FRAD062_097 - Henri Sinthomez.
- Photographie d'Henry Sinthomez.
- Photographie de la famille d'Henry Sinthomez.
- Deux diplômes mémoriels de Mort pour la France au nom d'Henri Sinthomez.
Témoignage recueilli auprès de Martine Sinthomez, au cours de l'opération de la Grande collecte du 16 novembre 2013, à propos d'Henri Sinthomez, son grand-père paternel.
Henri Albert Corneille Sinthomez, classe 1901, bureau de recrutement de Dunkerque, matricule 1350, était affecté au 47e bataillon de chasseurs alpins, 7e compagnie. Il fut blessé à Maurepas dans la Somme. Il a été soigné dans l’ambulance d’Étinehem (5-1, dans la Somme), ambulance sur laquelle Georges Duhamel a écrit. Il meurt le 28 août 1916, deux ou trois jours après avoir été blessé.
CONTRIBUTOR
Martine Sinthomez
DATE
1914 - 1916-08-28
LANGUAGE
fra
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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Henri Bourniche
3 Items
Carte postale avec texte manuscrit et photographie représentant l'auteur. || Né le 21/4/1898 à Sainte-Colombe (35), de Jean Bourniche et Léocadie Lebeau, il a passé la majeure partie de sa jeunesse à Tresboeuf (35)avec ses quatre autres frères et sœur. Second fils à partir sur le front, il fut appelé en 1917. Arrivé dans sa caserne le 3 mai, c'est de là que 10 jours plus tard il écrit cette carte postale dont on ignore le ou la destinataire. Pour autant elle a été retrouvée dans le grenier de son frère Pierre à Tresboeuf. Bourniche Henri au 110e d’artillerie lourde …ie chambre N°3 caserne du colombier Cherbourg 13 Mai 1917 Cher Amie Je t’écrit ses quelques mots pour te donner de mes nouvelles qui sont assez bonne pour le moment, je suit toujour en bonne santé et je désire que vous etes tous de même et toi tu est plus amoureux que malade c’est se qu’il faut aussi car sa vaut mieux aussi je voudrai encor bien etre par la amuser avec vous et a boire une bolée car jen bois ? pas beaucoup ou bien il faut le …er mais … c’est la vie militaire je finis ma carte en vous souhaitant le bonjour a tous de loin en attendant de faire de plus près ton ami qui … toi\n Le 13/1/1918, Henri part au front avec son régiment en tant que canonnier de seconde classe avant de passer le 1/2/1918, dans le 101e régiment d'artillerie lourde. Après la guerre, son service militaire qui n'est pas encore achevé se prolonge, et le 27/1/1919 il est transféré dans le 112e régiment d'artillerie puis dans le 276e régiment d'artillerie à compter du 1/1/1920. Ce n'est que le 13/6/1920 que Henri peut quitter sa caserne et revenir à Tresboeuf.