Mon père, François Gardien, a été mobilisé dès le mois d'août 1914 dans le 46e régiment d'infanterie. Blessé le 20 août de la même année à Schrmeck, il a été fait prisonnier par les Allemands. Envoyé pour travailler dans une ferme, il aurait fait deux tentatives d'évasion soldées par un échec. Il rentre en France en 1919. || Livret militaire de François Gardien. Carte-lettre du 27 octobre 1914 transmise à sa mère lui faisant part de son état probable de prisonnier. || || François GARDIEN, livret militaire || Recruitment and Conscription || Front || François GARDIEN || Official document || || François GARDIEN || François GARDIEN, prisonnier de guerre || Carte-lettre transmise à sa mère l'informant que son fils a été blessé le 20 août 1914 et qu'il a probablement été fait prisonnier par les Allemands. || Front || Postcard || Western Front || || François GARDIEN || Back || François GARDIEN, prisonnier de guerre

Mes deux grand-pères se sont connus pendant leur service militaire en 1911 à Saint-Maixent l'Ecole au 114e Régiment d'infanterie. Ils ont été mobilisés ensemble en 1914.Ils faisaient de la musique tous les deux au sein du régiment. Alfred Garnier (1891-1981) jouait du saxophone et Charles Maurey (1890-1965) de la clarinette. Ils étaient tous les deux brancardiers. Ils ont notamment combattu à Verdun. Le régiment a obtenu quatre citations, dont une pour la bataille de la Cote 304 à Verdun. Charles Maurey a eu une permission en août 1918, il est revenu du front pour se marier avec Marie-Louise Aumasson. Charles Maurey et Alfred Garnier ont tous les deux été gazés. Je me souviens que mon grand-père me racontait que lorsqu'il n'avait plus d'eau potable dans les tranchées, il urinait dans un récipient, ajoutait de l'eau de Javel et buvait. || 7 photographies où sont notamment présents Charles Maurey et Alfred Garnier. 2 photographies d'objets réalisés pour leur fiancée : un coupe-papier réalisé par Alfred Garnier pour Marie-Adèle Chaboussant et une bague réalisée par Charles Maurey pour Marie-Louise Aumasson.

Cartes postales écrite par Louis Boulic, carte du combattant Cartes postales écrites par François Boulic Carte postale écrite par Jean-Marie Sellin, cousin de Louis et François Boulic || Louis Boulic, mon grand-père, est né le 14 avril 1886 à Riec-sur-Belon (Finistère) et est décédé en 1930. Mobilisé au 318e régiment d'infanterie, il est blessé par un éclat d'obus au Chemin des Dames. François Boulic, mon grand-oncle, était aviateur dans le 4e peloton du 7e escadron.