Récit du décès de Basile Bouchet
Lettre écrite par Mme Marie-Antoinette épouse Paul Deron le 23 septembre 1914 où elle explique à Mme Bouchet les dernières heures de Basile Bouchet dont la blessure qui semblait au départ superficielle avait finalement atteint le cerveau.
Front
CONTRIBUTOR
Archives départementales de la Haute-Vienne
1
DATE
1914-09-23
LANGUAGE
und
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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Front || Lettre écrite par Mme Marie-Antoinette épouse Paul Deron le 23 septembre 1914 où elle explique à Mme Bouchet les dernières heures de Basile Bouchet dont la blessure qui semblait au départ superficielle avait finalement atteint le cerveau.
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Front || Lettre écrite par Mme Marie-Antoinette épouse Paul Deron le 23 septembre 1914 où elle explique à Mme Bouchet les dernières heures de Basile Bouchet dont la blessure qui semblait au départ superficielle avait finalement atteint le cerveau.
FRAD087_075-Récit du décès de Basile Bouchet.
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Basile Bouchet est né à Compreignac en 1885. Il est inscrit sous le numéro matricule 835 au bureau de Magnac-Laval. Il effectue son service militaire dans le 138ème régiment d'infanterie. Durant son service militaire, il passe au cadre fixe de l'Ecole normale de gymnastique de Joinville-le-Pont le 24 mai 1907. Le 22 juin 1908, il est nommé soldat de première classe. Il demeure au Palais-sur-Vienne lorsqu'il est rappelé à l'activité le 3 août 1914. Sur son la feuille matricule le concernant, il est isncrit qu'il est porté disparu à Rocquigny le 28 août 1914. Or d'après la fiche du site Mémoire des hommes et les archives prêtées pour la Grande Collecte, Basile Bouchet décède le 12 septembre 1914 à Bapaume des suites de ses blessures à la tête. Un secours de 150 francs sera payé à sa famille le 31 octobre 1916. Une infirmière, Mme Deron, envoie une lettre à sa veuve pour lui narrer les circonstances de son décès à l'institution Saint-Jean-Baptiste transformé en hôpital de guerre. Elles continueront à correspondre. En 1922, le corps de Basile Bouchet est exhumé de la fosse commune pour être enterré dans un cimetière officiel sous une stèle. Mme Davion (de Bapaume) lui envoie une lettre lui narrant l'exhumation de son mari. || Correspondance entre Mme Bouchet et mesdames Davion et Deron.