FRAD022 - Yves-Marie MENGUY
Yves Marie MENGUY est né à Quemper-Guézennec, benjamin d'une fratrie de dix enfants composée de cinq garçons, dont quatre partirent à la guerre (trois en revinrent).
Exempté en 1915 pour soutien de famille, Yves-Marie MENGUY est incorporé au 48e régiment d'infanterie de Guingamp le 10 août 1916. Il ne sait ni lire ni écrire mais sait nager et sera téléphoniste et grenadier, puis
ettoyeur de tranchée à Verdun. En 1917, il est élevé au grade de caporal, sergent puis sergent-chef en 1918. Il est blessé le 20 août 1917 à Douaumont puis le 2 septembre 1918 à Chevilly dans l'Oise. Ses blessures et ses états de service (citations) lui vaudront des permissions dont 6 jours en novembre 1918. Il a reçu la Croix de guerre en 1918, la Médaille militaire en 1920 et la Légion d'honneur en 1954. Ayant commencé une carrière de marin en 1911, il devient maître d'hôtel sur des paquebots après la guerre.
Trois citations.
Un diplôme de remise de médaille militaire.
Deux médailles.
Une paire de jumelles et son boîtier.
CONTRIBUTOR
Jacques MENGUY
DATE
-
LANGUAGE
fra
ITEMS
8
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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4 Items
Yves-Marie LE ROUX, grand-père maternel de Maryvonne GOATER, est né à Servel en 1885. Il a été soldat au 48e régiment d'infanterie. || Photographies de Yves-Marie LE ROUX en jeune soldat, puis âgé, alors amputé d'une jambe. Carte postale adressée à sa femme en date du 7 mai 1916.
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Yves-Marie Le Bris est affecté au 62e régiment d'infanterie le 10 janvier 1916 et part aux armées le 21 octobre 1916. Malade, il est évacué en décembre 1916 et est de retour sur le front le 2 février 1917. Reçoit une citation le 1er octobre 1917 car a provoqué l'admiration de ses camarades par son courage et sa ténacité. ... Le 22 septembre 1917 il est monté sur le parapet de la tranchée pour lancer des grenades sur l'ennemi et l'atteindre plus sûrement. Il reçoit une nouvelle citation le 13 décembre 1917 alors qu'il a été grièvement blessé au bras droit le 29 octobre 1917 sous un bombardement. Il est envoyé à l'hôpital auxiliaire de Valence. Le 4 avril 1919 il est placé en congé illimité de démobilisation par le 48e régiment d'infanterie. Il se retire à Trédarzec (Côtes-d'Armor). || Un photographie du soldat. Le livret militaire du soldat ainsi que l'état signalétique et des services (en vue du versement d'une pension pour sa veuve).