FRAM - Histoire de Léon Lacôte (1894-1914)
Léon Lacôte est né le 1er octobre 1894 à Hénaménil en Meurthe-et-Moselle. Mobilisé, il est incorporé au 100e régiment d’infanterie. Il est tué le 27 octobre 1914 lors des combats de Thuisy dans la Marne. Son camarade de régiment et ami, Léon Lespinasse, écrit au père de Léon Lacôte pour lui apprendre la mort de son fils.
Lettre écrite par Léon Lespinasse au père de Léon Lacôte (1914).
Letter
Lettre écrite par Léon Lespinasse (1914).
CONTRIBUTOR
Jacques Lacôte
DATE
1914
LANGUAGE
fra
ITEMS
2
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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FRAM - Histoire de Léon GONNET
6 Items
Monsieur Léon GONNET (1888-1945) habitant Cevins (73), est le fils de Jean-Marie GONNET (né en 1845 - ? - cultivateur) et de Jeanne Marie Lucie CURTILLAT ( 1848 -? - ménagère). Léon Pierre GONNET a eu deux frères (Octave et Jean-François) et deux sœurs (Rosine et Hélène). Léon GONNET fait carrière dans l'armée. D'après sa fiche matricule, nous savons qu'il est nommé caporal le 11 octobre 1914, au 3e Régiment de marche de Zouaves. Blessé le 25 février 1916 à Verdun (plaie légère du cuir chevelu, contusions , ..) et blessé le 12 septembre 1916 à Jorest ? épaule gauche, par balle. Présent dans la zone des armées du 25 juin 1918 au 20 novembre 1918, il passe au 22e RAC le 21 janvier 1919. Sa carrière l'amènera en Algérie, au pénitencier militaire d'Albertville (73), à Düsseldorf. Il sera dégagé de toute obligation militaire en 1937. Léon GONNET est décoré de la médaille militaire et de la croix de guerre une étoile d'argent et deux étoiles de bronze. Pendant sa carrière militaire, les souvenirs familiaux rapportent qu'en Allemagne, il est accompagné de son épouse Aurélie Sidonie DUNAND (épousée le 31 décembre 1913 à Cevins) et de sa fille unique Raymonde (née en janvier 1917 à Cevins). Léon GONNET décède le 7 janvier 1945. La fille de Léon, Raymonde, épousera Philippe BOUVIER avec qui elle aura trois enfants : Gérard (né en 1936), Jean-Pierre (né en 1943) et Maryse (née en 1952). Gérard, l’aîné, petit-fils de Léon, est le contributeur de cette histoire. Les objets apportés ont été « récupérés » lors de la vente de la maison de Léon GONNET le 30 décembre 1996. Gérard a neuf ans lorsque son grand-père maternel décède, et il garde peu de souvenirs de lui. Cependant, Gérard se rappelle de quelques phrases telles que : « Nous on a gagné la guerre, vous vous l'avez perdu » (souvenir de 1940) « Les tirailleurs étaient en premières lignes... » « Les régiments de Zouaves étaient toujours en avant et ils avaient peurs parce qu'ils pensaient qu'on l'ennemi leur couperaient la tête ». || 1 - Trois cartes postales (deux représentant des zouaves) de Léon GONNET, rédigées entre décembre 1914 et février 1915, deux à son épouse, une à sa soeur. 2 - Carte postale de Léon GONNET, rapatrié à Paris, garçon de café Gare de Lyon, mai 1915 3 - carte postale de Léon GONNET à son épouse Aurélie - 23 septembre 1915 4- Carte de Ben Youssef à son ami Léon GONNET, de Constantine, mai 1916. 5 - Photographies de Léon GONNET, une en pied désignant sa blessure, l'autre en famille (avec son épouse et sa fille après la guerre).
