Une lettre || Le 3 octobre 1918, alors que le soir même il monte en ligne au Chemin des Dames, Gaston PRIDALU écrit à Mr et Mme LOISEAU. Voila plus d'un mois qu'il est sans nouvelles de son ami Raymond et il s'en inquiète. Il est admirable que cet homme qui va bientôt affronter la fureur du champ de bataille s'interroge sur le sort d'un ami. Et par ailleurs, nonobstant cette inquiétude, comme souvent, le ton se veut rassurant, car pour lui la santé «va toujours très bien». Cette lettre a été trouvée par le contributeur dans une boîte en fer, à Nouhan-le-Fuselier (Loir-et-Cher). Sur le site mémoire des homme est mentionné un Raymond LOISEAU, natif d'Eure-et-Loire et tué à l'ennemi le 2 septembre 1918, dans l'Aisne. Est-ce l'ami dont Gaston PRIDALU cherche à avoir des nouvelles ? || || Lettre, première page || Letter || || Lettre, deuxième page || Letter || || Lettre, troisième page || Letter

Simone Quen di Tuenno (classe ca. 1884) si trovava agli arresti nel Castello del Buonconsiglio a Trento, da dove ha potuto assistere all'impiccagione di Cesare Battisti e a darne testimonianza al giornale “Giornale d'Italia”. Erminia Valentini, moglie di Simone Quen, ha conservato il ritaglio con la testimonianza del marito. La testimone ha ricevuto il ritaglio dalla nonna, che era sorella di Quen, e lo ha portato a scuola quando era alle elementari per parlarne in classe.

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