Eugène Pulet, mon grand-père paternel, originaire de Nantes, était charcutier de métier. Il a écrit son carnet de route entre le 18 juin 1916 et le 02 juin 1917. Il raconte son parcours journalier en Belgique. || Un carnet de route journalier avec des photographies de soldats du 1er bataillon de fusillers marins.

Extrait du carnet de poilu d'Emile Ménard où suite à l'attaque il fait un bilan des pertes humaines de son régiment : ... notre régiment si brave, si beau, si enthousiaste la veille est aujourd'hui décimés, éparses, et presque sans commandement.... On sent à travers son récit l'émotion qu'il l'étreint : ... nous sommes harassés de fatigue ... et surtout de l'émotion de la journée nous ne sommes plus des hommes mais des bêtes traquées...

Deux premières pages du carnet de poilu d'Emile Ménard où il raconte sa mobilisation à Bordeaux, l'enthousiasme général dans la ville et au sein des régiments jusqu'à son arrivée à Orléans (13 au 20 août 1914)