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01-Journal de guerre de Maurice Wartel - 1ere page du Manuscrit

Journal manuscrit

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CONTRIBUTOR

Bibliothèque nationale de France
Bussy-saint-Georges
2

DATE

1961

LANGUAGE

fra

ITEMS

1

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

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METADATA

Creator

europeana19141918:agent/ff83cbd3a6884cf7f83221c09288da8d

Source

UGC
Notebook

Contributor

europeana19141918:agent/aa2eb0ee69965cc0e5cfd1323d0a7314

Date

1961

Type

Diary

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

Year

1961

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1961

End

1961

Language

mul

Agent

Bibliothèque nationale de France | Bussy-saint-Georges | 2 | europeana19141918:agent/aa2eb0ee69965cc0e5cfd1323d0a7314
Maurice Wartel | europeana19141918:agent/ff83cbd3a6884cf7f83221c09288da8d

Medium

Paper

Created

2019-09-11T08:25:01.782Z
2020-02-25T08:27:28.330Z
2020-02-25T08:27:28.331Z
2013-11-25 11:16:24 UTC

Provenance

INTERNET

Record ID

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FRBNBU-052 Journal de guerre de Maurice WARTEL

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Le 09 octobre 1914, le préfet du Nord ordonne l'évacuation des hommes valides de 18 à 48 ans. Maurice Wartel (père de monsieur Christian Wartel, le contributeur), alors âgé de 19 ans, part vers Béthune puis Calais, Boulogne, Gravelines. Il arrive à Bourbourg le 10 novembre 1914. Le 05 novembre 1914, il est déclaré on pour le service armé ; il est incorporé au 94e régiment d'Infanterie, 30e compagnie (matricule 2806) à Bar-le-Duc. Le régiment est cantonné à Plélan-le-Grand (Ile et Vilaine). C'est de Plélan que Maurice part au front. Le train s'arrête à Soissons puis départ à pieds vers l'Argonne en 1ere ligne à 10 ou 12 mètres des tranchées allemandes. Fin avril 1915, alors que sa compagnie est en 2eme ligne en réserve, les soldats sont gazés. Le 94e régiment a obtenu à cette occasion la Médaille Militaire. Ils ont en face d'eux une armée d'élite, celle du Kromprinz (fils de Guillaume II). Les soldats subissent aussi le lancement de liquides enflammés. Le 15 octobre 1915,alors que les soldats français s'apprêtent à attaquer, les Allemands arrivent par derrière. Maurice Wartel est fait prisonnier et est emmené au camp de Hameln. Commence alors la vie de prisonnier : des civils allemands venaient chercher les prisonniers dont ils avaient besoin (ferme ou champs) et Maurice Wartel est d'abord embauché à la fabrication d'un ersatz de charbon (excréments mélangés à de la tourbe) puis à la fabrication de boudins et enfin au triage et à la distribution des colis. Au milieu de l'année 1916, il change de camp de prisonniers : il part d'abord en Pologne puis arrive à Seesen où il est bûcheron dans les forêts du Hartz . En octobre 1918, des mutins de la marine allemande arrivent dans le camp. C'est avec leur aide que Maurice Wartel, ainsi que son frère et un ami, s'évadent. Ils se dirigent d'abord en train vers la Hollande, puis commencent une longue marche dans la forêt et se retrouvent par miracle en Hollande. Ils sont emmenés dans un hospice pour être soignés et nourris. C'est dans cet hospice qu'ils apprennent la signature de l'armistice. Maurice, son frère et son ami partent en train jusqu'à Flessingues puis en bateau jusqu'à Dunkerque. A Dunkerque, il sont hébergés à la caserne du 110e RI et c'est au 43e RI à la Citadelle de Lille que Maurice Wartel est démobilisé le 24 août 1919. || - Journal manuscrit - Journal tapuscrit

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01-Journal de guerre manuscrit de Jean CROS (84e RI)

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Le document est consultable dans son intégralité sur le portail des Archives départementales de l'Hérault via le formulaire de recherche dédié à la période 1914-1918 : http://archives-pierresvives.herault.fr/archive/recherche/guerre14/n:36

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Page 1 du manuscrit des Mémoires de mon grand-père

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Page 1 du manuscrit qui fut rédigé sur un cahier d'écolier. En regardant l'écriture, on se rend compte aussitôt que la transcription sur ordinateur ne fut pas une chose facile. Mon grand-père avait près de 80 ans lorsqu'il rédigea ses Mémoires de la Première Guerre mondiale, il avait des crampes à ses doigts et, au fil de son travail, il ressentait de plus en plus la fatigue (il décéda en janvier 1972, soit environ un mois après l'achèvement du manuscrit). J'ai bien sûr numérisé chaque page du manuscrit, ce qui m'a permis non seulement d'en assurer la pérennité mais aussi de pouvoir m'appuyer sur la version scannée afin de déchiffrer certains mots et certains noms plus rapidement.

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