Source

UGC
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Photograph

Contributor

europeana19141918:agent/05ea0a83822210d4da5d9177e1079830

Date

1914

Type

Story

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

Year

1914

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1914

End

1914

Language

mul

Agent

Archives nationales Paris 1 | europeana19141918:agent/05ea0a83822210d4da5d9177e1079830
Paul Albert Robelet | europeana19141918:agent/56f101af715581e6c43f3b7060d64004
Adrien Robelet | europeana19141918:agent/c6d331c9e6b96f74775d6fd167680f0b

Created

2019-09-11T08:33:47.393Z
2020-02-25T08:34:18.947Z
2013-11-28 09:39:12 UTC
2013-11-28 09:55:14 UTC
1914
2013-11-28 09:56:56 UTC
2013-11-28 09:59:16 UTC
2013-11-28 10:00:26 UTC
2013-12-12 13:57:59 UTC

Provenance

FRANPA

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_10407

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FRBNFM-226 Les trois frères Mechinino en guerre

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Le père Mechinino était né à Oran et était marchand de graines. Il avait une maison d'été à Misserghine. Sa femme était alsacienne, de Bouxwiller, Mélanie Baer. En 1900, ils ont dû fuir l'Algérie, en raison des émeutes consécutives au décret Crémieux. Il est venu vivre à Paris. Le couple avait 7 enfants, dont trois fils, Louis, Léopold et Gaston. Gaston a été blessé au début de la guerre et est mort sur la côte 304, le 22 avril 1916. Il était au 135 RI. Il a fait Ypres, la Somme et Verdun. || || Trench Life || Letter || 1ère lettre à sa mère le 29 août 1914 lui annonçant qu'il a été blessé à la cuisse ; || 01 Lettre d'Ischoua à sa mère || Français || || Guerre mondiale (1914-1918) -- Soins médicaux || Photograph || Remembrance || 02 Photographie d'Ischoua Mechinino blessé à l'oeil || || 43.2963,5.369197999999983 || Letter || 03 Lettre d'Ischoua-Louis à son frère Léopold, 11 novembre 1918 || Français || || Français || 04 Six lettres de Gaston Méchinino à sa mère || || 05 Brassard d'ambulancier || Other || 3e Corps d'armée, hôpital temporaire, 26 août 1914 || Medical || Guerre mondiale (1914-1918) -- Soins médicaux

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Les frères BATARDON prisonniers de guerre

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Photo de 1916 des deux frères en captivité à Limburg (Allemagne). || François Joseph BATARDON (classe 1913, matricule 979)et Louis Félix BATARDON (classe 1914, matricule 850), frères nés à Lucinges, ont été mobilisés dans le 13ème Bataillon Alpin de Chasseurs à pied. Ils ont eu des destins très voisins durant la Grande Guerre : en effet, l'aîné a disparu le 15/01/1915 en étant capturé, le second est tombé aux mains de l'ennemi à Steinbach (Alsace) le 5/04/1915. Ils se sont retrouvés tous les deux prisonniers de guerre à Steinbach avant d'être internés à Rastatt (Allemagne) puis à Limburg (non mentionnés dans leurs registres militaires) où ils restèrent jusqu'en décembre 1918 avant d'être rapatriés. Ils apprirent l'allemand et Louis tissa des liens étroits avec une famille allemande qui les avaient reçu, jusque dans les années 1960. Comme quoi nos poilus pouvaient surmonter la haine des Boches dès qu'ils n'étaient plus dans l'enfer des combats. Autre anecdote : tous deux furent décorés de la Croix de guerre avec étoile de bronze pour avoir à plusieurs reprises démonté leur fusil encrassé de boue à moins de 30 m de l'ennemi sous le feu.

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Les frères Sirvain pendant la première guerre mondiale

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Une boite contenant des lettres de soldats écrites entre 1914 et 1919. Cette boite a été retrouvé chez Albertine Roux qui fut l'épouse de Henri Sirvain. || Comme beaucoup de français j'ai voulu participer à La Grande Collecte pour numériser mes archives familiales de la Première Guerre mondiale. Je me suis rendu le Mercredi 13 Novembre 2013 aux archives départementales des Alpes-Maritimes avec deux photos de mon grand père Turland et une boite contenant des lettres échangées pendant la guerre entre un soldat Henri Sirvain et sa femme Albertine Roux, Après un entretien d'une demi-heure nous avons décidé de numériser les deux photos et une carte. Mais en ce qui concerne les lettres qui sont nombreuses et non classées, nous avons décidé que je devais les lire une par une et puis les classer. C'est ce que j'ai fait. Je voudrais maintenant vous faire partager ce que j'ai découvert en lisant ces lettres et relater l'évènement le plus tragique que fut la mort de Paul Sirvain. Ce qui me frappe d'abord c'est la qualité de l'orthographe et de la rédaction de la part de jeunes paysans ou travailleurs qui n'ont que leur certificat d'étude ou pas. Ensuite j'ai remarqué contrairement à ce que je pensais en commençant la lecture qu'il n'y avait pas que des lettres entre Henri et sa bien aimée Albertine mais aussi des lettres de toute leur famille, frères, oncles et tantes, cousins, beaux frères et belles sœurs. On voit que dans toutes les familles, leurs enfants sont partis à la guerre, alors on se demande des nouvelles des uns et des autres, on s'inquiète si on n'a pas de nouvelles, les parents et les oncles plus âgés essaient de leurs conseils d'aider les épouses restées seules à gérer leur commerce et à les soutenir dans cette terrible épreuve. Au début de cette année 1914 la vie s'écoule normalement quoique la vie n'est sans doute pas facile mais personne ne se doute qu'un cataclyme majeur se prépare. Henri Sirvain et Albertine sont à Paris ou ils tiennent un commerce de vins et charbons, 1 rue d’Athènes, Paris 9 (près de la gare Saint Lazare) . Comme beaucoup d'aveyronnais de l'Aubrac ils sont montés à Paris pour s'installer après leur mariage. Les parents Sirvain sont agriculteurs près de Sainte Geneviève sur Agence. Le Frère d'Henri, Paul plus jeune fait son service militaire à Béziers dans les Hussards. Marie sa sœur est mariée avec Marius Volpelier horloger à Sainte Geneviève. On a aussi les lettres de Louis Roux, le frère d'Albertine. Leur cousin germain Jean Auguste Turland (mon grand père) s'est marié le 17 janvier 1913 avec Germaine Brousse et viennent d'avoir un bébé (mon oncle Auguste) né le 9 décembre 1913. Ils tiennent un café-plat du jour au Rendez vous des Employés de l'état, 184 rue Cardinet Paris 17 (en face de la gare des Batignoles depuis gare Pont-Cardinet). L'oncle maternel Henri Mousse est à la retraite. Il passe l'hiver à Amélie dans les Pyrénées orientales. La tante Julia Mousse vit près de Montpellier, à Babeau. Veuillez lire le document PDF joint, merci.

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