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01-Photo de François Vendel en militaire

Photo de François Vendel en militaire
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Bibliothèque nationale de France
Bussy-saint-Georges
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Europeana 1914-1918

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UGC

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europeana19141918:agent/e6c7ed08e9c70a41104cb061685bf54e

Type

Photograph

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Language

mul

Agent

Bibliothèque nationale de France | Bussy-saint-Georges | 1 | europeana19141918:agent/e6c7ed08e9c70a41104cb061685bf54e

Medium

Photographic paper

Created

2019-09-11T08:28:20.103Z
2020-02-25T08:24:10.803Z
2013-11-25 16:56:50 UTC

Record ID

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FRBNBU-110 François Vendel ma guerre | une blessure inguérissable

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Né le 10 octobre 1888, classe 1908, François Léon Vendel, grand-père paternel de Claude Vendel (contributeur) a été mobilisé au Bosmont au 133ème RI, équipé le 02 août 1914 à 14 h 00. Il habitait Paris qu'il avait quitté le samedi 1er août 1914 à 13 h 00 pour se rendre à Belfort dans sa famille. Il part ensuite pour Aillevillers à 9 h 00 du soir. Le 10 août il est envoyé à Cravanche près de Belfort dans la 26ème compagnie. Le 4 septembre 1914 il est de garde à la gare de Belfort quand 2 bombes sont envoyées par un aviateur allemand, sans résultat. Le 13 octobre 1914 il est envoyé à Commercy puis à Pont-sur-Meuse et Marlotte (ligne de feu) et Croix-saint-Jean dans la Meuse. Il est nommé sergent le 7 novembre 1914. Il passe dans le 172ème RI 13 ème Compagnie dans laquelle il se trouve dès mai 1915 (peut-être avant cette date). En mai 1915 il subit de violents bombardements vers le bois d'Ailly au Nord de Commercy (Meuse), est souvent en première ligne, connait les bombardements, les fusillades, les occupations de tranchées, l'entourage des cadavres et le développement des infections. En juin 1915 il part pour la région de Verdun où il se retrouve à nouveau en première ligne. Il y connait les explosions de mines, les bombardements d'obus, de torpilles et de bouteilles. En août 1915 se tient une revue de son régiment par un général britannique et le général Joffre. Fin septembre 1915 il se trouve vers Suippes dans la Marne où l'ennemi est en fuite et il traverse la première ligne ennemie dans laquelle se trouvent des morts en quantité. Le 26 septembre 1915 vers 18 heures il est gravement blessé, la jambe brisée voire déchiquetée par un éclat d'obus. Relevé le 27 septembre 1915 il est évacué sur Suippes, puis envoyé vers Paris le 28 septembre où il arrive le 29 septembre à 7 heures. Il est pansé à l'ambulance de la gare de la Chapelle et dirigé à l'hôpital Lariboisière à des fins d'opération urgente. Il est opéré le 29 septembre dans l’après-midi puis réopéré pour grattage d'os une seconde fois le 8 décembre 1915 (intervention très douloureuse). Il est réopéré une troisième fois le 2 janvier 1916 et déclenche une importante hémorragie, puis une quatrième fois le 13 janvier 1916 et une cinquième fois le 22 janvier 1916 pour pratiquer une suture artérielle, suivie à nouveau d'une très importante hémorragie. Le 24 février 1916 il est évacué à Enghein. Il est opéré à nouveau une sixième fois le 2 avril 1916. Lors de cette opération il lui est encore enlevé un fragment d'os. Il est plâtré le 25 avril 1916. On le rééduque à marcher le 27 avril 1916. Déplâtré le 27 mai 1916 son sang ne circule plus dans sa jambe. Il déclare un abcès ouvert le 8 juin et est réopéré pour la septième fois le 22 juin 1916 pour lui retirer à nouveau 4 esquilles d'os. Il quitte Enghein le 20 novembre 1916 pour Clignancourt et est réformé le 19 décembre 1916 après 15 mois d'opérations multiples et d'intenses souffrances. Tout le restant de sa vie, ses plaies ont suinté, il a survécu mais 40 ans après il était encore nécessaire de soigner sa blessure quotidiennement. Malgré toutes ses souffrances il est resté gai pour sa famille. Mais sa femme disait j'ai versé trop de larmes pour en avoir encore aujourd'hui à verser. || - Photo de François Vendel - Carnet de guerre de François Vendel - Bulletin de santé sanitaire de François Vendel - Photo de la 13ème Ci du 172ème RI - Partition de la chanson patriotique La Française

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01-Photo de Marcel Mary en chasseur alpin

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Front || Photo du Marcel Mary Chasseur Alpin 3ème Cie, 3ème section, classe 1913

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01-Photo de Monsieur Robin en uniforme de zouave

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L'uniforme des zouaves se compose d'une coiffe arabe dite « chéchia », sorte de bonnet de feutre rouge, agrémenté d'un gland à franges bleu et d'un turban de coton blanc roulé en boudin autour de la chéchia. La « bedaïa », veste-boléro de forme algérienne, en drap bleu foncé avec passepoils et tresses garance, est portée sur le « sédria », gilet algérien sans manche en drap bleu foncé à tresses garance. Le « tombô » de la veste, sorte de fausse poche dessinée par une arabesque formée par la tresse décorative, est à la couleur du régiment. Le pantalon arabe, le « sarouel » est d'une forme très ample et sans séparation d'entre-jambe. Une ceinture de laine bleu indigo vient s'enrouler à la jonction du bas du gilet et du haut du sarouel (cette ceinture est destinée à tenir les intestins au chaud pour lutter contre la dysenterie). La ceinture, qui mesurait 40 centimètres de large pour quatre mètres de long, était l’élément le plus difficile à mettre, le zouave devant souvent appeler à l’aide un de ses compagnons. En guise de manteau, le zouave possède un collet à capuchon, sorte de pèlerine ample mais courte, fabriquée en drap de couleur « gris de fer bleuté ». Des bandes molletières en drap portées avec des souliers cloutés de cuir noir, complètent la silhouette du zouave. Source Wikipédia

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