La série de cartes postales à laquelle appartient celle-ci présente un certain nombre de vues de la ville de Verdun et de monuments de celle-ci avant et après les bombardements allemands. La place d'armes, dont les bâtiments ont été en grande partie détruit, est mise en scène sur cette photographie.

- des dessins effectués sur le terrain - des photographies personnelles, mais parfois très délavées - des photographies (cartes postales), mais seulement si elles comportent une remarque intéressante, les autres devant déjà être connues - le journal de ces quatre années || Mon grand-père paternel, Alphonse, Emery, Jean-Baptiste NADAL, convoqué par ordre de Mobilisation Générale le 3 août 1914, est arrivé au Corps à Antibes le 4 août 1914 et en est parti le 13 septembre 1914 (111e d'infanterie, 3e bataillon, 12e compagnie. Il est, semble-t-il vaguemestre, d’abord dans la région de Verdun, puis, début avril 1916, près de Dunkerque. Il est mis en congé de démobilisation le 3 mars 1919. Durant toutes ces années, jusqu'au début de 1918, il a tenu presque quotidiennement un journal, notant sur de petites feuilles de papier calque, les événements marquants, les déplacements, livrant quelques impressions personnelles, mais assez rares compte-tenu du format des feuillets. Professeur de dessin (peintre décorateur, dit son livret militaire), il a surtout effectué beaucoup de dessins (et d'aquarelles) personnels qui restituent bien sa vie quotidienne et celle de ses compagnons ; il a aussi noté quelques témoignages et remarques. L'ensemble de son journal a été retranscrit par ma tante, mais il reste des notes éparses à retranscrire. Je me propose donc de numériser l'ensemble de ces documents, d'abord ceux concernant la Meuse jusqu'en 1916, puis ceux de la Somme, jusqu'à la fin de la guerre. || || croquis Avocourt 1914 || Dessins au crayon, réalisés sur des cartes postales vierges, témoignages de la vie quotidienne. || Drawing || Esnes || Avocourt, Esnes, tranchées, abris

Cliché du village de Julien Royale en 1919. Julien adresse des courriers de remerciements à sa protectrice Emile DUBREUILH, infirmière à Bordeaux qui l'avait soigné suite à blessure de Guerre. De retour dans sa famille son village, qui était sur le front était dévasté. Emile lui envoi des colis de victuailles et de vêtements pour aider sa famille