portrait de Léon Potel au recto du carte postale adressée à sa cousine.

Citation indiquant que malgrè ses blessures, il a gardé son poste de veilleur

Certificat donnant droit au port de l’insigne des blessés de guerre pour Léon Hurez du 22 mai 1918. || Léon, (Classe 1916, Cambrai n°357), fils d’Henri Hurez et de Françoise Fortunée est né le 14 mai 1896 à Aniche. Il fait partie de la 21e compagnie du 365e régiment d’infanterie et a travaillé pour les chemins de fer de l’Etat. Il a été blessé à l’avant bras gauche par éclat d’obus et soigné à l’hôpital d’évacuation n°20 (2e section) entre le 27 mai 1917 et le 17 juin 1917. Il est à nouveau touché par des éclats d’obus, le 27 octobre 1918 à la main gauche Léon Hurez est cité à l’ordre du régiment (n°271) le 5 septembre 1918 : « N’a pas hésité pour porter des renseignements urgents à traverser un terrain fortement battu par l’artillerie et les mitrailleuses ennemies, s’est signalé à maintes reprises par son courage et son dévouement ». Le 23 février 1919, il reçoit un certificat lui donnant droit au port de la fourragère car il participé aux combats qui ont valu à son régiment deux citations à l’ordre de la Xe armée. Il obtient également la médaille militaire. || || Léon Hurez || Certificat donnant droit au port de l’insigne des blessés de guerre pour Léon Hurez du 22 mai 1918. || Official document || Confolens (Charente, France)