FRAD078-01_2 Correspondance de Léon Ottenheim | prisonnier de guerre
Correspondance
Back
Front
Genève
Official document
Prisonnier de guerre
46.1983922,6.142296100000067
Document administratif, format carte postale.
Informe mes arrières- grands parents de la capture de Clément Célestin Auguste Drapeau. Il signale aussi les modalités de correspondance.
CONTRIBUTOR
Silvestre de Sacy
DATE
1914
LANGUAGE
fra
ITEMS
10
INSTITUTION
Europeana 1914-1918
PROGRESS
METADATA
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FRAD078-01_1 Léon Ottenheim | la passion de la photographie
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Plaques de verre et leurs boîtes, présentant les ruines de la ville de Reims après guerre, ainsi que des photos de famille. || Mon arrière-grand père, Léon Ottenheim, était passionné de photographie,et ces photos sur plaque de verre sont de lui. Ces photos de la ville de Reims ont été prises en décembre 1918. En effet, son fils (mon grand-père), était officier de réserve, mobilisé en 1914 comme artilleur ; ayant peut-être participé à la destruction de cette ville, il a voulu garder des traces. On peut le voir sur les photos, accompagné de sa mère. Les photographies de famille ont également été prises par mon arrière- grand père, lors de permissions de mon grand- père. Elle ont été prises en Normandie, à Corneville sur Risle. On voit mon grand- père avec sa femme Lucie, et leur deux filles, Madeleine (ma mère), et Monique. J'ai hérité ces plaques de verre de ma famille. Je me souviens bien de mon grand-père, qui tous les 1er de l'an, nous faisait prendre la pause pour une séance photographie. Je n'ai jamais parlé de la Grande Guerre avec lui.
FRAD078-067 Clément Fauchon | prisonnier de guerre
4 Items
Ces documents font partie des archives de ma famille. Après le décès de ma mère, j’ai trouvé, entourés d’un tissu, divers documents relatifs à mon grand-père, Clément Fauchon, et traitant de la guerre 1914-1918, parmi lesquels de la correspondance, des médailles et autres objets : par exemple un briquet qui ressemblait à une douille de pistolet qui lui appartenait. Il a été capturé en avril 1918 au Mont-Koemmel (Belgique) par les Allemands. Le 9 mai 1918, il a pu faire parvenir une carte de prisonnier de guerre à sa famille, pour l’informer qu’il était prisonnier. La première carte qu’il a envoyée à sa femme date du mois d’août 1918, très certainement entre le 4 et 7. Il a été hospitalisé à plusieurs reprises pour des soucis de gelures aux pieds. Il n’a cependant jamais été blessé par balles, éclats d’obus ou autres. Il a subit des attaques au gaz mais sans que cela ne lui laisse de séquelles. A son retour de captivité, il n’a jamais ou presque pas, parlé de la guerre à sa famille proche. Dans le civil, il était clerc de notaire, métier qu’il a repris après la guerre. Il n'a manqué aucune cérémonie du 11 novembre. Mon grand-père a eu la croix de guerre, la médaille du mérite, la médaille de Verdun, la médaille inter-allié. || Correspondance de 6 pages recto/verso || || Cette lettre fait partie d'une correspondance de 6 pages manuscrites resto-verso || Correspondance de Clément Fauchon || Letter || Artillery || Trench Life || Clément Fauchon || A été déplacé dans plusieurs endroits entre la Belgique et la France || Front || || Clément Fauchon || Letter || Front || Trench Life || Artillery || Correspondance de Clément Fauchon || || Trench Life || Front || Clément Fauchon || Correspondance de Clément Fauchon || Artillery || Letter || || Front || Artillery || Correspondance de Clément Fauchon || Letter || Trench Life || Clément Fauchon
FRAD087- 123. Histoire de Léon Reilhac | prisonnier de guerre
1 Item
Léon Reilhac est né le 22 juin 1885 à Châteauneuf-la-Forêt. Il effectue son service militaire en 1906, dans le 63ème régiment d'infanterie (numéro matricule 1483). Il est rappelé à l'activité le 4 août 1914 et est réincorporé au 63ème régiment d'infanterie. Le 28 août 1914, il est blessé par balle à la tête, à Rocquigny dans le Pas-ce-Calais. Le même jour, il est porté disparu : Léon Reilhac est fait prisonnier le même jour par les allemands et est envoyé au camp de Friedrichsfeld (Rhénanie du Nord, non loin de Cologne). Il rentre en France le 1er décembre 1918. De ses blessures à la tête, il gardera de lourdes séquelles lui donnant une pension d'invalidité permanente. || 2 photographies/cartes postales de Léon Reilhac à sa cousine Eugénie, épouse de Charles Castenot.