FRAM - Léon FLORENCE
1 Item
C'est le beau-frère de Paul Francis BOURRE. || - Photographie de Léon FLORENCE (20 avril 1916) || || Photographie de Léon FLORENCE au front || Photograph
FRAM - Léon PYARD
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Journal de guerre (29/01/1915-21/02/1915) dont il manque les 30 premières pages qui ont été perdues. Une carte postale de 1914 reproduisant une caricature de Guillaume II, envoyée avant son départ. Deux cartes postales envoyées pendant son hospitalisation à Marseille en 1915, l'une prise avec d'autres blessés et les infimières, l'autre pendant une permission au Vert-Pré. Une carte postale du camp de prisonnier de Spire en 1915. || Mon grand-père paternel, Léon PYARD, appartenait au 132 Régiment d'Infanterie, 26e Cie de Châtelaudrun (Côtes-du-Nord). A partir de mars 1915, pendant sa convalescence à Marseille, il commence à écrire un journal de guerre, il y raconte les semaines précédentes au front et l'organisation de la vie dans les tranchées. Blessé à l'épaule (La Bonne blessure d'après ses copains) une première fois en février 1915, il est d'abord hospitalisé à Verdun puis envoyé à Marseille. Il revient sur le front de l'Est et est à nouveau grièvement blessé en septembre 1915, il est alors fait prisonnier par les allemands qui le soignent puis l'envoient au camp de Spire puis dans celui d'Hammelbing au début de l'année 1916 dont il se serait évadé. Il se retrouve en Lituanie en octobre 1918. || || Marseille || Léon PYARD, journal de guerre (extrait pages 32-33). || Medical || Léon PYARD || Diary || Trench Life || Détail d'une journée de repos à l'arrière, il raconte qu'il va pouvoir faire une lessive et se faire un bon chocolat... || 43.296482,5.369779999999992 || || Trench Life || Diary || Léon PYARD || 43.296482,5.369779999999992 || Medical || Léon PYARD, journal de guerre (extrait pages 52-53). || Marseille || Détail d'une attaque surprise dans la nuit du 18 au 19 février 1915. || || 48.543588,-2.9679089999999632 || Recruitment and Conscription || Propaganda || Léon PYARD, carte postale, caricature, 15 novembre 1914 || Léon PYARD || Back || Postcard || || Léon PYARD || Back || Léon PYARD, carte postale, Camp de Spire, 19 novembre 1915 || Prisoners of War || Medical || Postcard || || Front || Léon PYARD, carte postale, Hôpital de Marseille, 20 mars 1915 || Carte postale envoyée depuis l'Hôpital 201, place du lycée à Marseille, le 20 mars 1915, représentant un groupe de soldats blessés, deux infirmières et un cuisinier. Léon Pyard se trouve au 1er rang à gauche. Il écrit à son père, lui détaille les blessures de ses camarades et l'organisation de l'Hôpital. || Medical || Marseille || Léon PYARD || Postcard || 43.2963,5.369197999999983 || || Back || Léon PYARD || marseille || 43.296482,5.369779999999992 || Léon PYARD, carte postale, Hôpital de Marseille, 20 mars 1915 || Postcard || Medical || || Léon PYARD, carte postale, Hôpital de Marseille, 27 avril 1915 || Front || Carte postale envoyée par Léon Pyard à son frère depuis l'Hôpital Vert-pré - Sainte Marguerite à Marseille le 27 avril 1915, représentant un groupe de soldats convalescents pendant une permission. Léon Pyard se trouve au 1er rang à droite. || Postcard || 43.296482,5.369779999999992 || Medical || Léon PYARD || marseille || || Postcard || Léon PYARD, carte postale, Hôpital de Marseille, 27 avril 1915 || Léon PYARD || Back || Medical || 43.296482,5.369779999999992 || || Carte postale envoyée depuis le camp de Spire, en Allemagne, à sa soeur et son beau-frère, Joseph Huot, le 23 novembre 1915. Blessé grièvement en septembre 1915, il a été fait prisonnier et soignépar les allemands, qui l'ont ensuite envoyé au camp de Spire. || Medical || Spire || Prisoners of War || Postcard || Léon PYARD, carte postale, Camp de Spire, 19 novembre 1915 || Léon PYARD || Front || || Marseille || Diary || Léon PYARD, journal de guerre (extrait page 31). || Journal de guerre écrit par Léon Pyard à partir du 24 mars 1915, pendant sa convalescence à l'hôpital de Marseille. il y raconte les débuts de sa guerre, du 29 janvier au 21 février 1915, et l'organisation de la vie dans les tranchées, puis son hosptalisation. Les 30 premières pages de ce journal ont été perdues. || 43.296482,5.369779999999992 || Medical || Léon PYARD || Trench Life || || Détail de la bataille des Eparges du 17 au 21 février 1915, avec croquis du champs de bataille. || Marseille || Diary || 43.296482,5.369779999999992 || Léon PYARD, journal de guerre (extrait pages 44-45). || Léon PYARD || || Diary || Détail de la bataille des Eparges du 17 au 21 février 1915, avec croquis du champs de bataille (suite) || Léon PYARD || Léon PYARD, journal de guerre (extrait page 46-47). || 43.296482,5.369779999999992 || Marseille || || Châtelaudrun || Front || Postcard || 48.5435929,-2.9678708000000142 || Léon PYARD || Propaganda || Carte écrite depuis Châtelaudrun avant son départ au front prévu sous 8 à 15 jours, envoyée à Joseph HUOT appartenant au 45e d'Artillerie à Vincennes. || Recruitment and Conscription || Léon PYARD, carte postale, caricature, 15 novembre 1914