Un passage de notre captivité | cinq copains
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Photographie mise en scène en studio. Cette scène de partie de cartes au café entre cinq copains (Barthélémy Bouteille est coiffé d'un béret) tranche avec la réalité de leur position de captivité, que dénote la gravité de leurs regards et la légende sur l'ardoise. Etait-ce pour rassurer les familles ?
CONTRIBUTOR
Archives départementales de la Lozère
1
DATE
1916
LANGUAGE
fra
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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FRAD048-007 Un passage de notre captivité | cinq copains
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En 1914, Barthélémy Bouteille, né le 25 juin 1881, est forgeur à Grand'Croix dans la Loire. Durant la guerre il est fait prisonnier, et n'est libéré qu'en février 1919 (?) De sa captivité, il reste qu'une photograpie prise en studio par L. Karl Stadelmann, Leonberg b. Stuttgart, Kgl. Württembergischer Hoffotograf. en 1916. Le livret militaire et une photographie sont les seuls souvenirs de guerre conservés par sa petite fille Michèle Besse, née Bouteille, de Mende. || Une photographie de groupe
Louis MICHELET | un soldat du 125ème RI blessé cinq fois.
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Louis Michelet est né le 11 mai 1889 à Cossé d’Anjou (Maine-et-Loire). Il est boulanger à Chemillé (Maine-et-Loire) lorsqu’il est appelé au service militaire au 125ème régiment d’infanterie de Poitiers d’octobre 1910 à septembre 1912. En août 1914, il est mobilisé au 125ème RI et fait toutes les campagnes du régiment. Il est blessé cinq fois : le 24 octobre 1914 à Poelcapelle (Belgique), blessure au genou droit par éclats d’obus ; le 26 octobre 1915 à Bully-les-Mines (Pas-de-Calais), blessure au front par éclat d’obus ; le 28 novembre 1916 évacué pour pieds gelés à Morval (Somme) ; commotion par éclatement d’obus et plaie au crâne le 14 mai 1918 à Grivesnes (Somme) ; intoxiqué le 10 septembre 1918 à Artemps (Aisne). Il est cité à l’ordre du régiment le 7 novembre 1916 : « brave soldat d’un moral élevé malgré la douleur d’une blessure accidentelle a gardé son poste de combat et a suivi ses camarades à l’attaque du 1er novembre 1916 ». Après plus de 4 ans de guerre et avoir plusieurs fois frôlé la mort, il est démobilisé le 28 juillet 1919. || Photographie d’un groupe de soldats du 125ème RI, 1915. Correspondance familiale du 30 décembre 1914 au 10 juin 1918.
Correspondance de copains d'Armand CAMO
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Cartes postales de copains écrivant à Armand CAMO de 1914 à 1919.