Courrier de Paul Kramer
Courrier de Paul Kramer écrit le 14 février 1916 Une partie de mes poilus
Back
CONTRIBUTOR
Archives départementales de la Charente-Maritime
DATE
1916-02-14
LANGUAGE
fra
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
Discover Similar Stories
Courrier de Paul Kramer
1 Item
Courrier écrit par paul Kramer le 11 mars 1916, quelques jours avant sa mort : je redescends ce matin à Verdun après 6 jours d'enfer. Ah mon Dieu ! Quelle tuerie ! Quelle boucherie. Des bonbardements comme personne n'en avait vus, même à Arras. Mon régiment vient de perdre les deux tiers de son effectif. Enfin nous avons tenu bon quand même malgré les gaz et les liquides enflammés. Les boches ne se servent que d'obus de 150 et de 210
Carte postale de Paul Kramer
1 Item
Carte postale de Paul Kramer écrite à sa soeur Mme Becquelin le 1er mai 1915 quand il est à l'hôpital complémentaire de Saint-Aubin-sur-Mer qui est un hôtel restaurant. Il a mis une croix pour indiquer sa chambre. Il indique que c'est superbe mais il craint ne pas y rester longtemps. || Back
FRAD017 - Histoire de Frère Emmanuel | Paul Kramer
1 Item
Photo-cartes, courriers de Paul Kramer à sa soeur Suzanne Becquelin, articles de presse de l'Eglise || Paul Kramer est né le 21 mars 1892 à Paris dans le 14e arrondissement. Avec sa mère, ils s'installent à Fontenay-le-Comte (Vendée, France). Désirant être prêtre, Paul Kramer étudie à l'École séraphique des pères capucins, avant d'entrer au noviciat le 3 mars 1907, où il prend le nom de Frère Emmanuel. Sergent dans le 109e régiment d'infanterie, il a fait l'école militaire à Saint-Maixent (Deux-Sèvres, France). Blessé à deux reprises en 1915, il est hospitalisé notamment à l'hôpital complémentaire de Saint-Aubin-sur-Mer dans un hôtel, café restaurant. Il décède le 18 mars 1916, tué à l'ennemi à Fleury devant le fort de Douaumont et selon un courrier du sergent Fourrier qui décrit les circonstances de sa mort : Il était avec la compagnie en réserve dans les caves d'un village. Sur la maison qui les abritait est tombé un obus de gros calibre. Il s'est trouvé enseveli avec ses camarades sans qu'il soit possible de les dégager, la maison avait deux étages, son corps y est donc resté.