Transcribe

FRAD043_065bis Alexandre Fournier | maréchal-ferrant durant la Grande guerre

Dominique et Paule Jonget racontent l'histoire d'Alexandre Fournier, maréchal-ferrant à la maréchalerie Jonget, boulevard Saint-Louis au Puy. Alexandre Fournier travaille à la maréchalerie Jonget en compagnie de Mélanie Jonget « la patronne », durant toute sa vie. Mélanie Jonget est la mère de Louis Jonget qui a également fait la Grande guerre et dont l’histoire est racontée sur le site d’Europeana (voir l'histoire FRAD043_065 Louis Jonget, Paul et Simon Borel, soldats de la Grande guerre). Alexandre est très attaché à la famille Jonget. Maréchal-ferrand durant la guerre, le rôle d’Alexandre est capital puisqu’il entretient et renouvelle les ferrures des animaux de troupes et particulièrement des officiers. C’est également lui qui fabrique tous les outils utilisés par la maréchalerie Jonget.
1/ Marché d’abonnement pour l’entretien et le renouvellement de la ferrure passé avec la 2ème armée du 13ème corps, (page 1 du marché, 18 novembre 1914). 2/ Obus de 75 sculpté, finement poinçonné, signé Alexandre Fournier, représentant un coq sur une enclume et comportant les noms de différents lieux de combats (1917), obus de 75 court, sculpté, poinçonné, signé Alexandre Fournier (1918), boîte réalisée à partir d’un obus de 75, avec un fer-à-cheval sculpté en guise de poignée. 3/ Photographie d’Alexandre Fournier en tenue de soldat. Alexandre Fournier porte cousu sur son uniforme, un fer à cheval brodé en guise de galon personnalisé. (Le Puy-en-Velay, 1914-1918).

Official document
45.0427751,3.882802999999967
Alexandre Fournier
Marché d’abonnement pour l’entretien et le renouvellement de la ferrure passé avec la 2ème armée du 13ème corps, (page 1 du marché, 18 novembre 1914)
Guerre mondiale (1914-1918)
Obus de 75 sculpté, finement poinçonné, signé Alexandre Fournier, représentant un coq sur une enclume et comportant les noms de différents lieux de combats (1917), obus de 75 court, sculpté, poinçonné, signé Alexandre Fournier (1918), boîte réalisée à partir d’un obus de 75, avec un fer-à-cheval sculpté en guise de poignée.
Guerre mondiale (1914-1918) -- France
Obus de 75 sculptés, signé Alexandre Fournier (1917-1918).
Weapon
Guerre mondiale (1914-1918) -- Art et guerre
Photographie d’Alexandre Fournier en tenue de soldat (Le Puy-en-Velay, 1914-1918).
Alexandre Fournier porte cousu sur son uniforme, un fer à cheval brodé en guise de galon personnalisé.
Photograph
Western Front

Show More
 
 
 
 

CONTRIBUTOR

Dominique et Paule Jonget

DATE

/

LANGUAGE

fra

ITEMS

3

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

PROGRESS

START DATE
TRANSCRIBERS
CHARACTERS
LOCATIONS
ENRICHMENTS

Generating story statistics and calculating story completion status!

METADATA

Source

UGC
Leaf
Other
Photograph

Contributor

europeana19141918:agent/50f5dc39d799aedd972e1209d8f6dc5e

Date

1914
1918

Type

Story

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

Year

1918
1914

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1914

End

1918

Language

mul

Agent

Dominique et Paule Jonget | europeana19141918:agent/50f5dc39d799aedd972e1209d8f6dc5e
Alexandre Fournier | europeana19141918:agent/9a0f19be8d774648a1e54617a3a75e8a

Created

2019-09-11T08:16:15.167Z
2020-02-25T08:14:05.970Z
2013-12-06 15:44:50 UTC
2013-12-06 15:47:43 UTC
1914-11-18
1917
2013-12-06 15:50:05 UTC
1918
2013-12-06 15:52:03 UTC
1914

Provenance

FRAD043

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_10871

Discover Similar Stories

 
 
 
 

FRAD043_064 La guerre de Jean Jouvenel | maréchal-ferrant

1 Item

M. Daniel Grenier et son épouse Odile parlent de leur voisin d'enfance, Jean Jouvenel, maréchal-ferrant et forgeron à Vergongheon (Haute-Loire, France). Il a légué ses souvenirs de la Grande Guerre à M. Grenier que M. et Mme Jouvenel, sans enfant, avaient pris en affection. Jean Jouvenel, classe 1907, a été mobilisé dès la déclaration de guerre. Il est arrivé au front le 3 septembre 1914 avec le 36e régiment d'artillerie de campagne, régiment dans lequel il fit toute la guerre. Il participera aux combats de Verdun. Décoré de la Croix de guerre, de la médaille de la Victoire et de la médaille commémorative, il fut également cité par deux fois à l'ordre de la division et à l'ordre du régiment pour fait de bravoure au combat. M. Grenier a gardé le souvenir de Jean Jouvenel parlant de la guerre et de sa blessure au flanc. Le 13 novembre 1916, en tentant de récupérer des munitions lors d'un bombardement, Jean Jouvenel fut grièvement touché au coté tel qu'en témoigne la citation à l'ordre de la division. De retour à la vie civile, Jean Jouvenel reprendra son activité de maréchal-ferrant. Il fut marié à Germaine Chabillon de Charbonnier-les-mines. || Portrait de Jean Jouvenel. Citations militaire. Historique du 36ème et 236ème régiments d'artillerie de campagne. Cadre commémoratif 1914-1918 accompagné de décorations et d'un portrait de Jean Jouvenel.

