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Auguste Ragaru

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Photographies d'Auguste Ragaru : - Avec un camarade, en pied et en tenue militaire (Auguste Ragaru est à droite). - Portrait d'Auguste Ragaru au service militaire.

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CONTRIBUTOR

Archives départementales de la Charente-Maritime

DATE

-

LANGUAGE

fra

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1

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

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METADATA

Source

UGC
Unknown

Contributor

europeana19141918:agent/185418a21624995fd7762eb2040e9968

Type

Photograph

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Language

mul

Agent

Archives départementales de la Charente-Maritime | europeana19141918:agent/185418a21624995fd7762eb2040e9968

Medium

Photographic paper

Created

2019-09-11T08:41:13.003Z
2020-02-25T08:52:27.588Z
2014-01-23 07:55:22 UTC

Provenance

INTERNET

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_12275_attachments_125477

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Documents relatifs à Auguste Ragaru

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Quatre documents concernant Auguste Ragaru : 1 avis de recrutement (1916), 1 carte de combattant (1934-1939), 1 titre de libération définitive (1937), 1 article de presse (1938). || Front

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FRAD017 - Histoire d'Auguste Ragaru

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1 livret militaire classe 1916, 2 photographies, 1 carte du combattant, 1 titre de libération définitive, 1 article de presse. || Auguste Ragaru est né le 20 mai 1896 à Saint-Georges-d'Oléron (Charente-Maritime, France). Cultivateur de profession, il est mobilisé en 1915 au 153e régiment d'infanterie. Il est blessé d'un éclat d'obus le 16 avril 1917 à Bray en Laonnais (Aisne, France). Il continue de combattre jusqu'en 1919 et est dégagé de toute obligation militaire en 1937. Il décède en 1960.

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Auguste CHASSERIEAU

3 Items

Journal de Guerre d'Auguste Chasserieau,337e RI || Auguste est né en 1894 dans une famille de cultivateurs à Fontenay le Comte en Vendée. Lors de la mobilisation générale, il rejoint le 337e RI. Il participe ensuite avec son régiment à la bataille des Ardennes, puis se trouve dans l’Aisne et à partir du 6 septembre dans la bataille de la Marne. Il est fait prisonnier avec sa compagnie le 8 septembre 1914 à La Fere Champanoise. Voici ce qu'il écrit Ce matin nous sommes réveillés par le feu de l'artillerie ennemie...Nous sommes cernés, entourés par l'ennemi...C'est encore le moment de réfléchir. A droite et à gauche on ne voit que des morts. C'est affreux. Il y en a des milles et des milles. Que faire? se rendre ou mourir? Nous mettons la crosse en l'air.Le feu cesse. Nous sommes prisonniers.\n Il est alors transféré au camps de prisonnier d'Erfurt en Allemagne. En mai 1915, il contracte une mauvaise bronchite et il est envoyé à l’hôpital. Il écrit dans son journal le 26 mai je viens de quitter ma culotte pour la première fois depuis 300 jours, ça me semble drôle. Le 3 juin son état ne s'améliorant pas, il est mis dans un train pour être transféré en France. Il fera d'abord une halte dans un hôpital près de Constance puis son état se santé se dégradant sérieusement, il sera renvoyé chez lui où il décédera. Auguste Chasserieau est l'oncle maternel du contributeur qui a conservé précieusement son carnet de guerre dans son étui en tissu. Son nom est inscrit sur le Monument aux Morts du Boupère.

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