Un souvenir de tranchée
Lettre d'amour, souvenir de tranchée.
Correspondance des armées (carte postale en franchise) avec feuille volante décorée au charbon (?) portant le prénom de mon arrière grand-mère.
CONTRIBUTOR
Pénélope Trahin
DATE
1915-02-15
LANGUAGE
fra
ITEMS
3
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
Discover Similar Stories
FRAD078-013-01 Le couster Un objet de tranchée
1 Item
Objet de tranchée, stylo à plume, fait avec deux balles de 7,62, trouvé en brocante. Ciselé avec des petites fleurs. Initiales F.C. et petite colombe de la paix emmenant une lettre. || J'ai trouvé ce porte- plume en brocante; j'ai été touché, car il représente je trouve l'espoir, et l'envie de communiquer, par dessus tout, sur cette période sombre et difficile.
FRAD078-013-02 Objet de tranchée | souvenir de mon arrière- grand père Albert Methey
1 Item
Briquet fait avec un bouchon de radiateur d’un véhicule militaire. 5/3.5 cm. || Mon arrière- grand père m'a donné ce briquet, juste avant sa mort. J'avais alors 7 ans. Je me souviens de lui, comme ayant été gravement traumatisé par la guerre. Blessé, sa jambe suppurait encore des années plus tard, dans les années 1960. Il parlait souvent de cette période, qui l'avait profondément marquée.
Un souvenir pour ma soeur
1 Item
Carte postale, Photo de Georges Sylvestre GORÉ, 1917. || Cette carte postale comportant la photo de Georges Sylvestre GORÉ a été envoyée par sa femme Reine en 1917 à la soeur du premier, Marthe GORÉ, au Costa Rica. Georges Goré (Paris 1886-1921), télégraphiste, part à la guerre en septembre 1915 à 29 ans, quatre ans après son mariage avec Reine Philippe. Il a été blessé au visage à cause d'une chute accidentelle le 16 décembre 1916 à Saint-Pierre-Vaast. Georges est reporté disparu à Chevregny dans l'Aisne le 8 juillet 1917, puis il a été retrouvé comme prisonnier à Dülmen en Allemagne (il y est resté pendant un an et demi) jusqu'à son rapatriement en France le 1er janvier 1919. Marthe, soeur de Georges, avait quitté la France avec son mari Auguste RIVEL en 1904 pour gagner l'Amérique latine, sans imaginer qu'ils allaient échapper au pire conflit armé de leur époque ; ils fondèrent par la suite une famille nombreuse au Costa Rica. Reine Goré, qui est resté à Paris comme tant de femmes, a envoyé cette carte en souvenir de son mari à un moment où peut-être elle ne connaissait pas son sort. Sa soeur ne l'a jamais revu, bien qu'il ait survécu pendant 3 as après la Guerre. || || Prisoners of War || Postcard || Carte postale || Remembrance || Paris || Georges Goré