Pierre Coeffic
Pierre Coeffic et de ses 5 médailles. - croix du combattant - médaille de l'union nationale des combattants : unis comme au front - médaille militaire - croix de guerre avec 1 citation (étoile) - médaille interraliée
CONTRIBUTOR
Archives municipales de Lorient
DATE
1914 - 1918
LANGUAGE
fra
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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FRAM - Pierre Coeffic
1 Item
Photographie de Pierre Coeffic et de ses 5 médailles. || Mon grand-père Pierre Coeffic était cultivateur à Keryado (Morbihan) à la ferme de Kergoal. Sergent au 65e régiment d'infanterie, classe 1910, il a fait la Marne, Verdun la Somme et la Belgique. Blessé et gazé il a obtenu une citation et 5 médailles.
Pierre Bourniche
26 Items
Livret militaire avec son fascicule de mobilisation et un bon de déplacement vierge. Plaque commémorative à placer sur la visière du casque à l’aide d’une chaînette aujourd’hui disparue. || Né en juillet 1899, Pierre Bourniche voit bien en mars 1918 que la guerre ne s'achèvera pas avant son appel. Ses deux frères aînés sont déjà partis, Jean en 1914 et Henri en 1917. Précédant l’appel de ses conscrits de quelques semaines, il espère bénéficier de la liberté qui était offerte aux engagés volontaires de pouvoir choisir le corps d’armée dans lequel il pourrait servir. Pierre se présente au bureau de Rennes le 22 mars, s’engage pour 4 ans et, choisissant en quelque sorte la sécurité, opte pour l’artillerie. Le lendemain il en intègre le 50e Régiment basé à Rennes. A partir du 4 avril 1918, on le transfère à l’hôpital militaire Ambroise Paré de Rennes pour soigner une angine. Il en sort le 2 juin et, après une convalescence d’un mois, rentre au dépôt. De retour le 2 juillet, Pierre Bourniche part en direction du front le 10 où il rejoint le 22e, pour être muter dans le 251e le 9 août. Dans ces régiments d’artillerie, la tâche qui lui incombe consiste surtout à s’occuper des chevaux, animaux qui lui sont et resteront très familiers. Après seulement quelques mois de front, c’est sur le pont d’Attigny qu’il apprendra la nouvelle de l’armistice. Engagé volontaire pour 4 ans, il poursuivra son service militaire qui n’aurait dû s’achever qu’en 1922. Pour autant, la commission de Nantes le réforme pour une ancienne congestion pleuro-pulmonaire double le 21 juin 1921. De retour chez ses parents, Pierre retrouvera ses deux frères Jean et Henri aussi revenus de la guerre.