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FRAD077-086 Louis Euzet | prothésiste dentaire dans un camp allemand

La photographie représente Louis EUZET dans le cabinet dentaire du camp de prisonniers, assistant le dentiste allemand. Ce dernier procède à une intervention sur un prisonnier français.
Louis EUZET, prothésiste dentaire est mobilisé en 1914 dans un régiment de zouaves, il est blessé et fait prisonnier dans un camp allemand. Dans ce camp de prisonniers, il est affecté comme aide auprès du dentiste allemand. La photographie du cabinet dentaire dans le camp de prisonniers appartient à Gilles Richet, son petit-fils. La date et le nom du camp sont inconnus.

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CONTRIBUTOR

FRAD077-086_RICHET Gilles

DATE

1914

LANGUAGE

fra

ITEMS

1

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

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METADATA

Source

UGC

Contributor

europeana19141918:agent/10feb7d30ea13925a480b69bbe75aa4a

Date

1914

Type

Story

Language

fra
dan
Dansk
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

Year

1914

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1914

End

1914

Language

mul

Agent

FRAD077-086_RICHET Gilles | europeana19141918:agent/10feb7d30ea13925a480b69bbe75aa4a
Louis EUZET | europeana19141918:agent/1ac3cac348349b40ad8099eb4eb5a999

Created

2019-09-11T08:09:33.272Z
2020-02-25T08:08:25.848Z
2013-11-13 09:18:40 UTC
2013-11-13 09:21:54 UTC

Provenance

FRAD077

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_8238

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Louis Euzet | prothésiste dentaire dans un camp allemand

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la loi martiale dans un camp

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Texte à visée comique à lire avec l'accent Allemand. Ecrite dans un camp de prisonniers en Allemagne. Reflète bien le tempérament de mon grand-père. Période: entre avril 1915 et 1918.

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FRAD077-034 | Henri Hym | prisonnier dans le camp de Merseburg

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Au moment de la déclaration de la guerre, le grand-père du contributeur, Henri Hym, habite à Saint-Maur-des-Fossés (France, Val de Marne), il est marié à Thérèse, qu'il surnomme Tété, depuis le 25 juillet 1914. Il est mobilisé au 26e Régiment d'Infanterie 32e Compagnie 3e section 9e escouade. Dès les premiers jours de sa mobilisation, Henri Hym écrit quasiment quotidiennement à sa femme. Les lettres qu'il lui envoie sont conservées par cette dernière dans une chemise cartonnée achetée à cet effet sur laquelle il est imprimé Guerre 1914-1915-1916. Album de ses lettres. Cette pochette a été conservée par la famille. Il est ainsi possible de reconstituer son parcours. Le régiment part de Paris pour l'Est de la France : Brienne-le-Château dans l'Aube (du 3 au 7 août 1914, Henri Hym est cantonné à Sainte-Savine (Aube), dans une ferme), puis il se trouve à Toul en Meurthe-et-Moselle jusqu'au 5 août 1914, puis à Troyes (France, Marne) à compter du 6 août. Il voit sa femme à Troyes du 11 au 14 août 1914. Son régiment y reste jusqu'au 5 septembre, puis il part pour Mâcon jusqu'au 17 septembre environ. Le régiment est à nouveau déplacé, le 25 septembre il se trouve près de Dompierre (Somme), à proximité de la ligne de feu. Il combat à Méaulte (Somme) où sa compagnie compte 15 à 20 blessés. Le 29 septembre, il retourne à Dompierre. Le 30 septembre, il est fait prisonnier. Emmené vers Cambrai (Nord) où il arrive le 2 octobre matin, il en part en train pour le camp de Zossen (Allemagne) où il reste les 6 et 7 octobre, puis il part pour le camp de Havelberg et à partir du 12 novembre il se trouve au camp de Salzwedel en Allemagne (Gefangenen n° 96, Lager I). C'est dans une lettre du 27 octobre 1914 qu'Henri Hym apprend à sa femme qu'il a été fait prisonnier par les allemands. Il y reste dans ce camp pendant environ un an. Ensuite, il part au camp de Merseburg (à compter d'octobre 1915) où il reste jusqu’à la fin de l'année 1918 ou le début de 1919 avec un séjour au camp plus sévère d'Alten Grabow de mars au 19 avril 1916. Ce changement de camp s'est fait en représailles du gouvernement allemand pour répondre aux mauvais traitements fait aux prisonniers allemands au camp de Biessard (Seine-Maritime) ainsi que l'écrit Henri Hym dans une de ses lettres. Dans le camp d'Alten Grabow il fait des travaux de terrassement pour la construction de canaux. Dans une lettre en date du 7 décembre 1918 Henri Hym annonce son retour prochain à sa femme, mais il est toujours au camp le 29 décembre car il aide la Croix Rouge. Dans ses lettres, Henri Hym donne de ses nouvelles et demande à sa femme de les transmettre à la famille et aux amis, il en demande de ses connaissances. Les courriers sont également l'occasion pour lui de demander certaines denrées à sa femme notamment du savon pour le corps et pour le linge, du thé de chez Félix Potin, des biscuits, du corned-beef etc., voire de l'argent. Il comptabilise les colis reçus et informe sa femme de leur réception. Henri Hym a également conservé les programmes des spectacles auxquels il a assisté durant la durée du conflit. Après son retour, sa femme donne naissance à deux enfants le 16 novembre 1919, Louis et Marguerite (cette dernière décède le 21 novembre). || 1- Photographie d'Henri Hym, 2- Lettre d'Henri Hym à sa femme Thérèse en date du 12 septembre 1915, 3- Lettre d'Henri Hym à sa femme Thérèse en date du 26 septembre 1915, 4- Programme du Théâtre aux Armées de la République, 30-31 octobre et 1er novembre 1917.

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