Carnet de route de Paul Forgeat (mars 1917- novembre 1918)
4. Carnet de route de Paul Forgeat (1917-1918), né le 26/03/1897 à Montceau les Mines (71, Saône et Loire).
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Archives départementales des Alpes-Maritimes
1
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-
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fra
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1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
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METADATA
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Captivité mars à novembre 1918
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cartes postales de la Croix rouge Internationale et de la Croix Rouge Française qui mentionnait sa date et son lieu de captivité. Lettre écrite à la famille lors de la captivité. || Mon Grand-père maternel à fait la totalité de la guerre de 14-18 dans les tranchées. C'est ce que je pensais jusqu'au jour où j'ai retrouvé les cartes postales de la Croix rouge Internationale et de la Croix Rouge Française qui mentionnait sa date et son lieu de captivité, ainsi qu'une lettre qu'il avait écrite lors de sa captivité. Je ne l'ai jamais entendu parlé de la guerre 14-18, le souvenir qui m'est resté qui est probablement en relation avec ce qu'il avait vécu, c'est la finesse des épluchures des pommes de terre qu'il pelait, je n'en ai jamais vu d'aussi fines.
FRAD006_01NUM_0113 Histoire de Paul Forgeat
1 Item
Paul Forgeat est né à Montceau-les-Mines le 26 mars 1894 dans une famille bourguignonne et musicienne (son père est organiste et chef d'orchestre). C'est l'oncle maternel de la déposante. Il participe à la Grande Guerre comme engagé volontaire, de 1914 à 1918, dans le 3e régiment de Zouaves. Il cantonne principalement dans la région de Reims où il est fait prisonnier le 25 mai 1918. Il s'évade le 10 novembre 1918 en Belgique, la veille de l'Armistice et revient à pied jusqu'à Montceau-les-Mines ; il y arrive amaigri, malade et couvert de puces. Pendant toute cette période, il tient un carnet dont la première partie, du 20 mars 1917 au 28 mai 1918 raconte sa vie de soldat, les combats et tout ce qu'il voit autour de lui. Son carnet contient également de nombreux croquis des lieux où il se trouve. La seconde partie du carnet commence le 28 mai 1918 avec sa captivité et se termine le 14 novembre 1918 lorsqu'il retourne dans son village natal. Il relate ainsi la vie à l'arrière des lignes allemandes où il ressort que son principal souci, ainsi que celle des autres prisonniers, est la nourriture. Après la guerre, fasciné par Lénine et l'idéal communiste, il part s'installer en Russie où il rencontre sa future femme, Genia, dont il aura deux enfants. Dans les années 1936, il sera arrêté et accusé d'être un espion au service de la France, et envoyé en Silésie où il mourra en 1947. || Documents numérisés aux Archives départementales des Alpes-Maritimes (Archives privées, Grande Collecte) http://www.basesdocumentaires-cg06.fr/os-html/apri/home.html : 1. Carte postale représentant l'arrivée du Président Wilson en 1918. Paul Forgeat est au sommet de la pyramide humaine. 2. Photographie d'un groupe de soldats. 3. Photographie sur carte postale des enfants de la famille Forgeat. Benoît Marie Maxime Forgeat, instituteur et musicien (1871-1916) et Marguerite Content eurent 9 enfants (Charles Ernest, Paul Maxime (dont parle cette histoire), Marguerite Jeanne, Charles Ernest, Julienne, Maxime, jean, Antonine Jeanne, et Renée Jeanne (mère de la déposante). 4. Carnet de route de Paul Forgeat (20 mars 1917-14 novembre 1918) ; le carnet contient une photographie de femme. 5. Photographie de Paul Forgeat en 1920.
FRBMTO-03-001 Carnet de route de Paul Méric
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Carnet de route intitué Ma route ... années de guerre, 1917-1918. Commence à Montauban le 27/11/1916. Première ligne : On part... vers où?