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FRAD076_0015 | Georges Ratel prisonnier en Allemagne

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Georges Ratel, employé de commerce, est blessé et fait prisonnier le 23 juin 1916 à Fleury devant Verdun. Il est l'époux de Marthe Ratel. Il est prisonnier à Germesheim puis Landau. Un complément d'archives a été prêté lors de la Grande collecte aux Archives départementales du Nord par un autre membre de la famille. Mme Ratel a aussi fait un don aux Archives de Seine-Maritime en J 1440.

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CONTRIBUTOR

Madame RATEL Marie-Claude

DATE

/

LANGUAGE

fra

ITEMS

1

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

PROGRESS

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TRANSCRIBERS
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METADATA

Source

UGC

Contributor

europeana19141918:agent/14e632cc1447edfaf8bad11fe1bcc40c

Date

1919
1914

Type

Story

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

Year

1919
1914

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1914

End

1919

Language

mul

Agent

Madame RATEL Marie-Claude | europeana19141918:agent/14e632cc1447edfaf8bad11fe1bcc40c
Achille Georges Raoul RATEL | europeana19141918:agent/3e071e3a8f7a88935bcd255f2d5bb34e

Created

2019-09-11T08:25:26.286Z
2020-02-25T08:27:59.938Z
2015-11-30 10:02:25 UTC
2015-12-03 09:17:03 UTC

Provenance

INTERNET

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_20199

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FRAD071-166 Claude CORDIER | prisonnier en Allemagne

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Carnet de guerre de Claude Cordier du 2 août 1914 au 18 janvier 1919, correspondance, photographie. || Récit d’Hélène et Bernard Penet, fille et petit-fils de Claude Cordier. Ce dernier né à Saint-Bénigne (Ain), dans une famille d’agriculteurs, habite Sennecé-les-Mâcon (Saône-et-Loire) avec sa femme et sa fille unique née en 1912, au moment de sa mobilisation le 2 août 1914 au 334è Régiment d’Infanterie de Mâcon. Les contributeurs ont retrouvé il y a peu de temps un carnet de notes rédigé par Claude Cordier contenant au jour le jour, du 2 août 1914 au 18 janvier 1919 le récit de sa guerre. Dans ce carnet, il relate son premier mois dans les Vosges, au col de la Schlucht, en casernement à Fraize, et dans le village de Saulcy occupé par les Allemands et où son régiment est fait prisonnier le 29 août 1914. De là, il raconte sa captivité, depuis son transfert dans des trains à bestiaux pour Darmstadt (Hesse) en Allemagne où il restera jusqu’au 25 novembre 1914. Puis il sera emmené au camp de Wetzlar (Main) près de Frankfurt puis de Stendal au nord de Brandenburg. A partir du 8 juillet 1915, il va travailler dans une ferme vers Magdebourg à Farsleben. En septembre 1915, son périple reprend, passant à nouveau à Stendal, puis Munster et Dorsfeld, où les prisonniers sont employés à la mine, il refusera d'ailleurs de descendre et par mesure disciplinaire sera envoyé au camp de Ströhen ou Stroehen-Moor (Hanovre) où il relate qu’il est assigné au défrichement et au nivellement des marais. A partir du 29 mars 1916, il est au village de Garnholt et travaille dans une ferme. Il en partira le 5 janvier 1919 pour toucher le sol français le 18 de ce même mois : date à laquelle il clôt la rédaction de son carnet. Cette contribution s’est faite par l’intermédiaire de Mme Monnot, une amie de la famille qui a souhaité filmer le témoignage d’Hélène et Bernard Penet sur Claude Cordier pendant la première et seconde guerre mondiale. Dans ce film, Mme Penet évoque les souvenirs racontés par son père sur sa guerre. Elle raconte que son père avait gardé un très bon souvenir des fermiers allemands chez qui il travaillait et n’avait pas de haine contre l’Allemagne, qu’il avait connu des périodes très dures avant d’être dans cette ferme. Mais en général, il parlait peu de cette période de sa vie. Elle évoque le fait que son père soit parti alors qu’elle n’avait que 2 ans, à son retour elle était âgée de 7 ans et dit ce qu’elle a ressenti alors : « C’est un inconnu qui arrive ». Elle fait le parallèle avec son fils et son mari, prisonnier pendant la seconde guerre mondiale, parti alors que son fils, Bernard n’avait que 18 mois, pour ne revenir que 5 ans plus tard. Elle se rappelle qu’à son retour, son père ayant connu le fonctionnement d’une grande ferme mécanisée en Allemagne, souhaitait que son père en fasse de même sur son exploitation. Mme Penet se souvient « d’un homme qui allait de l’avant ». Claude Cordier sera Maire de la commune de Sennecé-les-Mâcon dans les années 1920 et à ce titre sa fille conserve tous les discours réalisés lors des commémorations du 11 novembre. Claude Cordier avait deux frères dont un est mort à Verdun. || || Guerre mondiale (1914-1918) -- Campagnes et batailles || extrait du carnet de guerre de Claude Cordier à la date du 29 août 1914, le régiment est fait prisonnier || Guerre mondiale (1914-1918) -- Prisonniers et prisons || Claude Cordier || Guerre mondiale (1914-1918) || Diary || || extrait du carnet de guerre de Claude Cordier relatif au refus de 75 prisonniers de descendre dans la mine à Dorsfeld le 19 septembre 1915. || Guerre mondiale (1914-1918) -- Campagnes et batailles || Diary || Guerre mondiale (1914-1918) -- Prisonniers et prisons || Claude Cordier || Guerre mondiale (1914-1918) || Prisonniers de guerre -- 1900-1945 || || Remembrance || Diary || Claude Cordier || Guerre mondiale (1914-1918) || Photo de Claude Cordier avec son père et son frère devant la tombe du frère cadet. || || carte-lettre de Claude Cordier envoyé à sa femme Jeanne lors de sa captivité. (10 septembre 1918) || Claude Cordier || Letter || Guerre mondiale (1914-1918) || Prisonniers de guerre -- 1900-1945 || Guerre mondiale (1914-1918) -- Prisonniers et prisons

