- 2 carnets de notes manuscrites en tant que brancardier (les blessés, les amputations, les opérations militaires) - 1 carnet de comptabilité d'artisanat de tranchées (vente de bagues fabriquées à partir des obus...) avec des petits cours sur la métallurgie pendant les périodes d'inactivité. || Alfred Gougeon, brancardier pendant la Grande Guerre rédige ses notes au jour le jour de 1914 à 1916 sur les différents fronts (au début de la guerre dans les régions du Nord, Lens...). Il écrit 2 carnets de notes manuscrites sur ce qu'il vit et ce qu'il voit sur le front en tant que brancardier et 1 carnet de comptabilité d'artisanat de tranchées (vente de bagues fabriquées dans des obus...) accompagné de petits cours sur la métallurgie. A son retour dans la vie civile, il monte une petite entreprise d'instruments de chirurgie, probablement marqué par son expérience sur le front (amputations...). L'atelier est bien connu des hôpitaux de Paris. Les 3 carnets ont été conservés par la fille ainée d'Alfred Gougeon qui travaillait dans l'atelier avec le reste de la famille. Les documents ont donc été transmis de génération en génération.

Carnet de route du Maréchal des logis Pierre Penot dans lequel il a consigné tous ses mouvements au cours de la guerre.

Carnet de route du Maréchal des logis Pierre Penot dans lequel il a consigné tous ses mouvements au cours de la guerre.