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FRAD085-001 Jean Eugène Arthur Robin | soldat au 26e Régiment d'Infanterie

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Incorporé au 26e Régiment d'Infanterie jusqu'au 25 septembre 1910. Au début de la guerre il est affecté au 137e Régiment d'Infanterie. Cité à l'ordre du régiment le 8 juin 1918 : N'a pas hésité à traverser à la nage une rivière importante sous le feu de l'ennemi pour ne pas rester entre ses mains et venir continuer à se battre. Voir la notice biographique de Jean Eugène Arthur Robin dans le Dictionnaire des Vendéens

portrait de Jean Eugène Arthur Robin
Jean Eugène Arthur Robin
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CONTRIBUTOR

Archives départementales de la Vendée
1

DATE

1914 - 1918

LANGUAGE

fra

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1

INSTITUTION

Europeana 1914-1918

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METADATA

Source

UGC
Photograph

Contributor

europeana19141918:agent/92dfbc1d7948026a86aec0a42dabf92d

Date

1914
1918

Type

Story

Language

fra
Français

Country

Europe

DataProvider

Europeana 1914-1918

Provider

Europeana 1914-1918

Year

1918
1914

DatasetName

2020601_Ag_ErsterWeltkrieg_EU

Begin

1914

End

1918

Language

mul

Agent

Archives départementales de la Vendée | 1 | europeana19141918:agent/92dfbc1d7948026a86aec0a42dabf92d
Jean Eugène Arthur Robin | europeana19141918:agent/dd08ee10c0ad70c8564aa15458fde3e5

Created

2019-09-11T08:19:13.012Z
2020-02-25T08:18:00.081Z
2013-12-26 08:23:27 UTC
2013-12-26 08:27:23 UTC

Provenance

FRAD085

Record ID

/2020601/https___1914_1918_europeana_eu_contributions_11528

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Jean Louis Camille BEC | soldat cycliste au 416e régiment d'infanterie

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Mon arrière-grand-père, Jean Louis Camille BEC, est né le 22 septembre 1895 à Montauban (Tarn-et-Garonne) dans une famille protestante. Son père, Adam BEC, était huissier, issu d'une famille de la région, tandis que sa mère, Eugénie GIRARD, venait d'une famille protestante de Besançon et avait de lointaines origines allemandes. Camille BEC est parti vivre avec ses parents à Paris dans les années 1900. Après avoir reçu une solide éducation protestante, il entre dans la société Castanon en 1912. Il part alors quelques mois en Côte d'Ivoire pour y chercher des essences de bois rares. Le 19 décembre 1914, Camille BEC reçoit son ordre de mobilisation : il a alors 19 ans et n'a pas encore fait son service militaire. Il part alors dans le sud de la France et fait ses classes au dépôt du 142e régiment d'infanterie. Il y passe son brevet de soldat-cycliste (estafette). Le 1er avril 1915, son entrainement est terminé et il passe alors au 416e régiment d'infanterie, une unité nouvellement créée, sous les ordres du lieutenant-colonel AUDEMA. Il est dans la 3e compagnie de mitrailleuses, dans le 3e bataillon du 416e régiment d'infanterie. Camille BEC connaît son baptême du feu en étant envoyé dans la Somme, à Cappy, le 17 avril 1915. Il y reste jusqu'au 28 juillet 1915. Après un mois de repos, il part en Champagne pour occuper le secteur de la Maison Forestière. Il participe plus tard à la bataille de Champagne du 25 au 27 septembre 1915. Après avoir passé quelques semaines dans un secteur plus calme (la région fortifiée de Belfort), Camille BEC est envoyé avec son régiment sur le front de Verdun le 28 février 1916. La bataille de Verdun venait de débuter le 21 février. Camille BEC y reste un an, jusqu'au 22 février 1917. Il y fréquente les secteurs d'Haudiomont, de Ronvaux, de la ferme de Thiaumont, de la Cote du Poivre, du Ravin de la Dame, de la tranchée des Caurettes, du Mardi-Gras, de Moulainville-Eix, de Chena-Montricelle, du Bois des Caurrières et de Chilly-Maucourt. Peu avant de quitter Verdun, Camille BEC reçoit la Croix de Guerre avec Etoile de Bronze le 17 janvier 1917 (« D’un dévouement inlassable et d’un courage à toute épreuve. Le 28 décembre 1916 au cours d’une attaque allemande a fait une fois de plus l’admiration de tous en assurant des liaisons excessivement difficiles dans un terrain déformé par un temps défavorable et sous un bombardement violent »). Le 7 mai 1917, Camille BEC remonte au front dans le secteur de Craonne et du Chemin des Dames, essentiellement dans les environs de la tranchée du Balcon. Il y reste jusqu'au 6 juillet 1917. Du 21 août au 5 octobre 1917, Camille BEC est de retour dans la Somme, dans les secteurs de Vauxaillon et Vuillery. Son ami, le commandant Joseph COTTAZ, y est grièvement blessé et évacué. Après un bref retour en ligne du 10 au 26 janvier 1918, à Essigny-le-Grand, Camille BEC participe à la bataille du Mont Kemmel du 21 au 29 avril 1918 : le 29 avril, il ne reste plus que 755 soldats sur 2550 dans le 416e régiment d'infanterie, soit 70 % de pertes. L'Etat-Major entier du régiment est décimé ou capturé. Le plus haut gradé survivant est le capitaine PRATX, commandant le 3e bataillon, qui prend temporairement la tête du régiment avant d'être évacué, les jambes brulées par les gaz. Pour s'être porté volontaire dans une mission de contre-infiltration durant cette bataille, alors que les survivants du régiment subissent des attaques au gaz, Camille BEC reçoit la Médaille Militaire le 22 mai 1918 (« Soldat d’une bravoure extraordinaire et d’un dévouement admirable. A assuré pendant cinq jours la plupart des liaisons avec les unités voisines et les éléments avancés sous des bombardements d’une violence inouïe. S’est présenté volontairement pour guider de nuit une section de cavalerie chargée d’une mission particulièrement dangereuse. Au cours de cette mission a fait l’admiration de tous, par son audace et son sang-froid »). Mais quelques jours plus tard, le 29 mai 1918, Camille BEC est porté disparu près du village de Dravegny (Aisne) alors que son bataillon est encerclé par l'armée allemande. Son chef, le commandant ALLIER, et son meilleur ami, l'adjudant SALES, y sont tués. Les parents de Camille BEC n'obtiennent aucun renseignement malgré leurs différentes démarches : demandes de renseignements aux soldats et officiers du 416e régiment d'infanterie, demandes de renseignements au service des prisonniers de guerre, à la Croix Rouge... Le commandant COTTAZ est lui-aussi désespéré de ne pas avoir de nouvelles. Finalement, tous sont rassurés en recevant une lettre de Camille BEC au début du mois d'août 1918. Camille BEC avait en fait été blessé au genou en revenant de l'Etat-Major du régiment vers Dravegny. Il a alors été capturé par l'armée allemande qui avançait. Après un rapide interrogatoire, il a été envoyé dans le camp de prisonniers de Gardelegen (Saxe-Anhalt), dirigé par le colonel GRÜNER. Il y est alors employé dans un commando de travail, agricole ou forestier. Camille BEC finit par rentrer en France le 20 novembre 1918, après la fin de la guerre. Il reste encore quelques temps dans l'armée : jusqu'au 13 janvier 1919, il est soldat dans le premier groupe d'aviation de Nanterre. Après la guerre, Camille BEC poursuit ses projets personnels : mariage en 1920 et propriétaire d'une entreprise de crédit jusqu'en 1939. Durant la Seconde Guerre Mondiale, en 1941, il intègre le mouvement de Résistance Vengeance en tant que chef de groupe des Corps Francs de Dourdan. Après ce second conflit, il devient maire de la commune de Boissy-sous-Saint-Yon jusqu'en 1977. Camille BEC décède finalement à Tunis en 1982. || Photographie de Camille BEC en 1917. On peut remarquer son insigne de cycliste sur sa manche gauche, sous ses chevrons de présence au front. Nous pouvons aussi voir sa médaille de la Croix de Guerre. Photographie d'un groupe de soldats du 416e régiment d'infanterie : Camille BEC est debout, à droite. L'homme en uniforme plus sombre assis près de lui est le sergent-major MULARD, de la 11e compagnie. Photographie de Camille BEC après la fin de la guerre, en 1918. Il pose ici avec ses deux médailles : Médaille Militaire et Croix de Guerre. Carte récapitulant les déplacements et les secteurs fréquentés par Camille BEC durant la première guerre mondiale.