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FRAD018_071 Louis COCU | prisonnier en Allemagne

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Louis Antoine Cocu est né le 1er septembre 1898 à Saint-Eloi-de-Gy (Cher). Il exerce la profession d'agriculteur. Il est envoyé sur le front en octobre 1917 avec le 139e régiment d'infanterie. Atteint d'une brochite et d'une pleurite, il se trouve en convlescence au début de l'année 1918 à Bourges. De retour au front avec le 414e régiment d'infanterie en mai, il est fait prisonnier le 29 mai 1918 dans la Marne. Il reste prisonnier en Allemagne à Friedrichsfeld en Rhénanie du Nord-Westphalie jusqu'à la fin du mois de novembre 1918. || Un portrait photographique réalisé en Allemagne à Gonsenheim bei Mainz (1918). Une carte de correspondance envoyée par Louis Antoine Cocu à ses parents pour obtenir des colis d'alimentation (21 septembre 1918). || || Back || Gonsenheim bei Mainz || Photograph || Portrait de Louis Antoine Cocu || || Portrait de Louis Antoine Cocu || Front || || Carte de correspondance adressée par Louis Antoine Cocu à ses parents || Back || || Friedrichsfeld bei Wesel || Front || Carte de correspondance adressée par Louis Antoine Cocu à ses parents

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FRBNFM-096 André Granier | prisonnier en Allemagne

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André Eugène Léonce Marius Granier, né le 9 octobre 1890 à Clermont-L'Hérault, fut prisonnier en Allemagne au camp de Kassel du 7 mars 1915 au 31 décembre 1918. Vigneron de profession, il joue de la contrebasse et fait partie de l'orchestre du camp. Il écrit régulièrement à ses parents et à son oncle (153 lettres conservées, en partie reproduites dans Frédérique GRANIER, Bien des choses de ma part, éd. Christian, 2002.) Son frère, Denis Léonce Antoine Joseph Granier (1894-1918), est blessé au front, au mont Kemmel, près de la frontière belge, et meurt à Grandville. || 1. Photographie d'André Granier en uniforme 2. Carte postale d'André Granier censurée 3. Carte imprimée en souvenir de Denis Granier

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