Go to:
 
 
 
 

FRAD078-080 Louis Henri Maneveau | un Bourguignon durant la Grande Guerre

5 Items

1 certificat de bonne conduite au nom de Louis Maneveau, classe 1917, 150ème régiment d’infanterie, né le 1 avril 1897 à Germagny (Saône-et-Loire). Il date du 18 septembre 1919. Photographie individuelle de Louis Maneveau, soldat du 150ème RI. Mention au verso de son identité. Photographie du 150ème RI sur laquelle figure Louis Maneveau (en bas, première rangée, croix au stylo). Verso : mention écrite au stylo « Papa pendant la guerre 14-18 » écrite par la fille de Louis Maneveau, Odette Maneveau. 1 couteau réalisé à partir d’une douille, lame en cuivre avec 2 mentions gravées : 1ère face « 1914 Souvenir 15 », seconde face « Pont-sur-Meuse ». On n’en connaît pas l’auteur mais le couteau indique la date de 1914. Louis Maneveau a été appelé en 1916. || Ces documents m'ont été transmis par l’épouse de Louis Maneveau, dont je suis la petite-fille. Je garde le souvenir d’un homme très marqué par la guerre, d’une nature pourtant joviale. Il en parlait peu. Les objets rapportés ont une grande valeur émotive pour moi et témoignent du traumatisme des combats. On sait par l’intermédiaire d’une photographie, qu’il a été blessé légèrement par un éclat d’obus à une jambe pendant le conflit. Une feuille de campagne indique une mobilisation en Allemagne en janvier 1916 ainsi qu’en Autriche-Bulgarie et Turquie. Après le conflit, Louis Maneveau s’est marié en 1921 et a eu deux filles. Il a été boulanger puis gardien d’usine en Bourgogne. || || Photograph || Louis Maneveau || Front || Photographie individuelle non datée de Louis Maneveau, soldat du 150ème RI. Mention au verso de son identité. Individu bien visible sur la photographie dont l’état est vieillissant. Décor en deuxième plan un peu flou. Dimensions : 9x14 cm. || Remembrance || Photographie de Louis Maneveau || Western Front || || Lérouville || Front || Certificat de bonne conduite || Louis Maneveau || Official document || Remembrance || Certificat de bonne conduite au nom de Louis Maneveau, classe 1917, 150ème régiment d’infanterie. Il date du 18 septembre 1919. Dimensions : 25x32,5 cm. Le certificat est signé à Lérouville (dans l’Est), signé par le général de brigade. || || Photograph || Photographie non datée du 150ème RI sur laquelle figure Louis Maneveau (en bas, première rangée, croix au stylo). Verso : mention écrite au stylo « Papa pendant la guerre 14-18 » écrite par la fille de Louis Maneveau, Odette Maneveau. || Louis Maneveau || 150e Régiment d'Infanterie || Remembrance || || Louis Maneveau || Couteau réalisé à partir d’une douille, lame en cuivre avec 2 mentions gravées « 1914 Souvenir 15 », 2ème face « Pont-sur-Meuse ». On n’en connaît pas l’auteur mais le couteau indique la date de 1914. Louis Maneveau a été appelé en 1916. || Couteau de Louis Maneveau || Weapon || Remembrance || Front || Pont-sur-Meuse || || Pont-sur-Meuse || Weapon || Remembrance || Back || Louis Maneveau || Couteau de Louis Maneveau

Go to:
 
 
 
 

FRAD043_081 La guerre du maréchal-ferrant Emmanuel VINCENT

1 Item

Emmanuel Marius Vincent est né le 30 juillet 1892 à Allex dans la Drôme. Affecté au 75° régiment d'infanterie en octobre 1913, il sera envoyé sur le front dès le 5 août 1914. Il combattra dans les tranchées sur le front du chemin des Dames et de Verdun. Fait prisonnier il sera retenu à Diedenhofen (aujourd'hui Thionville ) alors annexé à l'empire allemand depuis 1871. Il sera démobilisé le 27 août 1919 Cultivateur puis maréchal ferrant, il lui sera demandé d'exercer ce dernier métier durant sa captivité. De retour à la vie civile, s'il fut discret sur l'enfer des tranchées, les photos et les objets réalisés durant ses années de prisonnier racontent une partie de sa grande guerre : - des photos décrivent avec précision la manière dont le cheval était ferré, Emmanuel Vincent tenant notamment une paire de tenaille, - des obus, vestiges de la guerre ont été conservés par sa famille, notamment un obus transformé en briquet orné d'une tête de lion. Souvenir de sa captivité, Emmanuel Vincent, tel un clin d'œil à son métier, a fixé sur un sabot de cheval un cadre photo soutenu par deux balles de mitraillette. Dans le cadre il y a mis la photo de son mariage en 1920. Plus intéressant un encrier posé au centre du sabot porte sur sa face antérieure une vue de Diedenhofen durant la première guerre mondiale. Ces objets montrent la dextérité des soldats et expriment la passion qu'ils avaient de leur activité dans le civil. Le soin apporté à l'exécution de la tête du lion sur le briquet est remarquable. || Photographies prises lors de la captivité d'Emmanuel Vincent : ferrage de chevaux. Photographie en pied d'Emmanuel Vincent Photographie des objets réalisés durant la guerre, probablement en captivité : l'encrier et le briquet.

Go to: