La famille Garnier à Tence (Haute-Loire) | 1907
La famille Garnier à Tence quelques années avant le début de la guerre, les deux jeunes gens (debout au second rang) ne portent pas la moustache : ils n’ont pas encore fait leur service militaire. Pierre, à gauche, va partir sous peu et son cadet Henri trois ans plus tard.
CONTRIBUTOR
Archives départementales de l'Ardèche
DATE
1907
LANGUAGE
fra
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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FRAD007_039 Henri et Pierre Garnier | natifs de Tence (Haute-Loire)
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La famille Garnier à Tence en 1907 avant le début de la guerre. Carte photographique recto / verso portant au recto la mention manuscrite « Souvenir de la Toussaint, 1er novembre 1914, Boulogne-la-Grasse, Oise » datée de Sorel Orvillers-Sorel, Oise, 21 janvier 1915, le groupe photographié est celui du 1er groupe divisionnaire du 13ème escadron du train auquel appartenait Henri Garnier. || A la veille de la guerre, Henri Garnier est domicilié à Courbevoie et son frère Pierre à Paris. Après avoir exercé le métier de charron, Henri (classe 1910 est « homme d’équipe » aux chemins de fer PLM (Paris Lyon Méditerranée). Lorsqu’il est mobilisé pour son service d’active, il rejoint le 17ème escadron du train des équipages militaires, il participe aux campagnes d’Algérie et du Maroc de 1911 à 1913. Le 4 août 1914, c’est en soldat et conducteur de 1ère classe qu’il arrive au 13ème escadron du train. Son frère Pierre, (classe 1907), lui aussi homme d’équipe au PLM, est classé en 1912 dans la seconde section des chemins de fer de campagne. En août 1914, il fait partie du 15ème puis du 116ème régiment d’artillerie de campagne, il est blessé en 1916 et souffre d’une fracture de la jambe gauche. Tous deux sont démobilisés en août 1919. Après la guerre, Henri repart à Courbevoie où Pierre le rejoint quelques temps. La maison de Tence est restée un ancrage familial, c’est là que leurs papiers et souvenirs ont été retrouvés.
FRAD018_027 Auguste CORNILLON de Haute-Loire
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une photographie, deux cartes postales || Auguste CORNILLON, grand-père maternel de la contributrice, est ferblantier à Montfaucon, en Haute-Loire, lorsque débute la Grande Guerre. Il sert au 53e RA. Comme ses camarades, il échange une nombreuse correspondance avec ses proches. Il décède le 11 décembre 1916 à Marcelcave (Somme). || || Remembrance || Photograph || Photographie d'Auguste CORNILLON || || Postcard || Front || Carte postale publicitaire || Remembrance || || Back || Postcard || Home Front || Chère petite maman || Trench Life || || Guerre mondiale (1914-1918) -- Champs de bataille || Postcard || Front || Guerre mondiale (1914-1918) -- Technologie || Guerre mondiale (1914-1918) -- France || Home Front || Guerre mondiale (1914-1918) -- Grande-Bretagne || Guerre mondiale (1914-1918) || Trench Life || Artillerie anglaise || || Back || Trench Life || Home Front || Correspondance || Postcard
FRAD043-003 La clouterie Veuve Alexandre fils à Saint-Ferréol-d'Auroure (France | Haute-Loire)
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1 lettre. || La fabrique de clouterie forgée et mécanique en tous genres Veuve Alexandre Fils à Saint-Ferréol-d'Auroure est en décembre 1914 reconvertie dans la fabrication d'obus.Le gestionnaire P. Mahay rend compte de son activité à une femme, Françoise Sagnon, dont le mari, Jules, est mobilisé alors qu'il est chef d'atelier à l'usine Fives-Lille-Cail-Bubcek, repliée depuis Lille jusqu'à Givors, dans le Rhône. sans doute sa patronne. Surchauffe à la clouterie en raison des commandes officielles d'armements et du départ des personnels au front : ... Le travail est d'une telle énormité ... nous travaillons en effet 12 heures, mais cela est insuffisant puisque je viens de recevoir l'ordre de marcher jour et nuit ; manquant de personnel, je ne crois pas pouvoir y arriver, étant donné qu'on m'a refusé les ouvriers que j'ai demandés pour l'obus. C'est avec un grand plaisir que j'apprendrais enfin le retour de M. Sagnon, peut-être est-il arrivé ; en ce cas, je serais enchanté de le savoir échappé aux derniers ordres du généralissime qui, paraît-il, a informé le Ministre qu'il n'y aurait plus à l'avenir de renvois du front.\n Cette pièce isolée, transmise par un particulier sensible à son intérêt et attentif à l'histoire industrielle, sort d'un dossier de correspondances privées concernant l'usine Fives et Jules Sagnon


