1. Citation à l’ordre du bataillon (21 novembre 1916). 2. Citation à l’ordre de la première armée (21 septembre 1918). 3. Citation à l’ordre du corps d’armée (25 novembre 1818). 4. Note sur la bataille de Sailly-Saillisel (5 novembre 1916). || René Hû est né en avril 1895 à Fromentières dans la Marne. Instituteur, il est mobilisé en 1915 et incorporé au bataillon de Joinville au début de l’année 1916, puis rejoint en mai de la même année le 16ème bataillon de chasseurs à pied. Sous lieutenant à la compagnie de mitrailleuse, il combat sur l’ensemble du front ouest et s’illustre notamment à Sailly-Saillisel dans la Somme, suite à laquelle il rédige une note qu'il intitule Comment le 16ème BCP a emporté les tranchées allemandes de Sailly-Saillisel le 5 novembre 1916. Il est également sous le feu à Verdun au bois de Wawrille, dans les Ardennes et l’Aisne, en Argonne et au Chemin des Dames. Trois fois blessé, il obtient de nombreuses citations et sera décoré de la croix de guerre avec étoiles et palmes et de la Légion d’honneur. || || Citation à l’ordre du bataillon (21 novembre 1916) || Official document || || Official document || Citation à l’ordre de la première armée (21 septembre 1918) || || Citation à l’ordre du corps d’armée (25 novembre 1918) || Official document || || Note sur la bataille de Sailly-Saillisel (5 novembre 1916) || Memoir || || Memoir || Note sur la bataille de Sailly-Saillisel (5 novembre 1916)

René Muckensturm, le grand père maternel de la contributrice, est né le 22 décembre 1892 dans une famille originaire de Morhange (Moselle), installée à Nancy. Son père est tailleur. Lui-même est employé de banque à la Société nancéienne de crédit industriel et de dépôts créée en 1881 et située Place Maginot. Mobilisé, il est incorporé au 146ème régiment d’infanterie. Au début de la guerre, il est formé dans une école de sous-officier près de Carcassonne. Sergent, il part au front au début de l'année 1915. Blessé à la jambe, il séjourne en convalescence en Bretagne. Il participe à la bataille de Verdun et terminera la guerre avec le grade d’adjudant. Durant toute la guerre, d’août 1914 à juin 1919, il écrit très régulièrement lettres et cartes postales à ses parents, à Nancy. Doué d'un grand sens de l'observation, il y décrit son quotidien. Dans sa lettre du 24 janvier 1915, il raconte la vie des tranchées. Et le 13 novembre 1918, il exprime sa joie : Cet fois ça y est ! C'est fini ! Quel soulagement ! Plus rien à craindre, plus de canons, plus de balles, plus d'avions, plus de front, plus de boches quoi !. || || Photographie de René Muckensturm en tenue militaire (1919) || Photograph || René Muckensturm || || Trench Life || Letter || Courrier du 24 janvier 1915. || || Letter || Trench Life || Courrier du 24 janvier 1915. || || Courrier du 24 janvier 1915. || Letter || Trench Life || || Trench Life || Courrier du 24 janvier 1915. || Letter || || Courrier du 13 novembre 1918 || Letter || || Letter || Courrier du 13 novembre 1918

Photographie permis de circuler et avis de décés || René Caubet est né en 1893 à Lamagistère(82). il exerce la profession de sténo-dactylographe. En 1913 lors de son incorporation, il est affecté à la 17° Section des infirmiers militaires à Montauban. Pendant la guerre il sera affecté à la 5° compagnie du 83° régiment d'infanterie. il sera tué le 10 décembre 1917 au bois le Chaume sur la commune de Ormes. Sa sépulture se trouve dans la nécropole nationale de Douaumont, tombe 183. Sa bravoure lui a fait décerné une croix de guerre avec palme