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FRAM - Constant Mégret | 26e régiment d'infanterie

12 Items

1. Photographie de Constant Mégret (s.d.). 2. Cahier de chansons (s.d.). || Constant Mégret, l’arrière grand-père maternel du contributeur, réside à Blainville-sur-l’Eau (Meurthe-et-Moselle). Mobilisé, il est affecté au 3e bataillon du 26e régiment d’infanterie en tant que sapeur. Il combat au front durant toute la période de la guerre : Morhange, Léomont, Grand Couronné, Verdun où il est victime de gaz, Flandres. Il est promu 1ère classe à la fin de la guerre ; il est décoré de la médaille militaire et de la médaille interalliée. Il retranscrit dans un cahier des textes de chansons, illustrés de dessins originaux ou inspirés de cartes postales. || || Photographie de Constant Mégret (s.d.). || Photograph || || Cahier de chansons (s.d.). || Poem || || Poem || Cahier de chansons (s.d.). || || Cahier de chansons (s.d.). || Poem || || Poem || Cahier de chansons (s.d.). || || Cahier de chansons (s.d.). || Poem || || Poem || Cahier de chansons (s.d.). || || Cahier de chansons (s.d.). || Poem || || Cahier de chansons (s.d.). || Poem || || Poem || Cahier de chansons (s.d.). || || Cahier de chansons (s.d.). || Poem || || Poem || Cahier de chansons (s.d.).

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Joseph Andrieux | soldat au 47ème régiment d'infanterie

1 Item

Carte postale présentant au recto le portrait de Joseph Andrieux, beau-frère de Pierre Emile Cormenier. Le verso ne porte qu'une mention beaucoup plus tardive pour identifier l'homme représenté Le père Andrieux. Nous n'avons que peu d'éléments le concernant, nous savons qu'il était cultivateur à Châtillou (commune de Chéronnac en Haute-Vienne) et qu'il fut témoin lors de la naissance d'Henri, le fils de Pierre Emile en 1908. Il avait alors 33 ans. La carte n'est pas datée. || Front

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