1 photographie de Louis Cavil Une lettre adressée à Louis Cavil lui expliquant l'entrevue avec de directeur des Forges de Lochrist et les démarches à faire pour obtenir un emploi de forgeron, 30 juillet 1917. || Mon arrière grand-père paternel Louis Cavil, né le 9 avril 1879 à Penquesten Inzinzac-Lochrist (Morbihan) était forgeron. Il a été mobilisé dans le 6è Régiment du Génie Compagnie 11/1. Gazé pendant le conflit, il est décédé de ses blessures en 1922. Suite à ses blessures, il demande à travailler à l'usine de guerre de Kerglaw aux Forges de Lochrist. Il a été adjoint au maire spécial pour Penquesten de la commune d'Inzinzac-Lochrist.

Issu d'une famille de militaire, Émile Maurice Portet, a été mobilisé avec la classe 1896 le 2 août 1914, il est alors affecté au 87e Territorial, 5e Cie à Brest. Il rejoint la Seine-et-Marne le 24 août et ne quittera pas le front jusqu'au 20 août 1917, date à laquelle il est blessé. Le 12 novembre 1915, il passe au 276e régiment de réserve de la Territorial, 2e Bataillon, 6e Cie. En juin 1916, il répond à la demande de sous-officiers dans la 3e armée. Il rejoint l'Oise pour suivre les cours jusqu'au 19 août 1916, quand il a été nommé sous-lieutenant au 16e régiment d'Infanterie Compagnie de Mitrailleurs. Il participera aux batailles de l'Aisne, la Somme, l'Oise et la Meuse. Grièvement blessé en août 1917 par des éclats d'obus, il perd l'usage d'une main. Il passera lors par les hôpitaux de Tours, de Montpellier et l’Hôpital américain de Neuilly pendant six mois. Il est fait chevalier de la Légion d'Honneur en octobre 1917. Il est également nommé lieutenant le 18 août 1918. Tout au long de la guerre, il tient un journal de guerre dans lequel il raconte jour par jour où il se trouve, les batailles mais aussi les conditions de vie et le quotidien d'un soldat. || Extrait du livret militaire d'Emile Portet. Extraits du journal de guerre tenu de 1914 à 1918. Photo-carte postale des officiers de la 5e Cie du 87e RI, en novembre 1914. Photographies sur les champs de bataille 1916. Portait d'Emile POrtet, dans son uniforme d'officier, après-guerre. Citation à l'Ordre de la Légion d'honneur (1916). || || Photograph || Portait d'Emile PORTET en tenu d'officier, photographie prise après 1918. || Remembrance || Emile PORTET, portait || Emile PORTET || || Extrait du journal de guerre écrit de 1914 à 1918. Il raconte ici le premier Noël, en 1914 qu'il passera malade. || Emile PORTET || Emile PORTET, journal de guerre || Diary || Trench Life || || Extrait : sa blessure le 20 août 1917. || Trench Life || Diary || Emile PORTET || Emile PORTET, journal de guerre || || Medical || Remembrance || Emile PORTET, journal de guerre || Diary || Emile PORTET || Extrait : dernière page du journal, la fin de sa guerre d'hôpital en hôpital, et l'armistice. || || Emile PORTET || Official document || Emile PORTET, livret militaire || || Fait Chevalier de la Légion d'Honneur en septembre 1917. || Official document || Emile PORTET, diplôme de la Légion d'Honneur || Emile PORTET || || Official document || Emile PORTET || Emile PORTET, citation à l'ordre de la Légion d'Honneur || || 49.25251,3.2107300000000123 || Front || Remembrance || Emile PORTET, sous-officiers du 87e RI 5e Cie || Postcard || Photographie des sous-officiers de la 5e compagnie du 87e régiment d'Infanterie, prise à Corcy dans l'Aisne, le 22 novembre 1914. Emile Portet fait part de la nécessité pour ces officiers de cacher leurs galons pour ne pas être pris pour cible des tireurs d'élites ennemis. || Emile PORTET || || Emile PORTET || Emile PORTET, sous-officiers du 87e RI 5e Cie || Postcard || || Photograph || Emile PORTET, photographies dans les tranchées || Emile PORTET || Trench Life || Moment de détente dans les transchées.

Photographies, lettres, boite en liège réalisée dans les tranchées. || Alfred LAURENCEAU est mon grand-père paternel. Il était instituteur, au moment de la mobilisation il vivait à Saint Bohaire avec sa femme Isabelle POUSSIN. Il appartenait au 31ème régiment d'infanterie. Au début de la guerre, il combattait dans les tranchées puis il intégra le rain de combat, service logistique de l'armée, responsable du matériel, de la nourriture, des vêtements et de leur acheminement. Il survécut à la guerre et s'installa dans les années 20 à Blois. Il put reprendre son métier d'instituteur. Il fut très marqué par la guerre mais il n'en parlait pas beaucoup.