FRBNSA-130 Louis Moëllic | soldat du 62e RI
Photographie représentant un groupe de soldats du 62e RI.
Le soldat Louis Moëllic du 62e RI était ouvrier au port de Lorient lorsque la guerre éclata. En 1914 il a été appelé et il se retrouve au camp de Mailly dans la Marne. Il a été tué à la bataille de Verdun le 1er avril 1916.
CONTRIBUTOR
Estelle Moëllic
DATE
1914 - 1916
LANGUAGE
fra
ITEMS
1
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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Louis TROVASLET | un soldat du 135ème RI
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Photographie de Louis Trovaslet en uniforme et de son épouse Marie, 1915. Photographie de Marie Trovaslet, ouvrière chez Bessonneau en tenue de travail, 1915. 4 carnets de guerre de Louis Trovaslet du 2 août 1914 au 15 mars 1919. Carte du combattant n° 1546 de Louis Trovaslet, 1934. Carte d’adhésion à la Fédération Nationale des Anciens Combattants, 1935. || Louis Trovaslet est né le 24 août 1884 à Vergonnes (Maine-et-Loire). De novembre 1904 à juillet 1907, il effectue son service militaire au 151ème régiment d’infanterie. Il exerce la profession de typographe à Angers. A la déclaration de guerre d’août 1914, il est rappelé et rejoint le 135ème RI au front le 27 août à Novion-Porcien (Ardennes). Il est blessé par éclat d’obus au visage le 9 septembre à la Fère-Champenoise, ferme Sainte-Sophie. Évacué à Tulle, il est finalement soigné à Angers et retrouve le 6 janvier 1915 le 135ème RI qui combat dans les tranchées des Flandres à Ypres. Louis Trovaslet est de tous les combats de son régiment. Il est nommé caporal-fourrier le 14 mai 1917. Il est blessé et cité pour la seconde fois le 21 juin 1918 « a toujours donné au cours de sa longue présence au régiment l’exemple du devoir. Pendant les combats du 11 juin 1918 à Méry (Oise), s’est crânement porté à l’attaque, a été blessé alors qu’il communiquait les ordres de son commandant de compagnie sous un violent tir de barrage ». Il est évacué sur l’ambulance 2/152 à Maignelay (Oise). Sa blessure à la main est soignée à Tours par mécanothérapie. Début novembre 1918, il rejoint sa compagnie à Hannapes (Aisne) près de Saint-Quentin alors que le régiment s’apprête à poursuivre les troupes allemandes en retraite. Le 11 novembre, il note dans son journal de guerre « Grand-Bois, cessation des hostilités, pipe de satisfaction dans le pré près du moulin ». Il est démobilisé le 17 mars 1919 et retrouve son épouse Marie, ouvrière d’usine chez Bessonneau qui durant toute la guerre a travaillé pour la Défense nationale.
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Photographie d’un groupe de soldats du 114ème RI, 1916. Louis Groneau est signalé par une croix, 1916. Carnet de guerre du 23 mai 1915 au 8 mai 1916. Récit de fin de guerre du 4 au 11 novembre 1918. || Louis Groneau, né 11 mars 1884 à La Jumellière (Maine-et-Loire), n'effectue pas de service militaire pour raison de santé. Mais en novembre 1914, la commission de réforme de Cholet le classe service armé et il rejoint le dépôt du 77ème régiment d'infanterie de Cholet le 14 décembre 1914. Dans son carnet de guerre il présente ses état de service : resté audit dépôt jusqu'au 20 mai 1915. Parti en renfort et versé au 114ème RI. Resté à cette cie jusqu'au 5 novembre 1916. Évacué sur l'ambulance des Buttes Marcelcave Somme, resté à cette formation jusqu'au 15 novembre 1916 et versé au dépôt divisionnaire du 114ème RI le 16 novembre 1916 et parti en renfort au 114ème RI le 20 décembre 1916, versé à la 11ème cie du 114ème RI le 20 décembre 1916, resté à cette compagnie jusqu'à ma date de démobilisation le 28 février 1919. Il est cité une première fois à l'ordre du régiment le 26 janvier 1918. Une seconde citation à l'ordre du 10ème corps d'armée le 8 octobre 1918 récompense son courage : Agent de liaison dévoué et courageux, s'est particulièrement distingué le 17 août 1918 au moment où son chef de bataillon venait d'être frappé mortellement à ses côtés en allant chercher un officier pour prendre le commandement, l'accompagnant volontairement jusqu'aux éléments les plus avancés des unités voisines. Titulaire de la croix de guerre avec étoile de vermeil.
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